_r DIREC RT-AU-PRINCE ( Hain: Lundi, 24 Mai 1909. Le Matin QUOTIDIEN ° mt ee ts: G. 2.00 TEUR-FONDATEUR Lit NUMERO 1 5 CENTIMES NCE * * oC B00 Clément Magloire vee ts Un Mow... « 2.20 - OS OT Les manascrites ineérés eu nen ne sereat pas rendus Troms Mois . « 6.00 AvministrateuR, Arthur Isidore DIRFUTION-KED 4 CTION-ADMINISTR ATION seceees) TROIS Mow. . « 8.00 Histoire @ Haiti A L’USAGE DES ADULTES LIVRE III Violences et représailles xxVI c’est-a-dire dix rard et Hérard Dumesle sont bannis du m-a peine aprés l’entrée en fonc- territoire dela République. ye Riviére, !'Assemblée consti-: “ Art. 3. -Le présent arrélé sera exé- m, dens un accés d’enthousiasme, cuté a la diligence du Seer ‘taire dE tat volé une pension viagére d2'au département de la guerre, de la ma- me gounies par an c’était rine et des relations extérieures. peement dans le but de tui ména-|— « Fait au Palais National du Port- ee at ta soil. ____| Républicain, le 21 Mai 184%, an 41e de “sal instantes réclamations | vindépendanc. GUERRIER ja et le voou i - du Nord, Guerrier dat le! “© Par le Président de la République : 48 joursapras la déchéance | ‘* Le Secrétaire d’Etat au département meee rendre un arrété supprimant a ‘des relations extérieures, de |a guerre 7 cette pension et son grade de ‘et de la marine, HYPPOLITE division, l’acte s | ; wag ; anni-sement “le warplus, Voici comment Riviére Hérart, dans une lettre ‘‘ écrite de Kingston a une tet de Hé , ; rard Damesle. personne (un élranger) des Ciyes,” ac- @aat devenu trés rare, je le | cueillit cette mesure: (1) pour l’ulilité de ceux que ats historiques peuvent inté- ARRETE | oy -. la , ; ae e ne puis laisser partir........ sans do la République haitienne, | vous dire fin mot. Te ne pensais pas “ que, d’aprés le voea for-}que les derniers événements eussent Prononcé par les départe | étendu ses vengeances sur movi Je ma- Nord et da Sui, l'Ouest, en|nidre que cela a été, car ce qu'on me a l'ex-président Rividre I1é- reproche est au gouvernemeut pro-i- usion et son grade de général | soire et non A moi, puisque d’aprés les 8, donne lieu 4 un désaccord procés verbavx des séances qu'on peut départ empécher la fasion dee | vérifier, jo m’étais oppo,é a tout ceci ; ements ; Cependant on devait respecter mes aa, en outre, que 1: se|biens car je n’ai jamais 6té ceux de 8 Hérard Rivigre et resence personne. Je pouvais croire qu'on en yet eeciétaire d’Etat de la ma-|VOulait 4 ma place de Président, mais 4 ions extérieures. sur |e; Me bannir sur la terre étrangére, c’est @Hayti, compromet la tran-|imconcevable. Je ne puis croire quy L +4 ’ ceux qui ont si indigaement contribué » Conseil ne s’en repeut avant longtemps. os Hie £8 Janvier’ 184%, Gg fy & a 1 ee s w | ‘Kingston (Jamaique) le2 Aout 134: ‘* Mon cher oeccee a os. 23 -, ’ des Secrétaires d Etat en- “© Je vous désire santé, prospérité, sécurité, et, il faut Vespérer, veci sera - “ ARRGrE : avec l’aide de Dieu. Paites mes amiliés 1.— Le of . & votre famille sans oublier ma com- eos Trecren Rividre Hérard | mare. Je suis fi :hé seulement que vou; ex*rcice da grade de 5, et sa pension Jui — Les citoyens Riviére Hé- ~ iaio 1 Je publie cette lettre et celles qui suivent en tla littérature du signataire, et telles que J meats 1 eles ai trouvées dans les docu- 45. RUE ROUX, 45 = oe 2 n’ayez pas d’argent pour continuer les!ies mains de Mile xs. V. travaux de habitation; mais patience cela viendra, il faut Vespérer. ‘‘ Je vous salue avec considération. ” C. HERARD