«- —i—m-..—ii i»j ... : _•■ . 
ORT D’ESPAGNE, le 15 Jolj.lt, 1834. 
N»ua duimons dans le present numero, la tra traduction 
duction traduction de la Proclamation de sou Excellence, 
qui fait cunnaitre ala population escfaves, les 
avantages de la situation oil elle vase trouvei 
au ler Aofit. Nous avuos vA avec plaisir cette 
Prodamdtion faite dans un Style clarr, precis, 
facile Acomprendra pour ceux aux quels, pile eat 
adressee, et degagSe du formufane obscurs et du 
Mvte gmhique do la Chancellerie Anglaise.— 
(Nous regrettous que les Commissaires de I'fn- | 
demnite de cette Colonie n’aient pas em- > 
ploye man'kre precise de Sir George Hill, 
dans Itur dern&re instruction.) 
Le but du parti Anti-Colonial est rempli. II 
semfale que desormuis, il? devraii nous laisser 
vegeter en paix, duran* les six annees que faP re reclamation 
clamation reclamation nous accorde; csperons qie notre 
digne Gotjverneur, aura las pofivoirs suffisans 
pom repr'mur les 6tres malfaisana qui ne vi vivenl 
venl vivenl que de descrdie, et pour garautir A I’homme 
paisiblt et soumis aux lois fa tranquil lite qu’il a 
droit d’altendre de la loi. 
Pa> Son ExctUtnce le tris honorable Sir 
George Hitt, Colodelda rtgment de i 
Milice de Londonderry, Lieutenant ■ 
Gcuverneiir et Commandant en Chef, i 
Viet Admiral de la dite tie et Dlptn Dlptndances. 
dances. Dlptndances. 
PROCLAMATION/ 
Sa Mfaeste ie Roi, les Lords et les Communes, 
assembles en Parlement, oik decrete, que, I’es I’esclavage 
clavage I’esclavage sera aboli dans toutes les Colonics Ang Angfatse#, 
fatse#, Angfatse#, a compter du let Aotlt, mille huit cent 
trente qua’re. i 
II con vie nt ncaumoins de faire comprendre 
<li«!i»i temeut et d’expliquer avec le plus grand 
coin a ceux qui #<»nt dans I’etat d'esclavage, que 
I’almlition de I’esclavuge ne les exnmpie point de 
favailler, ni de remplir leur tAche et leur devoir 
enters ceux sous les ordres desquels its doivent 
travailler. 
Et qu’il# tie doivent point quitter les habitations j 
de burs utaities actuels, qui deviendront leurs 
bourgeois, sans permission, exeepte pour alter A 
I'Eglise ou au march *, comma ta loi I’acccordi*. 
A fin d'eefairer les escfaves sur le uouvel etat 
dans le qnel ils seront bientfit places, et de pre prevenir 
venir prevenir Ins consequences facheuses qui pourraient 
resultei d’tin mal entendu A cel egard, il est n'ces n'cessaire 
saire n'cessaire dans le ir inttiflt, de leur faire connaiire 
clairenient les clauses des conditions de la loi, 
parlaquclle le Roi et son Pat lenient ont aboii 
I’escta cage 
Nous faisons done savoir, que, acompter du 
premier aofit 1834, tous ceux qni sont A present 
dans I’etat d’esclavage, porterontle nnm de culti cultivattuts 
vattuts cultivattuts apprentifs, et les droits et les privileges 
suivantslenr seront assures: 
Ceux qui out ete jusqu’A present esclaves A vie, ’ 
ordinairement employes aux divers travaux de I’a I’agriculture,ou 
griculture,ou I’agriculture,ou a la fabrication des productions coin- j 
niales,«teniegist H's contrite apprentifs le campag- j 
no sew re it leurs bourgeois pendant six ans conime 
apprentifs, et ensuite ils seront entierement fibres. 
Fondant ces six annees, neanmoins, ils ne tra travaHleront 
vaHleront travaHleront que quarautu cinq heurcs par semaine, 
pour lours bourgeois, et ils auront la nourriture, 
Its v&temcns, les medicament, et les soins do 
I’hopitai contme precedennient. 
