Troistéme Année, N. 611 PORT-AU-PRINCE ( Hain Lundi, 12 Avril 1909. Arthur Isidore, ADMINISTRATEUR Abonnements: DIRECTEUR-FONDATEUR e Un Mos. . .G. 2.00 | Clément Magloi : L PORT-AU-PRINCE/ -... Mow. . « 5.00 | en gioire : TEM Un Mos... « 2.20 [| pePARTEMENTS Tros Mos . « 6.00 [| DIRECTION-REDACTION-ADMINISTRATION | ETRANGER.......| Trois Mow. . « 8.00 43, RUE ROUX, 45. ————— OO LE TABA Un probléme agricole et industriel Vv Il ressort de l’examen détaillé que méthodique du tabac, il est intéres- ous avons fait des avantages et des sant de voir comment le contrat réa- harges du contrat présenté par lacom- ‘lise ce but. Il Vétablissement de trois beni S. T. L , que les clauses essen - | prévoit elles de ce contrat sont des plus fa-.champs d’expérimentation, dans le prables pour }’Etat haitien. ‘pays;ce qui est d’ailleurs le mode Cela est si vrai qu'il n’y existe pas, habituellement accepté par IEtat hai- our ainsi dire, de charges contre I’E-'‘ tien qui se préoccupe, a chaque occa- it; nos en avons inutilement cher- ‘sion, de créer des fermes-écoles hé. Aussi, nous nous sommes bor-' [L’un de ces champs d’expérimen- ds Aexaminer les avantages récla-:tation, l’une de ces _fermes-écoles és par Ja Compagnie et 4 rechercher existe déja : c’est celui de Diquini. ils ne lésaient pas d'autres intéréts' D3 sorte que, sur ce point spécial, Ignes également de notre attention :|les concessionmiires offrent a l'Etat ‘nous avons vu qu’aucun intérét ne'la meilleure et la plus sure des ga- ra sacrifié par l’exploitation S.T.L.'ranties: une expérimentation déja ‘que, bien au contraire, il se trouve! faite, un résuliat déja atteint. L’Etat le, par un tres heureux accord des.n’a plus qu a exiger de ces messieurs oses, les avantages qu’elle sollicite. qu’ils fassent, sur les autres points du ront amplement partagés par I’Etat pays qu’ils auront choisis pour les Itien. ‘deux autres établissements, ni plus ni Nous voulons maintenant pousser | moins que ce qu’ils ont tre examen dans un autre ordre 'sé & Diquini. Qe peut-il idées et rechercher quels bénéfices haiter de plus ° itel contrat est-il de nature @1é-; Pour linstallation des er eee en supposant passée la! champs, les concessionnaires deman- triode de dix années que devra du-identun délai maximum de trois ans.— r le monopole, ice qui témoigne, sans nul doute, de Sil peut étre bien établi qu’il est l’extréme bonne foi des conc: ssion- antageux pour |’Etat haitien, en tant! aires, car il n’a pas fallu moins de ladministra'eur des inté di ées de tatonnemen's réts de la| dix annees de t: , érimentations diverses pour réa- Mmunauté, de tirer d'ex ar réa ales les facilités de geation nque liser les résultats actuels de Diguint. tons vues ; si, d’autre part, la! Is apportent ainsi, sur tous autres ra unauté elle-méme, sans ,s’impo-| concessionnaires, s'il sen présentait, 2 pa sacrifice ni aucune priva-|le bénéfice d'une expérience person- nai, des cond devoir bénéficier, oe nelle assez chérement achetée. Met de sa tions prévues au con- Le délai de trois ans n’est pas seule Fat-il pas Claire a exécation,— ne| ment établi pour donner aux conces- » pour I édificats le Corps légis- | sionnaires 14 temps matériellement né- enons q ication duqael nous| cegsaire pour faire ces installations ; bien se ailleurs ce travail, de- il a aussi, ii asurtout pour but de circonstaneon® compte de toutes |igur permettre de préparer, sur,le do- tment la portée du vote qu'il au. maine déja existant de Dio non te per i ° nécessaire eine, eur ce sujet? connel entonar administrer les nou- Ceci dit, contin ar ’ uons notre examen.|velles exploitations, sans exposer ie oo définitif pro étant d’éta-| succes de cette culture et sans com- lan © facon définitive dans le|Promettre loauvre poursuivie. culture, j‘entends le culture , vraimentsou- Lux fait et réali-i deux autres. d’études, | Port-au-Prince g Avril 1909 A Monsieur Clément Magloire Directeur du ‘‘ Matin” Mon cher Directeur, Veuillez, je vous prie, insérer, au p'us prochain numéro du ‘‘ Matin’, la lettre ;ci-jointe : réponse 4 Monsieur Leger 'Cauvin. | Avec tines remerctnents-anticipés | Votie dévoné, 1 | ALEXNDRE LILAVOIS ! | | P. S.— J'ai envoys un mor d’excuse:a ;mon ami Ang. O. Archer, relativement 4 .sa leitre publigée dins le ‘‘Mutin” du 7 ‘Avril, courant. C’est !'e rerjuré sapp!