ainé. | | Voila donc Riviére Hérard protestant | contre la justice politique haitienne le frappant des mémes représailles dont il avait contribué 4 frapper ses prédeé- cesseurs ! ve ; Le Pourtant, il faut le dire, Riviere, aa . Kingston, le 2 aout (844. dire de Madiou, ‘ne fut pas diispida-| OG. Merard ain’ ciioyen de Praslin, teur ; a il ne prévariqua pas, et ra yendral de diviston, aud capitate J. a, preuve la plus évidente, c’est qu’ sa au fe régiment, chute il devait des sommes importan- | “Mon cher concitoyen et frere, tes a beaucoup de ses amis...” _ | “Les fvénement qui viennent d’arri- En effet, l’'assertion de Madiou est ;ver aux Cayes et duns toute lu républi- }amplement vérifiée par le deux lettre: qua, événemenut qui effacent par la bar- Suilvantes ou nous voyous ancien pre jiirie de leur Couception ta belle révo- sident réclamer avec Inscance des andl fyoiian qual avait placé Tavti sur la ligne maux enlevés de -on hibitation : ‘des gtatdes nations de univers, ont Kingston, 2 aot IN¢?. eu pour résuitat de meexiler a la Ja- C. Hérard, citoyen de Prasli>, pene mm Heytle > Mais COUN Je bad jamais ral de division, au capituine Vota P7o ht tae. ni avis nt pelle persoone, come régime-it, en garnison aux Carper, ia Pat honore et fait honorer toutes les famides, je trouve fort qu'on veaille creendre ce qui 'appirtient de droit, Le ciel punira ceux qni ont cette ine fenton, ils persistent a ne pas me re~ Jiettre ce qui ast a moi. Je vous don- ie done plein pouvoir de réclamer en hinon nom quelques animaux que j'avais bsisse aux Cayes dans les mains de D.; cee sont un gris marcheur que j’avais , ainsi que nombre juments et poulinapes étempés toma marque. Jenverrai an pouvoir au capitaine J. Go de faire des memes ré- Clamations. Ainsi qae tes betes a cor- aes ef de cubroucts, que vous rencon- tierad... ‘Je vous salue trés cordialement.” C. Herano aine, & s © ? ~ ‘* Citoyen capitaine, ‘Me trouvant ici par les événements politiques de mon pays heélus! trop malheureux. Comme c’est en reéecom- pense de la révoluticn qui devait régé- néré mon pays et par Iignelle j'avars | Cleve Hayt a la ligne des nations [e- plus civilisés, n’avais jas soulfert TY tcheté de luiemeime, un tocade, up barmée se serait avili d’aucun pillage ruuge briile nn baille dans les mains ia cet exemple on ne doit pas sempare | yp, Pp; un gris marcheur chez R. ; de rien qui ne soit a mei a moins do rie tes mains de Mme I... un savain satirer sur soi la pusition du Createur oo inne en mon nom. ainsi qu'une infi- Je viens en cette raison vous donne: nite M he iument et soulin étampés a ‘procuration de réclamé a mon HOw 4 marque " ew plusieurs chevaux que j avals entre te. Je pense, mon cher frére, que gil y ‘mains de Mr B., qui sont désign’ com 1 es homies assez malveillants pour me suis: un cheval gris blane qui “P" faire me faire du mal a moi qui les a partiens au colonel J. P. f., étamps fait du bien, vous ne serez point de sur son nom, ayant les oreils de cor ceux-H ? ‘chon, que j’avais chargé au co'one a a oe a oy de le tue onvo é; an cheval baille gris Je vous salue avec considération, ‘ayant écoile filante, éta'on sppartenant C. HEnAnD ane, ‘au général T. H. J’avais donné la mé- , me mission 4 B.; un cheval rouge braun qe javais acheté de D. L.; un gris blanc qui était entre les mains de P. R ; un blongris étempé sur sa marque; un gris moucheté naturel pas fort; un gris de fer nommé Moustigue ; une ju- ment rouge de sel nommé¢ Princesse ; > un rouge tocade