Si les Bourgeois font travailler leurs apprentifs 
pendant un plus long espace de terns qu’il n'a ete ' 
speciti»‘ ci dcssus, ils seront tenus Ales payer pour 
l excedent de ce travail, confot mement au marche ; 
qtf ils auront fait avec eux. Le terns en sus des 
quarante cinq’Heures de la semniue appartenauti 
aux apprentifs, ils peuvent [’employer A leur 
profit. ~ i 
Les apprentifs ne seront pas punis parlours 
Bourgeois ni par les ecunmucs, mais seulement 
par la decision des magistrals <; ie le Roi a charge ! 
le gouverneur de nominer, ct aiusi quo par ceux - 
que sja majoste a envoyes exprtsseniont d’Angle d’Angleterre, 
terre, d’Angleterre, pour resider dans les differents districts de 
cettt; col nie, avec autpritd t iitidre pour exiser 
que les boqrgoois rendent justice aux apprentifs, 
et que les epprentfs remplissent leurs laches et 
leurs devoiis euveis leurs bourgeois. 
Ces magistralentendront toutes les plaintes 
de» bourgeois cdntr r les apprentifs, et les plaintes 
deitappieirtifs centre les bourgeois; et ces nia niagistrals 
gistrals niagistrals auroiit souls le droit de puuir. Ils ex expliqttwr.oiu 
pliqttwr.oiu expliqttwr.oiu aux appientif. tousles droits, privileges 
et or aniavas que. la loi lent acewdvet leur e:i as assuroiuut 
suroiuut assuroiuut la juuissatici'. 
JI depend dvs .ipp.?vmita pnr tme eonduite tran tranquille 
quille tranquille ci Ii r obeissence, de j. our d’urie existence 
douce- etiictueuse, s.'US la urotei lion du (>-:tiver (>-:tiverneqr 
neqr (>-:tiverneqr et des mngisirqfat i nr u.» sa Majesta Majestaa 
a Majestaa ete si favorable pnm ceux qui jusqu’ici etai jnt 
vsefave a vie, eu. ale <ko‘;t d'a'O i.Jre que dans 
leur uouv I etat d’appremjfa, Iruj co.r-luitc sera 
rcgdliete, resp. : ctueuse CT qu’ds seronj sati'.f.i’s. 
Et qu >i pr: » i Majeste <J s magistrals 
speci wi, a l*t CT l profiler les apprentifs, ce- ! 
peudiut', ces ut igtsirals oik ca m6n:e t. ms «.rdie 
de la'n h-’ jesttce a w L ’■is, et paniculifere 
menl de pntiir Ins npprerttifa qui neg* geront lour 
travail <>U !■ f IO it -;rf at <p|.- 
qui se reiidrutit upables -.i'liKulroco <>a d insii insiihardiaatiint, 
hardiaatiint, insiihardiaatiint, m> ceux qtti ib indonnt-roo; le service 
de few b»> trgouis pour alfer mirr.tr 
L«s es. laves employe# com ne •fotnastiques, -?t 
qui ova tfe abut 183?, n'out p»s tie entpl- ye# 
aux travaux de la terre ou .1 tr les habit iti> i>s, soiit 
appsfe? sow fmdiah, t.‘ sermt tonra A »ei v r 
leurs I'Jurg • is, niusi *.» »’,» i.-t or 'ohot pur lr lrprOsetit, 
prOsetit, lrprOsetit, pendant qiiatre atrnees seuic- ’ 
metit a c>>n»pb-r dt» ler aodt 1834. 
