SOUVENIRS D'UNE CHAMPAGNE


 L'ineffable Snateur n'est certainement pas  son premier men-
songe ni  son dernier. Ne- vous tonnez pas, chers lecteurs, si un
jour vous tombent sous les yeux des dcoupures de journaux cu-
bains ou autres dnonant tel ou tel candidate antipathique au
P. S. P. comme des suppts du capitalism et du despotisme.


 PROPOS SANS PASSION

 Albert Mangons voudrait faire la cour  l'esprit: celui-ci, sem-
ble-t-il, s'y refuse. Soncroyez le ou non qu'il voudrait tre spi-
rituel n'est mme pas un calembour qui, on le sait, est la forme la
plus grossire de l'esprit.
 Dans ses accrobaties pour trouver un coin de dtente aux lec-
teurs de P. S. P.  il bafouille un tas d'histoires auxquelles l'es-
prit est compltement tranger. C'est ainsi que jonglant avec le
mot seins pour en tirer, peut-tre, quelques jets d'esprit, il n'en
est rien sorti, si ce n'est que les deux <t t don't il a inutilement af-
fubl le mot chuchotte (sic).




 Mangons semble attacher une attention spciale aux frres sia-
wnois. Est-ce parce que ces deux malheureux taient runis par une
partie de leur corps? C'est bien possible; car nous nous sommes
laiss dire que l'humoriste du PSP aimait bien les positions sia-
moises. Et le domaine de l'art est tellement vaste.
 Evidemment nous crie un indiscret qui nous lisait par des-
sus l'paule.
 Si nous n'aimons pas trop les Max, il en est de mme des Al-
bert, ceux-ci  cause de leur sottise qui est aussi vaste quest res-
treinte leur conception des choses, surtout le Max (d) ici.




 C'est bien dommage pour Monsieur Rosemond Kernizan qu'il
se soit fait taper par Albert. Nous imaginons que ce doit tre dur
pour le bonhomme; car les Albert en rgle gnrale, ont les pat-
tes dures et mme trop dures.