éant, \Mr Dorélien Pierre, qui remplaca le juré “Archer 4 l’audicnce du jeudi, rer Décem- jbre 1904. ~ REPONSE AM Léger CAUVIN | | | | | : Port-au-Prince, le 9 Avril 19179. . A Monsieur LeEGea CAUVIN Monsieur, Il m’est tombé sous les veux le N° ‘du Matin du 7 Avril conrant ou se trouve «publiée une lettre de vous. ‘datée du > de ce mois” et adressée a Messieurs Camilie Bruno et Alexan- dre Lilavois. Votre lettre contient a mon égard de fausses allégations qu'il est de mon devoir d9 relever. Vous écrivez : | 4°)Maisaprés la ratification officielle ‘des mandataires autorisés, quand tou- te crainte était dissipée et u’on ouvait désormais se fier a I’étoile du général-Nord, que le succés enfin était consacré et asvuré, qu’avez vous fait? Vous étes accouru lui orter _vos services ; il y avait quelque chose '& prendre, vous avez tendu la main, vous avez pris de lus tout ce que vous avez pu.... » -* A cela, il m’est facile de répondre. ‘Vous avez été le premier Ministre de _VIotériear da Gouvernement du Gé \néral Nord ; pouvez-vous sur l’hon- Le Nalin QUOTIDIEN Camille Néré Numa REDACTRUR EN CHEF | NUMERO {5 cevTimEs Les abounemeuts parter.t da 1 ct duets de chaque racis et sont payables d’avamce Les manuscrits inesérée ov non ne serent pas vendas neur, dire m’avoir vu une seu/e fois au Palais National avant ladite du 23 Mars 1903? Quelqu’un de vos colla- borateurs de |’époque, est-il capable de l'affirmer ? J-affirme que non. Je me suis trouvé — pour la pre- miére fois sous le gouvernement du général Nord— au_ palais de la Prési- dence, le lundi, 23 Mars 1903, en compagnie des autres membres de la Commission d’Enquéte, laquelle ve- nait d’étre instituée le samedi 2! du mémea mois. Pour les besoins de votre cause, vous’ voulez oubliar, Monsieur, que vous étes un des péres de .Ja Commis- sion d’Eoquéte créée par Ariété du Président dela République— sur le rapport du Ministre des finances — en vertu d’une décision du Conseil des Secrétaires d’'Etat dont vous fai- siez parii€, je le “répéte. A l’appui de ce fait qui est indéniable,je vous ren- voie au N° 25 du Moniteur du 28 Mars 1903. (est donc vous, Pouvoir Exécutif de I’époque, qui m’avez appelé ; c’est donc vous, qui m/‘avez fait sortir de mon « repaire » (sic) de Pétion-Ville 'pour— aux termes de l’Arreté du 21 Mars 1903 - « rélablir Yordre dans les finansee, vlors que dis tadices graves fatsatent douter de la sincérité,de U@ecé- cution des luis relatives aux diverses opérati ns de consolidation de la Dette Publique. » Ce n'est pas moi gui ai été offrir ou porter mes services 4 qui que ce soit ; le général Nord: et tous ceux qui étaient pres de lui peuvent l’attester, vous excepté. 2°) Vous me faites le reproche d’a- voir percu pour moo _ travail Trois cents gourdes d’indempités mensuelles comme membre de la Commission d’Enquéte, et partie desS o/o oa 10 o/o, alloués aux cinq membres de la Commission de Liquidation, assistés de deux impeccables avocats, par dé- cision du Pouvoir Exécutif, ratifiée par le Cops législatif. Dites-moi franchemenat, Moasieur : pensez-vous bien sincérement ce que vous avancez de ce chef? Je ne/croi- pas ; & moins d’avoir eu !’intention ~ au moment ou, spontanément vous faisiez appel au conccurs efficace que je pouvais préter dans la circonstan- (Ts Cee, Ce au pouvoir auquel vous avez ap- partenu-- de réclamer mes services gratuitement. Mais je n’aurais jamais souscrit &une pareile: éoormndé, ni vous non plus si vous éti'z a =ma pla- Ce raprovhe nest vraiment pas sé- rieux. co) Dites-moi combi-n vous a-t-it (le général Nord ) doun®? fo la main a la main commeya Zant dactres? » Je snis been a Baise pour ané@untir Cette assertion qui mest: mectinio, Eo dehors des bps tixZes ona forfaitaui arctai@*duss. jeu’ jam tis recuun soe ni du pont Nord. oi @aucnn de ses imiaistr soi de qui qae ce soit, I vous en: A ailbeours fae cile de contidoler mon dice qui ast ir- réfatablo, pnuisaqne vou. Gres en ce momeut, aroratonandaetire da wana. ral Nord Alexis, gedee a Vintermnd- diaire de qne'qu’ua qas vous aviez Classé dans te teigps pared «un tas @hommes perdus de dettes et de crimes..,....... eee ( voir Ace pro,;os ls « Moviteuc » du 2 juin 1903, No 44, page 347, I” co. lomne. » Je sais, pour ma partyme rappelant C’rtaines coniidences qui m’ont. été faites— qua le général Nord envoyait des centaines de dollars ov américain