Tous Io eular.® qui, ;,y l ; ( - t 1834 auroril 
m >ins de six ans. str< nt cutieretneut Jibres. de 
que Ci’tix qui nail rent apr*> cette epuque, 
lesquc s sei 1 nt enftetcuus a-tx tjepens on Ivor 
pere ot ne te, et datrt le cas quo leur pfere et 
ne solent r>.is cu’Aui do les enlreteuir ils 
aeioot misen apprentissage. Des mesures 
rent pti&ei aha de duticeruueinstruction suib- 

TUR PORI O? SPAI> GAZF/rifl 
:■ -. . ■■■ 

M—ra——» 1 11 1— 
sante, pour mettre ceux dnnt la condiiion est 
chaogeo A portae de jouir de leur nouvulh situ situation. 
ation. situation. 
Ayant aiosi fait connaitre combiett in situation I 
de ceux qui sont devetius cultivaleurs appt er ifs ■ 
est amelioree, eu la coinparant A leui m»ci< u cl >t 
d’esclavage; il ne mainteuant qu’a lex ex exhorter 
horter exhorter au nom de leur Hoi,et d ins les paroles, de ■ 
sa Proclamation Royale rendue danscette Coionie ! 
le 11 Octobre dernier,d’obeir Ala Icl. Sa Majeste 
I fait dnne savoir ct declare, sa determmaticn 
j ferme et invariable , d’emplaycr tout la pouvoir 
et toute i’autorite dont il ext investi, pour exiger 
; rigoureusrnnent obeissance A la loi, et pour | 
pteveuir,et mSmes’il etait necessalre pour r* pti- ■ 
mer et puuir toute infraction qui’y serait pnrtce. . 
Donne etc. . . . au Poti d’E&pagae, le 12 
juillet, 1834. 
Par commandement de son Excellence, 
PHILIP D. SOURER. 
Colonial Secretary. 
FIUNCE, 23 Mai. 
On ecrit de Toulon q ie le Nesfor, 
par M. Luneau, etait en rade, de retour de sa 
mission de Tunis, dont voiei Ic motif: 
, Le gnuvernement fianrais infnrme que lebey 
j de Constantine etait consiummcnt app.ovisionre 
par celui de Tunis, en toutes sortes de munitions 
1 de guerre, donna des ordres secrets pour expe expedier 
dier expedier le Nestor, en toute hAte, pour demander 
raison de cette infraction aux traites. Le com commandant 
mandant commandant Luneau arrive A Tunis communique 
ses depeches au consul general M. Lcsseps, et le 
bey promitune euti&re satisfaction A la France. 
Le Nestor fetait autorise, en cas de refus d’em d’employer 
ployer d’employer la force. 
• 11 est question d’un double manage entre le 
prince Leopold de Sicilc et une fiile de Lonis- 
Philippc, et du due d'Orleans avec la princesse 
Marie Caroline, sreur du roi d,e Naples. 
L’alliance entre Donna Maria et ie due de Ne Nemours 
mours Nemours se remet encore sur le tapis. 
i Sil faut en croire le Court Journal, ce projet 
! acquiers tousles jours plus de consis’ance. 
Le faineux congrfes de Vienne, qui a et& pro prolonge 
longe prolonge A cause de I’avis da la quatruple adiauce, 
a termine enfin ses travaux, qui n’ont rien de 
bien indulgentnide pacifique.—l. Ltsprindipes 
politiques qui ont ete convents# ne seront pas 
publics; afiu d’en mieux preparer leur execu execution. 
tion. execution. 2. Les forcei militaires de la Wnfrdera Wnfrderation 
tion Wnfrderation germanique seront augmentees et portees A 
leur eflectif de guerre, environ 450,000 homines. 
3. L’cxtraction universelie sera admise, p.iur 
tousles delits prives et politique. 4. La censure 
sera applicable A toute sorte d’ecrits, sort feuiiles 
periodiques, discours de fa tribune, livres, etc. 
Aiasi I’index du saint ojf.ee va oruer le code des 
pais protestauts d’Allernagtm. 
Grand mouvemeut en dans fa cour 
des princes 
leur influence n’est plus contestee. Le grand 
; p&re, le fils et le petit fils sont en bon fepimin. 