naturel qui était entre Je n'ai plus qu’un mot ajouter. Riviere Hférard ‘‘ mourut de priva- tioas et méme de faim’; car 4 la Ja- maiqae il fut constamment dans la der- niére des miséres, ‘‘cultivant. dit Ma- diou, de sa propre main des patates pour se nourrir.” AvuGusTE MAGLOIRE. D. Dreverille; Mile M. Léon, Mme R. GRAINS » POUS“IERE Dieu soit loud ! Lia vaieté nous es’ cnfin revenue avec la renaissanc: des gazettes. Il y adu rire sur les galécs. Des corf-é-es trés graves reculent Ics bore*s de la fantai- sie. Je connais d’anciens mi... hropes gai se font sujourd’hui des pintes de bon srrg en lisant les f ules. Eig: ie fate que ¢ »mmencer... Pour Iinstant, dans le n:ande of Pon s’amusse, on s'cccupe des dernitres classifi- cations de Ia Presse. D’aprés Vinvcntion la plus récente, la corporation sori) divi sée en deux caégories bien distincics : la Presse indép2ndanve c: la Presve gdépen- dante. On connait les illusircs confie.es de la premicce catépo:i:. Hs sont fizrs, ils sont gands, ils sont b aux. Inutile d’ajou- ter guiils ne sont pas d.s courtisens. Ils le proclament eux-mémes. Parmi eux, se trouve notre Vieux copain Le Noouvelliste, notre cher compagnon de route sous le e:¢gne exécré de pipa Nord». Nous ne metions aucune mslice Ale dé- tacher du proupe luminenx. Nous vou- lons seulement faire part 4A nos lecteurs deyson grand projet gui mérite bien d’étre vulparisé. Notre confrare se propose, en effet, W’criger un autel dela Patrie dans le coeur du Président Simon. C’est une idée originale et un vaste dessin. Chaque membre de la Presse indépendante apporte- ra probab'ement sa pierre a I’édifice. Cependant, comme le Matin se trouve étre le seul et unique représentsnt de la Presse dépendante,son devoir lui commande de faire observer trés courtoisement que le ferrain qu'on a en vue ne sanrait convenir a Vexécation d'une pircille entreprise. 11 faudra donc voir A placer ailleurs cet autel de la Patrie. Et si nous le disons, en vérité ce n’est pas pour embcrer 12 Noouvelliste... Nix ey aoe RENSEIGNF MENTS “METEORVOLOGIQU ks Obsexvatoire DU SEKMINAIRE COLLEGE St-MARTIAL -— —_ DIMANCHE 23 MAr 1909 Barométre 4 midi 760, */"1 Teror érature|™ rst 22 5 maxif..arn 33.9 Moyenne diurne de la tempériture 28 ,1 Ciel un peu nuagevx dans Vlaprés-midi seulement. Brise de mer de bonne heure, mais faible. Température au-dessus de ia normale. Orage au Sud pendant la nuit. Barométre encore en baisse. J. SCHERER Arrivage et Départ Voici la liste des passagers arrivés hier matin par le ‘‘Prins der Nederlanden”’ et venant de : Jacmel.— Mr et Mme Madsen, Mlle Bea- ley, G. Fourés. Cayes. — G. Larco, A. Asseli, L. Lubin, L. France, B. Dorisuond, Mme J. Louis, Latorest, Georges ect Félix Dachiers, A. Amania, Mme Lagroue, S. Lagent, 4 acques, R. Fart, C. Arnold, Mmes B. {ease L. Villefrandre,*-Mme E. Théard, Péra.ta, L. Vigce et 2 enfants. Jér- mie — daud et erfints, Mr et Mm- Alines. Miragodne.— J Blanchard, S. Barthel- my, C. David. . Il est reparti daas la soirés avec les pas- agers siavinis a destinision de: St Ma.c. — Mr Lonis Delva, Miot, Mr Kéncl, P. Gor ail, Emile Pre-Faul Perera, Dom'nijuz Joseph, R Coz:aa, R-ymond S-Armand, M. A. Kawas, J. M oD ilshin. Necime J. Koari. Mme Du- clus Augus:in, Odestin Jeune, Mr Thézan, Move Héléce Fosseav, Mr A. Durand. New York, — Mr Philippe Zke, Mr et Mme W. E. R uberts, Mr Thomas Paret, Mr Joseph B:ech, Alexandre Deaitbes. Neécrologie Nous appzenons, par @dépéshe, 12 mort de Mme Papitton, fzmme d: l’aacien