e @ tant Mautres » exilé: A la Jamaique pour les ‘aider & vivre ; qu'il!) était en- core assez prodigvee pour leur paver leurs frais de déplicemeant tin de leur faciliter leur rentiée en Hat‘i. Vous étes bien |} lacé, en votre qnua- lit®é de mandataire-avorct de Vancien Président, pour biea connaitre ces in- dividus que je viens d@indiquer. Hy a plas: On rapporte que ces in- dividus, revenus d‘exil, avaient leur entrée au Palais national. si bian quils pouvaientrecommander certains de leurs amis 4 des {fonctions publi- ques . et affirme-t-on, iis étaient sar- vis a souhait. / ) Vous mn? cites encore: «e Un jour, dans unde ces conecilia- bules que vous teniez chez Camille Bruno et et vous dominic z, on’se lair saatler a des réilexions desobltivean tes sar deux de mes contréeres qu'on s'attendait & voir tigurer an bine de la défense, dans le futur proces de la Consolidation. » Cette allégation est anssi ine xacte que celles dunt il vient d’étra ques- tion. Si les deux conftéres auxquels vos faites allusion sont Messieurs Oreste et Lespinasse, je vous saurais gtide vouloir les questionner sur be coud te que jai tenue a lear é¢yard avant, pendant et surtout aprés le jugement du 25 Décembre 190%. Je ne veux pas m’‘arreter sur les faits,qui avaient ame- né la ferme et respe que Messieurs Bruno, D uphin, .u, Th. Lafontant et moi avions produite en leur faveur. Notre intervention recut laccuei! emprossé da général Nord, qui fit la déclaration suivante, apres nous avoir entendus : « Vous avez parfaitement raison. « Je ne veux plus qu’on m2 parle de Meesieurs Lespinasse et Oreste qui, comme vous venez de le dire, out rem pli librement etconscienciensement| vé A la caisse publique 4 titre de re- leur devoir envers leurs clients et er- vers tout le monde. » S°) Vous écrivez : «... N’est-ce pas enfin a la faveur| laissez moi dont vous jouissiez auprés de lui ( gé-} ce néral Nord ) | | tueuse = défense | forestiére dela presqu’ile da Bae, ~ , Nord Vexploitation dec: tte pactie du que vous devez cette 'l’Etat da 13 Mai 1905 au 96 Mars 1900. - Redevances en or américain P.5.406 42 Dr its d’eceportation » Ensemble or P. Droits de wharfage (mo.:- naie nationale). ........ P4533 Timbre pour coanaissements ». 44 10 Timbre » q ittances(Douane)s. 2.5% Papier-timbré (Douare) .. . ». 88 20 Ensemble P. Tuis-je rappeler au public Tos fas Concession du 3 Octobre 1904. qui vous attribue, jour neuf années, !es iles Cayemites, la presqu’lle du Grand Boucan, ete. ete. » . AG sujet jai & vons dire qven ina qualité de citoyen hisitien j’avais incontestablem nt te droit de présen ter une parei'ls d mande an gouver- nement de mon pays ; j’en.avais d au- rast) pis le drottque d'aatres ma- veiant rréeédé dans cette exploita- tina on avaiant cu avent moi des con- e-=3i0°s du méne genre, Lisez. s'il vous plait,avee moi: Ex- pos! de la situation, année 1578 « Les Cry uettes ont é6t& afformdos le 14 Janvier 1878 pone cing années aM. Ado'phs Elie, moyennant P. 670 par an et d’avance. Ila payé deux anNNEees, Ea. qui est notre jugs souverain, les fas- sages suivants de l’Exposé de la’situ- atign dela République des années 10g ot 1908. 1907. Domaines ...... forestiére de certains biens du Domaine cclle de Mr Lilavois qui comprend les iles Cayemittes,la presqu’ile du Grand. Boucan,. etc, a versé a la caisse pu- bligue 3000 doilars pour les rede- vances p:évues,non compris les droits d'exportation.......... ** 1908. Domaines : .. rar ...+e.....-DLacrise financiére et économique qui sévit depuis l’acnée derniére sur les Etats Unis’ d’Améri que ‘et quelques pays d'Europe, a eo © © e@ © += © we @ @ e e «La for!- 2 io7s que le contrat De- ve“ (an Ehranger * fat souscrit sous Vadministration “Geffrard, Ja Nation avait la perspective d'un développs- ment consilérable ds UIndustrie,dans cette Peod tou! abonde ; bois pré- cicuXx, pa'uvagas et caféiers. Le con- ce-sionenaire primitif, et aprés lui, ses succe--eurs, jouirert de tous les avantas-s dz leur exploitation. . 2. . ee 8 © ¢ @ « @ 6 e e . e es e ° «8 e e . s e e e e . e . » Exxcpos? del: situation E.xcercice 1880 —S1 sionnaire des Ilt+eS Cayemittes, etc,etc - du mMomnt ots vient @installer sa Scierie d Grand-Boucan a ralentir l’ex- pédition des bois de gaiac etc, qu'il y faisait, ce qui met les redevances re- couvrécs cette année au dessous de cclles de l'année précédente. Elles se chitfrent, droits d’exportation com- pris 4 Quatre cents dollars. ..