I L’cscadre russe manosuvre dans fa mer noire, au 
j tiombre de 30 vaisseaux de toutes dimensions.— 
La flotte egyptienne se compose de neuf vais vaisseaux 
seaux vaisseaux de ligne, nouvellement construits, depuis 
90 A 148 cannons ; de sept fiegattes, et de 30 
bricks ou goelettes. 
La comtesse Luchesi n’a pas rr-ijii A Vienne 
I’accueil ffatteur que ses partisans II 
i a fallu qu’elle em nuntAt une voiltire pour alter 
i au palais imperial, auctin cr.rosse de fa cour n’a n’avai» 
vai» n’avai» ete mis Asa disposition; il n’y que I'rmbas I'rmbassadeur 
sadeur I'rmbassadeur de Naples qui de tousles nieinbies diplo diplo: 
: diplo: matiques ait ete fa visiter. 
Le vice-roi d’Egypte, Mehemcd-Ali, vient 
u’elver au grade de vice-ainiral, le capitaiue 
franqais Besson. C’est 1a premiere fois qu’un 
1 cbreticn a ete eleve A une pareille dignite clicz 
' les mahometan#. 
j La chambre des deputes a ete dissoute lo 25 
i mai, et fa convocation des colleges electeraux 
fixee au 21 juin ; le# conseits gr-'icratix devront 
j Ctre reunis le 5 juillet pour fa nomination des i 
J deputes, ct on annonce quo la convocation do fa 
nouvelle chambri* aura lieu le 3 aofit. 
j Le voyage du roi do Naples A Rome, avait le 
motif politique, de fa cession du dm hi de Beu‘- 
v<*nt, enclave dans les provinces Napclitaines, 
n* iis ii? jeune roi, mecontent de ne pouvoir reus reus? 
? reus? r , a aubcio de n avoir aucun rapport avec la 
! cour pontificals, il s est borne visitet les monu monumens, 
mens, monumens, et surtont I’attelier d’Horace Vernal, Fie Fiej 
j Fiej puis '.in retour A Naples, il s’occnpe A fane' 
. inanceuvrer ses troupe# ; et il a envoye de jeums 
I ofliciers dfanilhrio A Lend res et A Paris, pour 
[yttudierles am. fa.rati..m d ce re arn»e et 
j cede du genic. L Atu.i. he voit avec inquietude 
tecs »>.u.i.>s mitifabi-s, Pt In penchant du roi de 
■ N'a les poor le sy»r ine politique adeptfi par les ■ 
i gouveioi-niens do France, .i’Espague st de Por Por; 
; Por; tugnl, <p>i d-.it ent-ainer Fltahe I U a? 
dance u.ipesiie# aux vue# des alii .nee.l <fa nf . r j. 
Ou s uttc.i:-l A b-rb.t. a >fa g auds changemens 1 
, dan# Io mhnsiere de ta guerre. Otj revarde 
! <fatw cette rille le irate de fa quad urfa jllfa-ice, 
l comm.- ur.e re ieii .u om ie Vienne* 
| et on s’accordc A y rccotiu ...te fa umm de m’ 
f de M. de Talleyrand. 
>‘ »* Par ce trail.:, de hi moitia de la popufa popufafation 
fation popufafation de I Europe, ainsi que fa plus fpbe el fa 
! plus active est lite p 4 r un intf r&t cmumun pour fa 
f dt-fcr.se de» principts fl’wn droit aussiavaotageux 
I aux peuule# qu’htiuorubles pour fas souvetains. 
Les threes maritime#, les moyens iadostrieux, les 
1 CQpitaux, les ressources locales, sont tout du 
i coto des monarchies evnatitmionuelle*. 
| Le nord a des mass- s innombrablcs A faire 
i mouveir, m«is des moyens restraints pour les 
j se.utenir au.delA d’une c unpagne. Les rois ab absolus, 
solus, absolus, uni# aujourd hut par la crainie de Farenir, 
se divisetont dans les succfis commo duns fas re revers, 
vers, revers, excepts que cette de petit# sou souverains 
verains souverains d'Allemagne r.e soumcti; e rofanfture rofanfturement 
ment rofanfturement an faug du graud sutocrate, dout lesordres 
imperaiifs arrivent dcjAjusqu’en Suisse; comma 
ils dominent dans le conseii d’un successes de 
M, fa. n- LI. et si avec Ie carmeru <fa Gwige> 

Kam i'F.mperC’tr tfa t tiles h'<> Ru’sit-s, » n avart. 