mi- au Cap, nistre de lI éisur, survera2 samedi 22 Mai. Cv sdoléances A le timitte Pasi "oa. Mariage En | Eglise St Joseph sera célébré, le jeudi 27 mai courant, 47 heures da ma- tin le mariage de Mile Cécite FEQuIERE avec M. ALExaNDRE Bourpon. Nos compliments Bonne cccasion A vendre un superbe buss en trés bon état. S’adresser au Matin ou 4 M. Léonce Duponx. M. Henry Furniss du New-York Héralb Mr Henry W. Furniss, ministre améri- cain en Haiii était passseger 4 bord du steamer « Prinz Eitel Erédérick » de la Ligne Hambourgeoise Américaine qui est arrivé A quai hier venant des poris des Antilles. Mr Furniss est en congé pour quelques mois. ‘*Les affaires gouvernemeniales d Hiti” progressent favorab'ement ”’ a dit Mr Fur- niss. ** Le Président Simon prouve qu'il estun chef d'E:at capab‘e. I est particulié- rem.nt bien disposé en faveur des étran-. gers ct ceux-ci sous son Gouvernement sont ‘assvrés de pouvoir mener leurs af- faires dans I’Ile sans entraves injustes de la part de 1’Etat. ‘‘Depuis son avénement de forts capitaax étrangers arriventdans le’pays.” Echo de Jérémie De notre correspondant. Le 15 Maia éré f@-é ici avec tous les honneurs dis au premier Magistrat de la République. Toute la population, pour ce- la, a donné au Délégué Roland, son plus franc concours. C’était comme une mani- testation de joie publique. La veille, au soir, illumination fat Presque générale. Sur la place d’armes la oul, en liesse, accournt pour entendie le corcert donoé par la_ musique militaire . Chassigne, Mme C. Bour- Clovis Mme Vve And:é Cem an. J Morisset, A. Boutin, Mc Woltt, Mile Héléae a= « ee — al é'aves des écoles nationales de filles, avec éait mitional et a pu aller ay coeur de toute I'assistance.— B:en aprés le départ du pré.rc. Mr le Délégoé resta 3 sa place, pour !e ouir ent é € ner t. Li réccption au * Palais National ” —va que hotel de Varrondiss:ment est devenn, par so mauvais érat d+ vérnsté, improore Ac:la fut heurerse. Mr le Dilégié, avec ract et éléaince, en fiisait les honnenrs Nis fomes surpris dz le voir, lai-méme, se-vir di champagne et du pa é a tous les corps d'Erat qu’il eut la patience d’appe- ‘er ct d'attendre se réunir. Or fat flitté de tant d'honneur et l’on sit découvrir chez 'e dé'ég 14 la simplicité dins la grandenr, le plus str indice de la bonne direction de Esprit des grands. Div.rs orateurs, aptés le Délégaé, porté- rent la santé du Chef de l’Erat. Dans l’aprés-midi la foule se massa sur la place d’armes ponr assister 4 la fé-e des courses et du bois de cozagre. Elle battait son plein, quand un malheureux accident y mit fia. La salve de c'é-ure, qui mélait sa note grive au bruit de l’a'iégresse générale fit trois victimes, dont l’nne mourat, sur leur, s’échappa dela main de T’artillear qui chargeait, et aller droit sux un batail- lon du 18e. C’est 14 qu'il fit’son ravage. La conternation succéds, incontinent, a Vallégresse générale. Le délégué fit faire, le lendemain ma- tin, d’imposantes funérailles 4 la victime ma:heureuse d’une si implacable fatalité. Le convoi, cornposé de toute la population représentée ; ar ses notabilités, conduisit le corps jusqu’au portail ot l’attendaient ses parents desolés. Ya population de Jérémie a été heureuse de la belle et touchante manifestation dont la fé:e du 15 a été l’objet. Toujours, elle se fzra le grand honneur et le doux devoir de rendre hommage au Président Antoine qai cs: digae par ses actes de l’estime et d? la reconnaissance publiques. oe, Exirait du