Tr roisiame Année, ‘N 716 —-PORT-AU-PRINCE, Hutzi Mardi, 17 Aottt 1909,' QUOTIDIEN cE CRRA OS 3 APES ENOL ig SL ALS GAME OIA I IEEE REE 2 REE Se Abonnements: DIRECTEUR-FONDATEUR Lk NUMERO 4 5 CUNTIMES Ux Mois. e a G. 2.Cc6 ' e . pEPARTEMENTS Un Mois... « 2.20 Trois Mois . « 6.00 ETRANGER.......) FRois Mos. . « 8.00 ES Be Apunastrarxur, Arthur Isidore || DIRECTION-REDACTION-ADMINISTRATION Ce | P PORY-AU-PRINGE] 7.0, Mow. . « 5.00 | Clément-Magioire , 2 \ Bes mancecrits laeédrés o8 Rox BO torent pas sandus | : 4§, REE ROWX, 4§ pour les agriculteurs et les éleveurs s’était établi entre ce payset Haid. Malheureuse- ment nos économistes, qui ont toujours la prétention de diriger les lois économiques, Histotre Wd Haiti lde 4800, Vassassin et le bourreau des eachots da Cap en 1867, le piquet, le ‘ ‘A LUSAGE DES ADULTES jvoleur de bwaf, le pillard ; Salnave il- lustre! .. Mais avez-vous eu votre bon jGostious, Vassassin de 186%, l’assassinjont augmenté. Un commerce fructueu® LIVRE Iil isens en écrivant ? Je regrette pour vour | qui sont des lois naturelles, ont jeté un f ‘ . ;monsieur Pr a! issieZ|ecri d’ . Violences et représailles on jeu Prophéte, que vous puis ee cri d’alarme. Les Chambres, composées de E vous trouver dans ies rangs et sous 1eSjcitadins, d’abord hésitantes, se sont mises LXX ieapeaux dune telle cause. _jde la partie ; elles ont oubliéla garantie — | ‘* Jsi connna votre frére Sydney; j’ailque donne la loi aux duc . 4 as ne | ; 2, o a0} producteutrs ruraux r Le général Anselme Prophéte répon-; « Aussi, ex-député, nous ne vous sa iconnu votre autre fréra Brenor ; j’ac-|( art. 20 et 21 du C. R. ) : le gros berail Fit comme suit a la lettre de défi de |luons qu’au sort funeste qui vous es corde du mérite a voire pére. — Je re-ja été frappé de droits d’exportation de plus pBuice : réserve. . | greite de trouver ies Prophéle avec les | en plus élevés un simple Commandant . « Anselme Prophete, « Fort Salnave, Camp Simon, le 20 | pi fuets, I cone | . | J’arrondissement a interdit l’exportation de E ~* | septembre 1869, an 6Ge de I’Indépen- | Vous m’uvez annoneé une si bonne | la volaille ; finalement !a loi da tarif doua~ riinéral de division, aide~de-cam p du} dance. . jpouvelle pour mardi ou mereredi, que (nierdu 4 Septembre 1905 par son article PS - Président d’ Haiti, (signé ) A. PropreTe. Je suspends mes opérations pour al- 22 et son tableau No 3 prohibe l’exporta~ tendre. tion des animaux. ‘‘Jene vordrais pas vous voir men-| | Commandant les opérations militai- . . ; ; Bice, trop orgueilleux pour ne pas f.a raison de cette mesure d’exception a pts do. av ; : sigue tir et j ; Saripa aS : da Fort Salnave, retenir le dernier mot, fit la réplique) tir et jo vous conseiile @écrire 2 Sal-' gg que laviande de boucherie devenaic FATex-député Brice ainé, suivante : nave G aceele or | pas. Je suis VenUl trop ché-e. Nous qui vous présentons les 2 : . eee Cth ge PSpeclarement pour iul. : Chef des Cacos. « Liberté, Ega'ité, Civilisation ou Ja! ree Informez a 5 bi as d Moni. | doleances des ¢leveurs nous sommes des formez vous bien (pas du | COnsommateurs de viande,nous employons eo i EC . aye ; mort. lteur, bi > lerniares - . . . :. «Monsieur l’ex député, val , bien entendu) des derniéres nOU- | 4sccj la force motrice animale ; mais nous * «Conjointement avec mes collégues Etat méridional d'Haiti. velles des Etats-Unis