d'etre largement utilisees par les -agriculteurs. Mais,.plusieurs I 'z tudes d'adoption;de technologies ont montre que beaucoup d'agricultebjrs n'avaient pas adopted les alternatives proposes par les centres de recherche et de vulgarisation. Pourquoi? PlusieuRshypotheses ont ete proposes pour expliquer cette situation, et, en breve, nous pouvons citer: 1.) la pretendue".irrationalite et la traditionalisme des agriculteurs, 2) 1C\carence d'une extension agricole vraiment efficient, et 3) problems au niveau de la politique agricole, par example la non disponibilite des facteurs /u de production associes aux navelles technologies (cf. r:attinez 1984;2). C'est-a-dire, apparemment le defaut reste avec les agriculteurs eux memes, ou bien avec la transmission de la nouvelle technologies mais, semble-t-il, jamais avec la technologiese amelioree". Il-y-a une autre hypotheses qui decoule principalement des etudes d'adoption realisees dans divers pays du monde, qui est peut-etre plus utile, qui dit que "les technologies conseillees et Mises au point par les centres de recherche et de vulgarisation n'ont pas toujours ete (ou ne sont pas) adaptees aux conditions , agroeconomiques des agriculteurs auxquels elles sont supposees t t beneficier" (1artinez 1984;2-3). a implique la conclusion quell dans les mots de Peter Hildebrand, le problem "n'est donc pas celui de la motivation, mais celui -de la presentation de ces changements (technologiques) qui ne paraissent pas appropries,