Courrier des Etats-Unis du 15 Mai 1909. Un curieux procés Le second mariage aprés divorce Un curieux procés en 50.000 frances de dommages intéréts est actuellement soumis au jour du Tribunal civi! de la Seine. Il est intenté 4 M. Carteron, ministre | pléniporentiaire de France 4 Haiti, par M. j Rouzter, 4 la suite du refus que lui opposs [te représentant frangais de procéder a la célébration de son nouveau mariage avec Mme Blanche de Madelung, d’avec il avait été divorcé. Frangais de nationalité, et se fondant sur A lEgiise nous edmes la satisfaction d'entendve aprés la cérémonie, et de go- ter, surtout, an bon et beau chant que les de cet arrondissement. On voyait des f+ les dispositions de l’article 295 du code ci- milies, bras dessus, bras dessous, s’y pro- | vil qui prohibe le mariage entre époux sea- mener au son de la mélodie, et méler, avec lement aprés un second divorce, M. Rouzier la populace, sa manifestation en favear du | s’était présenté devant M. Carteron pour Président Antoine. contracier l'anion qa'il projetait avec celle Le lendemiin, 47 heures 1/2 du matin, | dont il regretiait d’avoir été séparé. tous Ics fonctionnaires et employés rement| Sur le conseil méme de M. il défilaient de I’hé-el. de arrondissement | avait saisi le Ministre des affaires é angéres ur se rendre all’Eglise ot lee«Te-Deams (de la question de savoir si un reil ma- ut chanté avec la pompe ordinaire. Oa li- | riage était possible. Il lui avait été aussitét ra dans l’officiel, le suggestif discours da sépondu que la célébration de ce mari Délégué sur l’antel de la Patrie. Crest an é:ait_parfaitement régaliére, 4 la condition morceau de bon godt, fort appréciable sar- | qu’elle edt lieu aprés l’expiration des délais tout poor l’élévation et la justesse de ses impartis par les articles 228 et 296 de code idées.— L’orateur, doublé du militaire, ! civil, c’est-a-dire les dix mois de vi- n’a pas eu un mince succés d’éloquence. — ' duité , leurs professeurs, nous ont offert. Ce chant . _ Tlage. ;3 cpposé un déclina:oire ‘qu'il érait dé ermiaé 3 aquelle] Pp approchsient : apres i * ge, Poe dont il est question dans ces articles, 4 avaient f° & le «< a et les agli Fort de cette réponse sagit tnt ezpirés, MR vesa evane lofi: a pétent. Ii lei avait été sless ons de Privitic internationtie a EB é, en raison dg ® - R0zZ er avait cru devair pees arvicles qu'il avait fiiy paral re ; naux locaux, rela ivement 4 le * hai ienne qui, clle, n’admet pas-@ ment 4 la loi frarcu'se, le not f aprés le divorce des époug, Dans @ ditions M_ Ronzier avait pris le am rove la France avce Mme de Madaa avait fit célebrer son mari i [i acait ensuite ass'gné i $9.000 francs de dommiages in:éstar de réparation du préjadice qui lid caus4 par suite da refos opposé # agent 4 sa demacde de célébratiog A cette demande, le parquet de Mil ince Aprés avoir entendu la Dig Coulon qui sé ait présenté pour be & deur, le Tribaasi a renvoyé Mg huitaine, ” Nous avons eu l'occasion de veigt ami Chul.s Rouz’er qui — 'e champ et auchamp d’honneur. L’écou- ! ; qui Gous 8 cg villon, sous action d’une trov forte cha- ! Vexistence da precés en question, @ a expliqué ceriaiaes inexactiondes equ tient la note ci-dessas, notamment fi tendus articles paras dans les je Port-au-Princ: qai n'ont jemsis ler de la législation haitieane, ¢ dit le Courrier. 