* Lés concessions Théraméne Ro main, Georges Moléus Douyon et Car- rié Bobo en sont encore a préparer leur installation. Il est & espérer que dans un avenir prochain, elles pour ront tout comme celle de Mr A. Lila- vois, donner des revenus au fis:.» Je puis affirm.er que de tous les con- trats de concession signés sous le gouvernement da_ général Nord, le mien seul a 6té ponctuellemenlt éxé cuté, Pouvez-vous trouver une conces- sion qui ait rapporté ala caisse pu- blique ce que la mienne lui a rapporté du 13 Mai 1905 au 19 mars 1909 ? Je n’ai rien a dire des autres points de votre lettre. Les allusions qui y sont faites 4 mon égard, ne sont pas plus exactes que les assertions que je viens d’anéantir sans aucun effort. It me raste,avant de finir,a appeler Vattention Oubliqne sur le résultat effectif du jugement du 25 Décembre 190%, sanctionné par un arrét du Tri- bunal de Cassation de la Républiqua rendu, 4 l’audience da 22 février 1905, par les intégres magistrats: H. Le- chaud, A’ André, F. Thévenin, Ansel- me, Jérémie, assistés de l’honorable C. Dessables, commis greffier. Tableau sommaire des valeurs réin- tégrées a ) Etat, savoir: A Titr a Livrés auc jlammes: _ Bons consolidés 12 0/o — chiffre ini- tial SG". or 775 867. do ” ---..- 48,005.08 Obiigations bleues 50/o 244.880 do roses 5 0/o et boas frac- jonnaires 430.807 Dt %, » Cle GEE < LISPO Of, SE P.4 b Titres Me ne fre aire es flees primisifs savoir; « Ie concessionnaire des ties Ca- yemittes, se trouvent dans lim possibilité de continu -‘r ses travaux » (c'est cu qui est A la vile de m’ar- river, les bras manquaut presque to- tulement ) ‘* et, par conséquent. ne pauvant s’acqui'ter de ses redevances envers la caissa publique, son contrat a été résitié ” La pee quélz du Bee ( Grand Rou- can) a 66 affermée a monsieur Ar- mand jeune pour une durée de neuf wnées, Le fermier a déjA commen- cé Pexploitation des bois de coustrue: ition et de teintura qui s’y trouvent et sccupe de différentes cultures ... " Kicposé de la situation 1884 «lYaprés un contrat pas<* avee monsieur D. Le fébre ( un étranger ), représentant d’une compagnie pour Vexploitation da fl uve “ Artibouite ” et des richesses forestiéres yi se trou vent sur les rives l’Etat devait en tirer des bénéfizes réels, tout en propa- veant le travail sur une grande échelle dans cet’e vaste plaine d> I’Artibo- EE a Jajouterai a exposé qie morsieur Je D‘paté G. Atber:tini a eu sous le gouvernement du général Sam ( aves d’a.ciens mi- nistres de ce gouverneneen! pour as- so tés ) ka concession de l’exploitation liaux basses, Cayemittes, ctc, etc. A la mort de monsienr Albertini, sa veuve ayint renoncé a sa succession, j'ai c.u devoir demander au/ général Domaine nivional située dans le Dé artemeant du Sud et & laquelie vous aites allusion dans votre lettre du 5 Avril courant. Jc ne sais pas ce qua les conces- sionnaires qui m’ont précédé ont pa- devance/ou droits divers, — le Dépar- ment de I'[ntérieur pouvant seul faire le jour sur cette question, — mais vous mettre sous les yeux que mon exploitation a rapporté a | { ».4.155.98 tial : ‘Des concessions faites,ces temps der- hiers par | Exécutif,pour l’exploitation | ‘ | | !nées en Bons consolidés 6 o/o ~~ ; Obligations bleues 5 o/o roses 5 o/o 82.600 do c Titres annulés et Hon | sentés a léchar 5 liers en dépét : _ Bon consolidé 12 o/o, Chiffre iy. P. 1 845.01 Bons c~ nsolidés 42 O/o ¢ P. or 71, hit 7.531 on ge contre des ti ial : or; Oblig. bleue 5 00 P ‘i Oblig roses 5 o/o ‘ , —e, dad Annulation d an nnulation de partie ¢ cronsolidé 6 a/o remplacé par ‘a ‘res roses 5 o/o — pour mémein Total or P. 1,668 e Titres 4 annuler, prove. nant de réglements non ep- core elifectués tains jugemen#gs contre les- quels on s’est pourvu en cas- sation. B Valeurs payées an espdces proprictés imnmobiliéres, etc, x a ksypeces rdécouurées et verste | porté Mr Alexandre Lilavois, conces- | caisse pub'ique,appert récépissde 4 membres de caus de cer- M Commission dej Trésorerie of Com en possession deétion, a bis Especes en dé- pot 4 la Banque au 10 mars 1900 b Contre valeur esti- mée des propriétés don- paiement par divers. c Perte subie pat |’E- iat dans la vente, aux cours réels, des Titres roses recus, au pairou 4500 /o de leur