ef vous verte? C®|ysonvons la solution injuste, contraire aux rales officiers: g4néraux de divers corps Brice ainé, Ieat probabla voure blindé J Atlalanta; lois économiques. Fda 3 PO , . t probablement sur ce navire que; , . deTannée, ji pris lecture de votre nenuté du peuple, chef superieur du) s¢ bie: ay Ire Se | Nalle part exportation n’est frappée ; lettre en date du A7 et a moi adressée, | p , a4 vous compiuez pour prenare les Cuyes. » ° z Fatea tenour n’a eu cu’une attention or. ter corps d’armée du Sud, en marche © Oaelle folie! quelle aberration ! Vimps:. Li croissirce de la consommation Sinaite cea mc? gu un : : contre Salnave Mais est-ce vous qui tromjez Salnave de la viande est un signe dao progrés carac- Petar, -vo-qu’elle n’est nullement po nat “any tece Salnav : 9|téristique des popula’ions laborieuses et des rltique de votre part ; -en conséquen-j;« Au général A. Prophéte, comman-)0u estce sainave {ul vous trompe > laires «si Fi 3 . . : Je crois. en défiuitive,~que vous vous grands travailleurs 4 gros salaires ; $1 un , Dous répondons unanimement ce dant les Piquets de Simon. Ss sehiitive,” q le est incapable d vor la viande 2 Fai suit, ; trompez tous matuellement. peuple est incipabie oe yall ia viance 18. Monsieur l'ex-député. vou « Général, . ‘* Les pauvres habitants de la cam-j|$°" Pee c eo qt ne ‘de c . Be wil F ’ ur 1 @x-a pu , vous avez Lo. . . tet : saene les evyeuo'les, ce so t eux ul potr merrier ja guan 1f € vian € qui « J'ai regu votre lettre responsive a/Pop 02 oO oy qe eut consommer ou bien le milieu écono- Moin de notre illustre chef, le prési- aj at tant Poy - , fet Salaave, vous pouvez "i tendes la mienne .du 47. Dae r On eee US iver un en migue dans leqvel il travaille est mauvais, es nos murs d'ici mardi ou mercre-| «Hn écrivant le 17, je vous avais| cas ct les matheurenx cultivateurs seuls | bouleversé par lapplication de faux princi- a Mais si vous voulkz nous vaincre, prévenu que yous n’auriez bien'dt de}donnent leur vie ; — quelle infamie ! | Pes éeconomiqeves. j encore rassasiés Donc il n’est ni ¢quitable ni juste de con- Bont ; Que. ; Sra ; ene vous Yous le targuez, je suis|communi:ation qu’avec vousmeme ; je) ** N’étes-vous pis at ‘ . : sai . . : : fmMement 4 vos ordres avec les g6né-| {9 sayai-, mais j2 ne m’attendais vrai-| des dépouilles de ces matheureux? Ces! damner ceux qui travaillent activement a 8 , J { - q nourrir Jes autres 4 bon marché, en les ite ao andent les divisions de} ment pas 4 la fameuse journée du 19! pon. A pien'ot. ous laisr on gitine , partaot, nous| «+ Sj yous pouv.z €'fre tozjours $1 bien! <«* Sain’ eu la Pcirie . empéchant de chercher au dehors le mar- fon on Pienulen latitude d’attaquer Si-|inspiré, quelle reconnaissance éternelle BRICE Ani.” ché le plus rémunerateur. Nous croyons Pe Yous atten ou une lecon exemplal-| nous vous garderions ! J'ai été content cependant qu’on est revenu de ces théories Ee Gard See de vous, content des Piquets pour la Pour Copie confor collectivistes : 19 Vanneée derniére le Sénat Ea ‘2vous bien, ex-député, que| premiére fois,ils se sont crayement bat- our Gopie contorme, adopta le rapport d’une commission ayant eae qui vous couvre toujours aj tus. C’est ainsi qu’il faut mordre, et si AuGUSTE MACGLOIRE. pour président et_ rapporteur les honorables ma, J8quaux régions des Cayes,| leur ardeur était toujours la méme, lun