; La Bravoure vi fa temerite, bient. t fas ptafanges 
Russes ciL ieraieiit la Biiiiiin ie de Si Nicholas 
cfaez les voi farms de IVisbnou; co mme elk* 
remplaceiai. ut I'tteudarl du O'.g -u chez les 
' antiques adprau ur du cfel. 
Mais co n’est plus le terns oil des hordes de 
i barbate.#, peuvent impuncmeot sortir d< s »e- ‘ 
; tyicns - Glacece, pour repandre le rav- go et se : 
! fixer dan# It s pats jifas fivorises par la nature. — i 
Co sout ces memes yjais, qui upreS avoir gdiu ' 
pendant mille ahs Sous i impulsion du va.Ma- ■ 
Itsrne, ga ra mi rout I’liummiite el fa civil>satii»u 
i du cjtip que I’aibitraire Vom’.rait lent porter. LV : 
I seront fas Bretons, les Francs, les Guufa.se t le> : 
, Lutblnnieus, regime res «|ui refoulenint dan# le I 
nord r&prcte dn desputisnie, rt qui uur. nt la ge- i 
tkrosue de tuonlrcr aux populati.ms en »h .m rs, ' 
ceaquvielles peuvent aspirer, et ce qu’elless i 
doivent atteudre de I'avenir, 
I a»in7.atimr.T-. 
j S ES Soussigne# payeronl couiptanl quelqucs 
■ fatuiiles de Sirup. 
DENNISTOUN et Ce. 
10 Juilfet 1834. 
LES SousstgnCs ont regii par VEwtntta, un I 
supplement de Perter, du Barclay et Per Perkins, 
kins, Perkins, qu’il# off.ent & ivuis amis aux conditions 
d’usage. 
GRAY, LOSH & Co. 
Ruo du Wharf, 11 Juillet 1834. 
I L' Eweretta, mettra Asa voile, pas phi# tard ■ 
que le 23 courant. Pour fret et passage s'tidressa 
au Capitaii'o Gilmore, ou a 
G. L. ct Ce. 
1 MAISON DE PLAISANCE BLARNEY.! 
C'IETTE charmante Campagne qui est A peu 
> prifa A un mille et quart de la vitle, est 
cffeite A vendie eu A hmer. 11 y a uuu Maison 
vaste et commode pour cne nombruuse famille ; 
20 acres d’exccllent Paiuragvs et beaucoup 
d'Herbes de Guinees entoureut fa resider.ee, 
avec tout ce qu’on peut deshcr pour i’agrement. 
S’adresser A Mme. Stirxs. 
4 Juillet, 1834. 
JES soussign&s font debarquer et oiTrent A 
. i vendee, le chaigemeut du Brick Thomas, 
capitaine Richaid*un, de Cork, savoir • 
BEURRE de Mai triple Rose en fiequir.s 
Do. do. do. eu quaits 
Do. do. do. eu demi quart# 
Saindoux prime en frequius 
Do. do. en quarts 
Verrerie de Glasgow atsortie en tierqoes 
Charbon de terre en buucutn* 
Sei fiu et en grains—Chaux A bAtir 
Foin en troutscs—et huit excellent Chevaux du 
traits et de selle. 
SHERLOCK et DARRACOTT. 
King's Wharf, 7 Juillet, 1834. 
de I’liabilaticn Buen loh ulo j 
I’M depuis qiiatre mois, un Esclave nominee ’ 
Neilly i'luiy, domestique, mufatre,age d’en d’envuon 
vuon d’envuon SO ans, tailie de 5 pie.is 6 pouces, creole 
de Montserrat; il a uie partie de sa Idvie infe inferieure 
rieure inferieure cotipee. Qtiiconque I'arrf lira et I’ame I’amenera 
nera I’amenera au sot ssigne, recevra un duublon de rc- 
■ cninpense ; et tout pe»sonne qui I’occupera apres 
I cel avis, sera ponrsuivii* i< s lofa. 