valeur de Divers. / a Ristourne a F. Herrmann & (Coe, en vertu d’nn arcangement intervenu sntre les gou- vernements Allemand et Hlaitien e Autant compensé par la non émission de Bons consolidés 6 o/o ( actcellement 3 o/o) adjuyés pour la somme de 220 186 77 a F. Her- mann X& Co par juge- ment du Tribunal Civil du 30 juillet 1906, soit au cours du jour da ré- glement 23 o/o de Ia valeur, suit f Kemise faite aux condamneés ( voir 4 cet égard la loi du 2t Aout 1908 publide au « Moni- teur » du9 Septembre méme année ) or P. Ciog cent quatre-vin six cent vingt-et un sept centimes forte g Espéces & recou- vrer en cas de main- tien par le Tribunal de Cassation des juge- ments dont il est par- lé plus haut; son compris’ les régle- ments faits en dehors de la Commission de Liquidation et ceux qui restent 4 faire avec divers. Or P. 424.041 2 Oi 47.04 = = 93,0101 50.6il z dove dollars c es versées en monnaie Bbis Espé: ptionale. --- pardes. ter avec moi les Voudra:t On SUPT et de l’Etat est es dont Etat os llement depuis l'année ne “continuant plus & payer or j ts sur la s jntérets et amor ssemen ; me de P.1.688,09/ = se sg entier Juge aprés Se abtre conduite ferme et patri- que ; et n’est-il pas juste quen pré- pace des attaques perfides dirigées monsieur Camille Bruno et — je reste sur la bréche avec une rdecr qui ne pourra pas 8 éteindre. Je comprends bien qu on ne se con- jamais de s‘étre vu déposséder sdiciairement léga'ement de Fonds pa- ics, qui rmattaient — sans quon at travaillé pour les gagner hoonéte- yot— d’aller, a l'annonce de chaque ition ,toucher aux guichets de \ ue, de beaux dollars jaunes vec lesquels on se payait ses fre- aines, des propriétés en ville ou a ta e. "SHoohenreux sont ceux qui ont 6té bérée par le jury dans sa souveral- _ A ceux 1a j'envoiezmalgré tout mque lon peut pensér de ma con- gite, mes meilleures fdlicitations. Au revoir donc ou adieu si vous \mez mieux. ALEXANDRE LILAVOIS P.S.— Sil pouvait vous plaire de pus faire un jugemont sain, dépouillé ptoot par'i-pris. sur opinion du fat de la République, au sujet de »mémorable proces de la Consolida- pa qu'on a encore |l’outrecuidance » qualifier de politique, Pinique, je wisdemanderais de lire ou de relire s documents dont je vous fais Ci- pseous l’énumeération : SENAT : fo Procés-verbal de la séance du 10 Wrier 1903 ( voir ‘‘ Moniteur ” No 17 a 28 Février 1903 ) : 20 Séances des 17 et 19 Fév. 1903, “Moniteur’”’ Nos 21 et 25 des 14 et } Mars 1903. ) 30. Procés-verbal de la séance du | Aodt 1903 ( ‘* Moniteur ” du Avril 4, No 29.” 4o Procés-verbal dela séance du 12 odt 1903 ( voir ‘‘ Muciteur ” No. 30 413 Avrit 190% ) 50. Séance du 16 Fés rier 1904 (*‘Mo- Neor” du9 Mars 140%, No 20.) 60 Séances des 11) et 23 Fév. 1904 Monitear ” No. 21 du 12 Mars 1904) 0. Séances des 10 11 Mars 1904, Moniteur, ’ No 27 du 2 Av. 1904.) . . Procés-verbal de la séance du Mai 1905, ( ‘** Moniteur ” No 50 du | Juin 1905. ) %. Procés-verbal de la séance du 8 ao 190; (“ Moniteur ” Nos 52 et 53 wits ¥ Juillet 1905, pages 403 — 100 —~406 410 411 - 4192 - 413.) fein joces-verbal de la séance du 906 ** Moniteur * da 8 Juil- » No. 54 page 419, 3e colonne. De rechef, A. L. Compagnie P.C. S._ Pp. soit vingt cing ah Avis. vraison de 36000 traverses t Mandée a bref délai pour la Cons- LA DIRECTION POTS DIVERS RENSEIGNEMENTS METEOROLOGIQUES Obsexvatoire DU SGMINAIRE COLLEGE St-MARTIAL DiMANCHE I1 AvRiL 1909 Barométre 4 midi 763, =/°8 Température) ™i2imam 21,8 Maximum 33,2 Moyenne diurne de la température 27 ,5 Ciel presque sans nuage jusqu’a 6 h. du soir et couvert depuis. Brise de mer forte depuis midi. Bonne pluie de 41. 6 milli- métresi8h.50 m. du soir. Baroméire en baisse. . J. SCHERER Audience présidentielle Voics les ‘excellentes “paroles prononcées an Palais hier par S. E. le Président Simon Messieurs les chefs de corps, je vous ai fait venir ici pour vous donner quelques instructious. $Je vous le dis franchement, l’armé haitienne n’est pas du tout ins- truite. Il y atrois choses que le soldat doit toujours observer : ce sont des signes distinctits qui caractérisent le bon mili- taire; c'est l’impatience qu’il ne doit manifester en aucune circonstance ; la désapprobation* qui ne lui est pas permise, et l’observance qui lui est absolament nécessaire pour son avance- ment dans ia carri¢re. Le Code pénal est trés sévére