4 La décision de soumetire son agi Justice francaise lui a été dicide par i cédé arb:raire employé contre lei gf Carteron, malgré les instractions tage ct précises du Quai d’Ocsay. D ct reprodairait — si beso dat - affaire devant toute juridiction com Nous tiendrons nos lecteats sa de cet iniércssant proces. “a DISCOURS -j Proxnoneé par Mr. ‘Duces f sur a tombe du gnéral cois. o-oo — _ Découvrons- nous, Messicars, cette fosse encore béante of descendre les restes inanimés dc Mig de bien que fut Cictron Fram... <3 Oui, découvrons-nous, | pour loi adsesser dans oat le men: nécessaire le supréme encore et surtout en témoign: fund respect et de la haate Ja Société Port-au Princienne é co .ditions, et, en » a ter doit 4 sa mémoire. Ea edfet,doaé des ples b:iligates. de coear et d'esprit, que je Seem as, bien sir, d'énumérer ici, & cm toute de doalear et de reg, qq ie d’essayer d’esqu.sser cw GCE les grands traits de sa belle et 9 que figure. _y Sensible a l'amiuié en moat l'accomp'issement délicat des voits qu’elle impose ; dees & solament a! le; d’en pean al et franc ; d'une grandeur 6G Je bonté rares, a0 milies dp dss darerés et _absissommy ia cience qui. de nos Tree ae s'dlever a anteat - titation, Cicéron Fraogols & Bf de l'enime cent ei san hs afiaal qui fait la force nne fraternelle rompve, régne ifia et le respect des Uaion, désormais an Parmi cux ; pour fa uelle devien ye moins fréquentes, plus remirqaable comme iede dans l’austére sen oe peupies, iniorer- Brande ety are. 6m | cy “tentom bh? is ;}-oas Végide bienfai de la paj => taire bien compris ; | ous Matsante de lapai, «:1.: 4 got . Lose ove son pauvre et/}istice et de la liberré Adieu. > qe a, ke tS ee awa aw @: mame citoyen ; d’un~|* °S 0 tm ne meee ceree, | ge ge ee, > Sepieers ports temills 0") Pron, Gt. Littérai SAS Cpectguy Recommantis pear ¢ HG dévonement sans bornes ~ raire (= Gide. eae g BLANCHIR ADOUCIR p) mr ' eS . ] tse i¢- ‘ . | = £ 7 4d Ae ® oe J 4 Bees titres divers il sut se 1¢ Ou Artistique! DS SF. ‘vHE ve VHLOUTER ee spent une na‘ure d é'ite, vral- — i oa ; $5 ~<«ON , _ a peew du vicage ot des malns is spiiirable, vramen’ d-gre de l’alflec | Photog aphie--Reprod :--cn,' ™ &€ ae pee _ et pleine d’attachement d s Jont -etag m.( Rep..N>5 pop ie. Ss i Je. ON, 2, Fanheree St-Martin, PARIS 0 ABefuser les ¥mitations « 16 i1tféraire at artist; | Se a oe ee pearpemans gutres. . . Stiqae, n.175! te Spee i : : pas de cette fier é inso'ente etjet s | 218 et s. aad. Rap. nol mh. re SE : ar a7, fi ® ies egractérisant le parveng, née de Propriéres littérairsa, «+t: tique | re ee eo ae adoucit I’épiderme auquel elle pobeie on de qaelqu’opinion fropjet industrieile n, 222 -- | 6:11 Ls ° roy Sy ye a: donne une souplesse et un ve- anacing de $0 ee de de de cet e;et s.). Se Od Bek louté incomparable en lui com- ent et sereine, fille dc la modestie, | yb oto raphie. oo; codon cf Main. 00 t+ stilted muniquant son délicieux par- ir, incapable de transaction hon-| |, | r ale ee dots par ba pve dons | um. Elie Oe - (4 traicheur du teint, car elle est souveraine ie a Uhonneur et a la pro- . au moc re par la disposition des +2- contre fe ba’... ie Mla tt: ectes et les 6ruptions de la peau ferfsire . ' cessotres qui Veatourent,par l’aspeet qu’elfe | : i invisi y, inacensible aux attcintes dé'éréres pésente dans son ensemble ce distingue da | Jot mo. sans bismuth, invisible, adhé- } moraies. tle détaut de! POrtrait ordinaire. ct constitue une cas | La [ 4 | “4 Ca rente, impalpable, préparée nett sli, qui sait , és a0 use | Vre imtellectuelle, est ene veritable prodec- " Ss spécialement pour les person~- ecere, # Cen est débuir a