MM. Paulin et Baussan dod nous extra- déja succombé, | wewecsmexcmsesserscemrrEr See wma} yons ceci: « Si méme la concurrence faite VOUS soi ! : . bc ws, Solt plus favorable pour trou-|ou l’autre parti aurait ye sméme | 2 : a consommation locale par lexportaton Celte fois, un port de salut; car|Le nombre étant de votre cété, cest) p A putstioa politique avec laquelle|nous assurément qui succomberions. ou A ; amenait une certaine cherté des fruits, ce ous enveloppez au détriment de| ‘ Pourquoi ne pas continuer sur le ti] (|S I] 6 dl sera tant micux pour les cultivateurs qui Stebnaices qu vous écoutent,nous | méme pied que dimanche? (a finirait ont ea A vaincre bien des difficultés devant 8. | ~ "| oite et le sort du pays serait plus tot _... . compte fait le pays, en général, ne peut Patt lesquelles les faibles ont reculé et tout cant, réfléchi - ex- décidé. a Ev! que los plone i atte Ban ee ae: « Ou est Picot? Eo fuite. Eh bien, Une mesure injuste guy gagner, car on ne saurait avoir la pré- | teniion de forcer les gens 4 travailler, a iu bat vous et al avais j i de vous dire que Loe iaill; vos sicaires ne fas- | 0’avais je pas raison : : Du Journal de TP Association des ; . falllir sur votre téte les mnalé- vos communications n’existeraient plus (Du J Aoriculieurs ) on di peiner pour vendre leurs produits pour une des familles. qu’avec vous mémes. Je reviens donc 4 g , pitance, alors qu’ils peavent obtenir sur les Port-au-Prince, le 24 Juin 1909. marchés étrargers un prix plus rémunéra- st’ COnséq uy, yous dire ceci. f tiquement 4 nous protestons| «oj yous acceptez la guerre, avant teur. 7 alti > (0 contre tous ac-! ignstemps vous serez tous tués a Bour Monsieur le Secrétaire d’Etat de »Si cette dernié.e considération ne devait - dlinistie de past te Etat Osa endy pre det et 4 Simon, d'une maniére ou d'une ; Agriculture. pas prévaloir, ce serait sciemment décou- 3 eee ententa franch defi 3,“0/ autre. Je prends engagement devant | En son hotel riger le piysan liborizux et, ma foi ce ne : conciliation ue © de fusion Dieu, devant ma foi politique. — Atten- . . . serait par la peine de s’occuper de questions em lOns de garder woe sollicitez; | gez, Monsieur le Sccrétaire d’Etat, ~ agricoles économiques, tout en voulant Ric. Prouver que nous envoyé ‘‘ Je vous offre une derniére fois la, L’association des Agriculreurs de l’arron- perpétuer des injustices comme celle que P *seassing femmes, enfants et voix de l’entente et de la réconciliatlon dissement de Port-au-Prince a l’honneur nous avons va nage ere consacrer, an sajet .°™Me vous le faites a: tout | Sams tenir compte du fameux serment q'attirer votre attention sur la situation ex - a d Cuba, me de la volailie a destina solennel prété @ votre illustre président ceptionnelle faite aux producteurs d’ani- }'107 e aba. & . ; 2° M. Marcelin, de son cété, avait le ro . uron - ‘dati tellement set pour tou 'maux par la législation actuelle. Juillet dernier, dépo3sé 4 la Chambre des de. : Salnave. maintenir le Vous vous rappelez que l’indépendance “eG dévoue: gl « i ! quelle profanation . * Rote illustre président Sal. des eet ii chomme des Pegouts du de Cuba y ayant développ: le travail, ses dépuiés au nom du Gouvernement un pro- tT - - \Cap, "homme de la rue Espagnole, |’in- besoins en viande et force motrice animale’ jet de loi rapportant cette prohibition ini- ; . | | |