pour le militaire accusé. Quand on ne trouve rien de fondé des charges portées contre lui, on se contente de lui infliger méme une peine discipli- naire. Aujourd’hui n’est pas un jour dau- dience, c’est le jour de la Résurrection ; tout est ressucité dans le monde rel'gicux. Mais certaines cilconstances nécessitent que je vous entre ienne un_ peu. C’est un r»avel ordre de choses qui commence, c’est le serviee repris avec toute la régula- rité voulue. Ce matia on m’a_ remis des placards jetés dans les rues et apposés sur les murs de certaines maisons qui conte- naient ces mots: 4 bas la Chambre, A bas Simon, Vive Firmin. Eh bien ! je ne veux pas ajouter trop d’importance 4 ces cris plus ou moins séditieux qui sont Vceuvre dejla maiveillance. Pas un homme. sérieux, pas un pére de famille ne vou- drait s’oub'ier jusqu’a se mettre en contra- vention avec la poiice. La Constitation déclare que la peine de mort est abolie en politique mais elle neprévoitpas le sort qui peut étre frit A ceux qui sercnt sur- pris avec des armes dans les rues en train de troubler l’ordre public. —Les deux chefs de parti qae l’on sembie vouloir mettre en évidence occupent actuellement des fonc- tions les plus élevées dans mon gouverne- ment,ils représentent leur pays 4 l’étranger. Ainsi donc ceux-la qui agissent en leur nom, en dehors peui-éire de leur volonté font un acte mauvais ils ne peavent étre considérés que comme de valgaires vaga- La Chambre, en dépit de tout sera maia- tenue et aura toute la protection de la force publique. Elle a été maintenue, pro- tégée dans des moments difficiles, elle le sera davantag: en ce moment ob la paix est rétab'ie dans le pays. Messieurs, soyez sdrs qce le gouvernement ne sortira jamais de la légalité, qu'il ne fera jamais arréter personne, la nuit pour l'exécuter som- mairemen,t — mais soyez aussi persoadés qu'il sera des plus sévéres contre les mal- Veillants, que la police et la justice feront cur devoir avec la derniére, rigueur et con- tre 10us ceux qui seront pris en faute. Si le peuple est souverain i’autorité est peut- étre souveraine. ‘Sa souveraincté sera pro- tectrice elle sesa entiécement cléinente pour les bons. . ht s Oo parle d’empront; le governement n’en fera pas pour le moment.Nos douanes bien administrées, bien contré'des peuvent répondre 4 nos .besoins, les revenus de Etat doivent étre employés a couvrir nos dettes, 4 l’exécution des travaux publics, et au développement du travail. Je suis certain, messieurs, que vous étes contents de m’entendre ; je tienssbeaucoup, comme vous le voyez au ré!évement du_ pays sur- tout au point de vue des mceurs. Entre autre, quel homme, a ma place, n’eut pas commus une injustice, une bruta- licé méme. Le commandant de 1|’arrondis- semont de Jacmel demandé par le gouver- nement, s'est présenté au Palais sans ai gtette son cas pouvait ctre assimilé 4 un cas d’hostilité, eh bien ; j'ai compris que cela ne pouvait étre ; qu'il n'y a eu de la part de ce général, qu'un oub:i regret- table de sa-situation. Que chacun se mette ala hauteur de sa sAche, comprenne son rdle"et fa:se le plus de bieu%possible pour le bonheur du pays. Banque nationale ¢ Bait M.M. les actionnaires sont convo- qués en assemb'ée Générale Ordi- naire pour le 7 Juin prochain a 3 heures de rélevée, au Sieve Social, 66, rue de la Chaussée d'Antin, a Paris ( art. 35 des statuts ) ao 2 2 eo S Sm ee = fCopia Pika y D 9! FICINE as Si savon Ahad e - a Ce ee ee oe =< ta . “ %& - Produits AHyieiques. pour la “ ve yey 7 “RTS f ORs on - ey Ff ‘Keasst fl va ¥as wr. % WINS : 02 tad a ate CoE ste eS Oh 3. 22", £5, Pavbsorg 3t-Martia, PARIS ‘* ¢#Pelucer les /witaticns im ~.t ar? "SPR C 7s OM OMw 8 I, OF NRF NI FA AN ed oni th sine L’Assemb'ée Générale se compose de tous les Actionnaires propriétaires de 10 Actions au moins ( art 33 des statuts ). Conformément a l'article 33 des statuts, les titres devront étre dé- posés trente jours, au moins. avant la «clate de la réunion, a la Société Générale de Crédit Industriel et Com- mercial, 66, rue de la Victuire, a Paris ect ad la Bangue a Fort-au Prince. Contre le ‘dépot de leurs titres, MM. les actionnaires recevcont une carte d’admission a l’As~embleée. Port-au-Prince, le 10 Avril 1909. a ne ee a | —— a ee O* 6 Transatiantique Le paquebot Montréal sera de re- tour mardi matin 13 courant et part- ra le