' THOMAS WHITE. 
8 Juillet, 1834. 
A VEN DRE, ' 
LE chargement du Brick t „ va lier J ewet , 
<le St An he, N. B, t consistaut en 
f L '««' #l ■' »•’< IKRS d.s:.pe bl«»r 
Et AISBAN IES L’edrc. 
, ea GRAY, LOSH et Ce. 
; 5 Juwlet, 1834. 
: g E sousiignfi A I’honneur d’informer fa pub- 
1 he et ses amis qu’il vient d'etablir rue 
George, un Salon proprement no üble, 5 fa j (S . 
p-sition dis personnes que voudraient dciuuer 
quelque# dejeuners d’amis (| prendra des Pen Pensmmmires 
smmmires Pensmmmires qui seront parfaitement seni# t -t s scn 
cn scn oe-ra de quelques ordinaire# p.,ur fa viih>. 
h fern tons ses efforts pour satisfaire, A de# 
pm moderes } SS perspnnes qui h>i adre&seront 
Ues comiuaudes, movennant qu’,l S3 i t prevent, 
•u moms un jour A I’avance. r 
B „ Jv - F»- COTTON. 
Kus Goorgo, No 34, 
ler Juillet, 1834. 
S f G | L ° S I TER Ctß '” * h VeiHe dc T ,i ‘- 
fa Ur fa Colonie, previent que toutes les 
demundes qu on peui avoir a lui faire soil »■ 
presets de suite, A son domicile, rue Edw‘. 2: 
'ltd Espagne, le ler Juillet, 1534. 
AVIS. 
souacriptet'r 5 !'T COnsen ‘ en des 
osenpteurs, i| s continuerimt les affaires on’ik 
’™’j* 
Qua, do nd. ’ ’ >“• Kwgi-l 
CHRISTIAxN gerold. 
ANSELM GEROLD. 
Fa ‘‘ PrOC ,“ r r ‘ , Xi 8 « C *” ,w, TIAN Gerold. 
, r■„ 1 ILRRt b. andrf 
ler Jmlfat, 1834. 
SEGA R 
O Es <| ™'“ d ® «“««<■! «?<• 
d ' e "’ d ' s * Thw - 
ELK '’''< SIMMONDS. 

Av i; *'iSSEM| 
£iJr ILL me RtgH.iert ’ '“ f J 
:c : IGcHis a 8 Ima 
( ‘le fa uu iIW 
; m i o mtn. nc« ft! fa lef Aofit ’ 
I I’"’ ’ 11 C'lhF 
1 It i;H a li i ; I .10.1 J. ° 
; 1 -in- S-Iwn <‘-'-'-ye (9c;ichM fa 
jusqu-o c.hh m 10 | le „ rrs 
■ 4Vcc ies .nou “24 u.kr f„ r .■,,4 
I •,:>■;< i'enveloppe. " ' 
, U „„ f,i, u,,,.,,,,. - I 
•en biding t.a I uimte. c’est AJ , 0 1 
I Gotiide. ' 
■ .A.,*- nl 
•AVIS. 
un, l< > t '•’P*‘C’cS 
ne, A rem- famue des iu< s 
au 1*..,, d-i « 
denn de 1 run u.-.e *| .fa, 1( * fa L ,, n '> w,1 fa ■ 
mode pmir o:i.> gtamfa u ; 
d un inur 
Le s«r!<rg.,e donne en mlm* tfniJ ■ls 
toutis kt pm—tines qui ini th.ive.n 
immedfat'ineni.tifin qt.’.l |iu j Mfc 
sun depart de cette tfa au conP.. tbte Z} I 
lannce piuthainu. «■ 
JOHN J. H. V.faN Bfpfk I 5 
! 8 Juillet, 1834. ■ 
_ K H 
pour |i; 
(T N £ excelientn b’ervante de Msfe, b - r , I the 
J gnrdienno d’tmfant, < t tin L Aug 
•mu n’est plus necessaire A son I 
iaqueile c.ruent feu.- echahgte f( / Hlre | «« 
! valeur, cu uh j.-.me garqon. On prtidaZ I t 
<n p iyemeiitde, buns Mukts. b’dreM#jpO 
o!Hec fa |wi» 
8 Juillet, 1834. L I 
a AVIS. E I . 