d. bien dec tion de esprit. prosepce par les disposi-! aréproehat, Of ies nes qui veuleut avoir un teint pen fue de son métite done il 8075 de la loi des 19 24 Juillet 1793 C1) ia Bawouite / i‘: $0n velouté ont contribué a faire d’elle, iO: ce , . : PL use ot vit ys ‘ ba valeur de toutes les infor. '¢ id- 19-24 Juillet 1793. are rer | m4 SIS: s, enfe, qui se sont impi'oyablement En conséquence, 4 détaut de conventions ~ % Prem & base de Créme Simon, isser lai,dansces six derniéres an- le ohana? er sous reserve du droit POUT LE AN préparé selon les principes de su vie et qui, ayant rédait mot-il¢ Photographe gui est lauteur de cette | . Poo / les plus scrupuleux deThygi ne ws efors en vue duriliser ses forces PRO OMe, ss BEATA LS SOnt Cotes fos aoe ° posséde 4 un certain egré ati mt mécounues, l’ayant ré- dent bes dre ven faire des reprodecuons | aghi ot préscevatrices de la Creme Simon > il is -i ivati ' - pes vecs aere mises ey vente ou pu-: mg ‘pour fa Toilette de: enfauts et pour les tion one digas pauvresds one, BHEA C2.) Cid fhe | oe > } i e t : : 2 iC Importe peu que les Sorenves aient : aiti Sinus ef chevsleeigce energie. pa; Cte remises gratuitement 21 model”, oii | | Pepot pour Haiti wmsser, par le conduire vers la tombe, 92 ies ait Payées au prisx ordidure ou 4/ . Nes LOwmolea , ‘ne, OM prix de faverr | dans runes losutre wet ya 4 ft f , * . ? - . : “ * i Xt > hg toch © que ne l'avait fixé line cas le modéle ne pent en fiire f.ire des re- | 3 LAVILLE i, gedons-nous, Mesdames et Mes- productions destinges actre vendues ou! cu hog. «de VU Rtat, 98 i > a : : ; Seer ee, 20, OG en Ti Ee 5 B, de noes laisser a'ler 4 suivre irré~ Pupliées ¢ 3 / ( dd hitis de saeeperts to “* ST — eet élin na‘ure!, cette effusion | . . te, commet eg 4 er ds con retas: y .. ¢ notre coe:r de frére son Vimprim:ur qul repreduit en por rcit a 3 ar e . - ° , } 72) a Mm -peqee Ne, type ° ‘ onsmoas d'avoir seu'ement l’air de mo oBraphigne aya le a CUraer ere ane ; q) i : é ( =~ \ OUS 0 I re rua instant sonder les profondeurs ke re reistique Sans se préoccaper dest! meases des desseins de I’étre supréme bore s! 4 Persoun’ qui lui a remis une DU ila éié dit dans le langig: des Dieux. CPreuve de Son porira:t, et dont i pretend i : eat Stus d’ailieurs Vécablir, s’eire bored a exe. | where, ,- wer a Bternel son nom, le monde est son culer la commind:, aviit te dro:t de fire al o 7 T A B t E K GL ; 9 nde I Be. ,Teproduire la Photosraphie gael iui lee, wei . i L 7 LB & avnous de chercher a lever nos re ' mettait C4) Cid ’ q I. NOP og a thécheeent of brew qr firmma- Code penal, art. 347 | ch PNAS faadia “Nerated and ’ Piutot sur Jes tour- Toute édition Wécrits, de compositions: INE tae: AT ch tye mM Zi que ies martyrs on', de tous temps, mus cales, de dessin de hthogephie. d= “LED: * cP oy Ss Co precast e Vy € i «<> ard eel ‘enn de homme de doc- peinture, ou de ioute autre production | , mass O.. 1 Jamaica ) bik vee de n “Ber f et confondons imprimée ou gravée en entier ou en Partie, one Koi, Woy, ae i) tuatrase sche re fragilité et de no au mépris des lois et réglements relatifs 4! bt IRON Ergo. bea , ' cher ‘Cicéro j _la proprié:é des auteurs, esi une cour fa | - oe ty os 1, aa nom de ¢ n,et toute contrefigon est un délir. reeote nia: 2 lascne a eae a 2s en pleurs qui ont com- = — A bon entendeur, sa'ut ! po . eins de lt Famaique. Puliime devoir e de solidarité sO - Ed. G. MEWS & Co | Verez elon Modo. 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