méme jour 4 {! heures ties pre- cises -du-_ matin pour’ Fetit-Goave, Poit-de-Paix, le Gap, escales et le Havre. Il sera a St-Thomas le 13 et parti- ra le méme jour pour le Havre ota arrivera le ler ou le 2 Mai prochain. L’AGENT, F.M. ALTIERI eS — — — ————— Avis commercial Le public et le commerce sont avi- ses que pendant Pabsence due notre sieur HI. GC. staude, Messicuts W. Hirsch et FE. Leinke sont chargés con- jointement de notre procuration. Port-au Prince 1O Aveil bo G@. KETVEL ete eo ae ee meee ee — utile — Recommaalcs tot iS BLYCHIR, RECLCIR ay WEROU') = Be te peau du wraens ctates Clans 5 3 ae ayAey] sane adoucit 'épidetine auyuel elle donne une soujplesse et un ve- louté incomparable en lui com- muniquant son délicieux par- fum. Elle conserve I|’éclat et la fraicheur du teint, car elle est souveraine contre le hAle, les piqures d’insectes et les éruptions de ia peau. * wm sans bisniuth, invisible, adhé- LA NeteR aeons’ oteg rente, impalpable, préparée oe RRO 1s “4 spécialernent pour les person- yo - nes qui veulent avoir un teint «aréprochable ; son parfum délicat, son velouté ont contribué 4 faire d’elle, la Favorite des Poudres de Toilette. 7 TT ty & base de Créme Simon, LE nie >i réparé selon les_ principes a fen es plus scrupuleux del’hygiéne ads posséde 4 un certain degié toutes Jes qualités bienfaisantes et préservatrices de !a Créme Simon ; il est particulidrement recommandé pour la Toilette des onfants et pour les, dames dont la peau est délicate. Agence Générale et Dépdt pour Aariii fla Métropole MAISON JULES LAVILLFE. 9S, Rus tu Vagisin de I Etai, 93 “rN ws GRAND PRIX Rhum Barbancourt Médailles d'or, Mention honorable, Membre du Jury, Grand prix, Hors concours dans toutes les Expositions depuis 1881 jusqu’a 1907. ( Ancien et Nouveau Continents ) Madame Veuve BARBANCOURT, seule déposi- tairedela marque Rhum Barbancourt et seule proprié- taire des formules HORS CONCOURS uiont faitobtenir au Rhum Barban- court les médailles d’or de toutes les Expositions, a pris la suite les affaires de feu son mari, et se tient 4 la mémehalle, sise 7, Rue des Césars, 4 la disposition de sa nombreuse clientéle, dont ies commandes seront exécutées avec le méme soin que par le passé. NESTOR FELIU L’excellenttailleur avantageusemen} Ne manges plus dé pala! connu de toute la République vient] S’il n’estfait avec !a “‘Pillsbury’s de rouvrir son atelier Rue Férou, Rue des Miracles ) N° 61, prés ds M* éger Cauvin, Sa nombreuse clientéle trouvera comine toujours toute satisfaction pour les travaux qui lui seront con- és. RE a ES SEP era as A L'ELEGANCE CORDONNERIE KE. Sse Pe 42, Rue des Fronts-Forts. CHAUSSURRS. EN DRPOT,POUR LA VENTE Promptitude et soin aux comman- des tani ici qu’en province. Chaussures de Dame forme et tra- vail toujours tout ce gu’il y a de plus noaveaux. Formes américaine et francaise pour Messieurs ; élégantes et commodes Pocr les enfants le plasa |’aise. Travail solide exdcuté avec des peaux de premiéremarque Assuravce de grand rabzis. Parea. Clrages et Liquidas see sab ae eee étel Bellevue Le mieux situé, le plus con- fortubie.— Champ-de-Mars.— Guisiae renommée.— Vue sur la mer. ape ' Cpemne B+ tet Ue Best.” La meilleure farine du monde Celle qui donne le meilleur pain Qui produit le plus de pain Le pain le plus blanc Le pain le plus léger. Pour tous renseignements s’a- dresser a: Ernest Castera représentant de la PILLSBURY’s WaSH- BURN FLouR Mits Co MINNEAPOLIS BILS M. et Mme Laporte-LAFFITE (N&E ARCHER) 60 Avenuedes Gobelins, GO (Paris) Offrent leurs services au commerce et aux familles, tant de Port-au-Prince que des autres villes d’Haiti, pour toutes commandes de marchandises, vins, articles de toilettes, de mode et de bijouterie, etc. On peut expédier les commandes a l’'adreese ci-dessus et pour tous ren- seignements s’adresser au bureau dau journal. EF ——>E————————_—=—===" ——— Etude | DE Me Charles MILLERY | Notaire public 53, Rue du Port, 53. Grand Rabais! JAMESTOWN TERCENTENNIAL EXPOSITION ¢ 1907 ) HAS CONFERED A Gold Medal upon Tannerie Continentale DE PORT-AU-PRINCE CHAUSSURES CHEVREAU GLACE, pour hommes et dames P.10 Enfants P. 8 VERNIS ECLIPS « COULEUR LOTUS « « 42 « « 42 « 10 10 Pour la vente en gros Solo d'escompte. Maison F. BRUNKES. 