®f ES iou>sign<«, rxecuteurs t' I iei 
jjS J feu Jean Chaukmim, engageul fa I«k 
sonnes qui ont des reclamations A I Kj 
decedc, de presenter h-urs eompte# tlawleix ■ 
d’un mois de eetie date, apr»'s L-qurl fagH I 
n’auront aueun r< tt>ui# ; ct ceux quidmw,i!i I 
dim succession sent piifes de payer de taste,; I #f 
dcfiut, il# ser.’Ut pmnsuivis judniairemeat I 
Fort d’Espagne, le 8 Juillet 1834. | 
J. MA ILL AN. 
F. DUCHENNE, I » 
MO RUE nouv?:lle. 
iF.S sonssigufai ont re«u de Halifax et I 
A Neufotindfahd de fa Morue cn bovcatii 
( et litrroiis, qti’ils vendront A des prismdtfa, f 
johx s. wainwhigut. 
Rue King, 3 Juillet, 1834. I j 
POUR LIVERPOOL, ’ 
Lc Bri< k coiistnictii ii anglaise de pt* ■ j 
m:4re clanae Bl 
j LE NESTOR, I 
Capitaine M ickinson ; sera expedie poef Is ■ I 
susdit port v< ts Ic 20 juillet. Four fret etpt* I 1 
sage s’adresst i A I ? 
NICHOLAS JAMES et HENRY MVWjL | 
Qui teront des avnnees »ur *cs deertes eip*- I ' 
dices par ledit batitnen*. I 
Rue King, G Juin, J 834. a 
-- X-serfr B 
iJjjF POUR LIVERPOOL, 
Le Brick tin vojlier do pi entire clans 
M.AIIY QTEEN OF SCOTS, I 
Capitaine Kei.lt. ■ 
' sera r#pß<lir> p OUr | e M i#dit port avaiit le ‘25 jail- K 
let. Pour fit tet ;> .■»•.? .ge s’adresser A | 
NICHOLAS J * MUS et HENRY MURPH* 
Hue King, 24 Jum, 1834. | 
Brick ARIEL, I 
sera expedie vers le 25 juillet. Poor fre>« I 
pasjagt; s’adresser au ('.. pitaine ou A I 
DENNLSTOUNdCe. I 
24 Juin, 1834. | 
POUR LIVERPOOL. I 
La Batque Z.7V4 PACKET, I 
—i-'SMsfa Capt. CvxsixoHi*> r, I 
partita levs le du niuis prochaine. P (lBr I 
ct passage sSdresset A . I 
GEORGE BLAND- I 
Marine-square, 25 Juiu, 1834. I 
4.7&T POUR BRISTOL, I 
La Barque P/AO 7’, Uapiuio® ■ 
J. D. Moor; ‘I 
sera expedice au commencement 1 ifa I 
Pour fret et passage, ou I’on sera tres cuiuiU I 
ment, s’adresser au capituine Moor ou J ( I 
COCKERTON ct 1 
Quai d:t Sud, Io 20 Mei, 1834. 
AVIS. . . I 
TOOUT Docteur en Medicin qui I 
.* se rer.dro en Anglet? rre, aur« «*' n I 
sans sur fa barque P*' ur pr j 
tol, qui doit partir vers le 10 juillet. S’a 
OOCKKRTON ct WAbth’- 
20 Juin 1834. 
TRINIDAD. v 
Pointed and Published every Tuesday and F T 
HENRY JAMES MILLS, 
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