195 GRAND’RUE 1% Dirigée per L. HODELIN Ancien membre de la Secict¢é Philan- threpique des matires tai/isurs d« Parts Vient de recevoir un grand choix d’é- coffe: ‘iiagonale, Casimir 2:;-4:°, chaevio- ‘e, chevicte pour devil, ste, Nw:oze: nan- je particelidrament ¢ sa chevidia ane selic collection de coupe« ds -eat gy. je giloie de fantaisie ot de pique de toute bean’4 Spécialite de Costumes ¢6 no- 3ez.-~ Coupes Francaise, Angirise et Américxine de la derniére ection. La maison confectionac zzssi des Oos- tumass militsires, habits brodeés dolmans, tunicrss, Fabits car- ha ato ata. da tre emu daw — Cordonneriz Niuuvelle G. B. PETOHS 1443, GRAND HVE 163 POR T-AU-P&RINCE CeracSSURRS RN TOUS GENE RS Kx DaréT, POUR LA VENTA Kix GRKOS ET DETAIL. Rxrécution prompte dos conmnmandes, tant iai qu’en Province. For:aes 2 honmes ; élégantex ot ra- tionueiles. Chaussures de dames Derniére :ro- de de Paris ) et le plus commode: chaussures pour enfarts conin tion- nées avec des Peaux de tuuies nuraness f'sre sélection et 4.08 irré,rocha bles, Ades prix avantagenx. Cirages, pataa et liquistes Faur shuwssures ds icucss musneces. A.de Mattéis & Co Maison fondés en 128%. ermiers articles recus Parfumeis Houbigant; Ro- al Houbigant ; Fougére Royal ; Par- um Idéal; Savon, oudre ; etc. etc. Coffrets de parfumerie tras élégants. Parfum renommé Astris ; Loticn, Tri- copherous. ampes, Fouets et Charaoois pour buggy et buss. Argenterie de luxe, Bibulots, Moustiquaires, Brosses, Pi pes, Fumes- Cigarettes, Cravates, Maroquinerie de toutes qualités. La Maison a toujours uo grand as- sortiment de Bijouterte, d’Argenterte, de Diamant, & la disposition du public en général et & la portée de toutes les ronrses. aH > A lers d’Horlogerie et de Bijouterie : Gravures, Confection sar ccmmarde. Achat de vieil or ei diamant et pierres avantageux. ACHAT D’SCAILLES De CaRET Prix exceptionnel _ ttel argent,— précieuses Ades prix Buss et Buggy 4 louer par heure pour courses en ville, promenade Aa & Campagne a Pétion-Ville. etc. S’adcesser au No 156 Rue du - sin de !’Etat en face de la Glacidre. Des Yeux et es Pour l'édification des lades de ces organes, Ya lise sous donne les noms des affect yeux et des oreilles, traitéer avantageusement, de I'avig de; n Clalistes modernes leg plus nom en Europe et en Améri nt application de l’Electricité ties que et appareils Spéciaux ) a tout autre moyen thérapeutj wen médication locale par deg it lavage, _ irrigation, PoOmmade, cautérisation aux sels d'argent rification et autre opération . glante. ‘ Des yeux : Conjonctivit Granclay ( granulation ). Conjonelivie chr que,kystes et autres tumeaurs ) piéres, trichiase partielle, larteg ment, rétrécissement dee Clay spasme ( tic ) ptosis, opacité | cornée, ulcéres de la Cornée, iriy adhérences, épisclérite, kérati a taracte molle, rétinite, neuro hypéresthésie retinienne, hém rétinienne récente, atrophie do optique, névralgie oculaire, doug oculaire suite d'opération ch; cale, défaut d’accommodation iad ( asthénopie, amblyopie, presbrty récente, amaurose, glaucome chy ue. Des oreilles : Surdité causéey inflammation chronique de lord moyenne, adhérences des osselg polypes,hypertrophie et catarrhecty nique des muqueuses, et du tyay retrécissements des tubes d’Eustad Chacune de ces conditions po cuuser la surdité, celle-ci est an quand ces conditions le sont. § nerveuse, et celle qui fait suite maladies, fiévre typhoide, cért spinale, et diphtérie. Cabinet d’Electrothérapie du teur C. GAvVEeauU Médecin et Chirurgien de U'Universl Harvard 128 Rue du Centre. CONSULTATIONS, TRAITEMENTS, if modérés. de 7a 10A. M. «2«4P.M. ue Guérison de M™ BARR! alteinte de tuberculose pulmenei rank VELIXIR DUPEYROU! Mine Léonie BARRIF. que représeate be 8 vure ci-contre, est nee 2 Aulnay-es-Pert oy Rar-le-Duc et habite. 36, Grande ue 4 ¥i om ” ney (Seine cm ‘ ment. Je la VELIXIR pecturnes ie intercostales et les tratuspiration . les’ di estions s¢ tires Mme Barrie étalt comp be. - rescrivis mon traiteie!: a UX. Bienta ics TC e'g appetite revint, 1 et le 8 novembre t ; ta gucrie, Elle pesalt & kilogs avant de trait Ker son elle pesait 6a kit 8 C00. inser th ‘ermis de pu oem cas Led : ix Hh sembiables. Ly Dues) nuts pert B, Square de Mt Non \ Pose L Elis roue ott eo ae ast tre, tode, tan a . Fi pease sih le peat neares o tubercelavee’ eee ee in. Le fla Tele De suguin, con truitvmeut Je Ie sebarenless par be boat @s4 en vente ches Mame Os. .