es versées en monnaie Bbis Espé: ptionale. --- pardes. ter avec moi les Voudra:t On SUPT et de l’Etat est es dont Etat os llement depuis l'année ne “continuant plus & payer or j ts sur la s jntérets et amor ssemen ; me de P.1.688,09/ = se sg entier Juge aprés Se abtre conduite ferme et patri- que ; et n’est-il pas juste quen pré- pace des attaques perfides dirigées monsieur Camille Bruno et — je reste sur la bréche avec une rdecr qui ne pourra pas 8 éteindre. Je comprends bien qu on ne se con- jamais de s‘étre vu déposséder sdiciairement léga'ement de Fonds pa- ics, qui rmattaient — sans quon at travaillé pour les gagner hoonéte- yot— d’aller, a l'annonce de chaque ition ,toucher aux guichets de \ ue, de beaux dollars jaunes vec lesquels on se payait ses fre- aines, des propriétés en ville ou a ta e. "SHoohenreux sont ceux qui ont 6té bérée par le jury dans sa souveral- _ A ceux 1a j'envoiezmalgré tout mque lon peut pensér de ma con- gite, mes meilleures fdlicitations. Au revoir donc ou adieu si vous \mez mieux. ALEXANDRE LILAVOIS P.S.— Sil pouvait vous plaire de pus faire un jugemont sain, dépouillé ptoot par'i-pris. sur opinion du fat de la République, au sujet de »mémorable proces de la Consolida- pa qu'on a encore |l’outrecuidance » qualifier de politique, Pinique, je wisdemanderais de lire ou de relire s documents dont je vous fais Ci- pseous l’énumeération : SENAT : fo Procés-verbal de la séance du 10 Wrier 1903 ( voir ‘‘ Moniteur ” No 17 a 28 Février 1903 ) : 20 Séances des 17 et 19 Fév. 1903, “Moniteur’”’ Nos 21 et 25 des 14 et } Mars 1903. ) 30. Procés-verbal de la séance du | Aodt 1903 ( ‘* Moniteur ” du Avril 4, No 29.” 4o Procés-verbal dela séance du 12 odt 1903 ( voir ‘‘ Muciteur ” No. 30 413 Avrit 190% ) 50. Séance du 16 Fés rier 1904 (*‘Mo- Neor” du9 Mars 140%, No 20.) 60 Séances des 11) et 23 Fév. 1904 Monitear ” No. 21 du 12 Mars 1904) 0. Séances des 10 11 Mars 1904, Moniteur, ’ No 27 du 2 Av. 1904.) . . Procés-verbal de la séance du Mai 1905, ( ‘** Moniteur ” No 50 du | Juin 1905. ) %. Procés-verbal de la séance du 8 ao 190; (“ Moniteur ” Nos 52 et 53 wits ¥ Juillet 1905, pages 403 — 100 —~406 410 411 - 4192 - 413.) fein joces-verbal de la séance du 906 ** Moniteur * da 8 Juil- » No. 54 page 419, 3e colonne. De rechef, A. L. Compagnie P.C. S._ Pp. soit vingt cing ah Avis. vraison de 36000 traverses t Mandée a bref délai pour la Cons- LA DIRECTION POTS DIVERS RENSEIGNEMENTS METEOROLOGIQUES Obsexvatoire DU SGMINAIRE COLLEGE St-MARTIAL DiMANCHE I1 AvRiL 1909 Barométre 4 midi 763, =/°8 Température) ™i2imam 21,8 Maximum 33,2 Moyenne diurne de la température 27 ,5 Ciel presque sans nuage jusqu’a 6 h. du soir et couvert depuis. Brise de mer forte depuis midi. Bonne pluie de 41. 6 milli- métresi8h.50 m. du soir. Baroméire en baisse. . J. SCHERER Audience présidentielle Voics les ‘excellentes “paroles prononcées an Palais hier par S. E. le Président Simon Messieurs les chefs de corps, je vous ai fait venir ici pour vous donner quelques instructious. $Je vous le dis franchement, l’armé haitienne n’est pas du tout ins- truite. Il y atrois choses que le soldat doit toujours observer : ce sont des signes distinctits qui caractérisent le bon mili- taire; c'est l’impatience qu’il ne doit manifester en aucune circonstance ; la désapprobation* qui ne lui est pas permise, et l’observance qui lui est absolament nécessaire pour son avance- ment dans ia carri¢re. Le Code pénal est trés sévére pour le militaire accusé. Quand on ne trouve rien de fondé des charges portées contre lui, on se contente de lui infliger méme une peine discipli- naire. Aujourd’hui n’est pas un jour dau- dience, c’est le jour de la Résurrection ; tout est ressucité dans le monde rel'gicux. Mais certaines cilconstances nécessitent que je vous entre ienne un_ peu. C’est un r»avel ordre de choses qui commence, c’est le serviee repris avec toute la régula- rité voulue. Ce matia on m’a_ remis des placards jetés dans les rues et apposés sur les murs de certaines maisons qui conte- naient ces mots: 4 bas la Chambre, A bas Simon, Vive Firmin. Eh bien ! je ne veux pas ajouter trop d’importance 4 ces cris plus ou moins séditieux qui sont Vceuvre dejla maiveillance. Pas un homme. sérieux, pas un pére de famille ne vou- drait s’oub'ier jusqu’a se mettre en contra- vention avec la poiice. La Constitation déclare que la peine de mort est abolie en politique mais elle neprévoitpas le sort qui peut étre frit A ceux qui sercnt sur- pris avec des armes dans les rues en train de troubler l’ordre public. —Les deux chefs de parti qae l’on sembie vouloir mettre en évidence occupent actuellement des fonc- tions les plus élevées dans mon gouverne- ment,ils représentent leur pays 4 l’étranger. Ainsi donc ceux-la qui agissent en leur nom, en dehors peui-éire de leur volonté font un acte mauvais ils ne peavent étre considérés que comme de valgaires vaga- La Chambre, en dépit de tout sera maia- tenue et aura toute la protection de la force publique. Elle a été maintenue, pro- tégée dans des moments difficiles, elle le sera davantag: en ce moment ob la paix est rétab'ie dans le pays. Messieurs, soyez sdrs qce le gouvernement ne sortira jamais de la légalité, qu'il ne fera jamais arréter personne, la nuit pour l'exécuter som- mairemen,t — mais soyez aussi persoadés qu'il sera des plus sévéres contre les mal- Veillants, que la police et la justice feront cur devoir avec la derniére, rigueur et con- tre 10us ceux qui seront pris en faute. Si le peuple est souverain i’autorité est peut- étre souveraine. ‘Sa souveraincté sera pro- tectrice elle sesa entiécement cléinente pour les bons. . ht s Oo parle d’empront; le governement n’en fera pas pour le moment.Nos douanes bien administrées, bien contré'des peuvent répondre 4 nos .besoins, les revenus de Etat doivent étre employés a couvrir nos dettes, 4 l’exécution des travaux publics, et au développement du travail. Je suis certain, messieurs, que vous étes contents de m’entendre ; je tienssbeaucoup, comme vous le voyez au ré!évement du_ pays sur- tout au point de vue des mceurs. Entre autre, quel homme, a ma place, n’eut pas commus une injustice, une bruta- licé méme. Le commandant de 1|’arrondis- semont de Jacmel demandé par le gouver- nement, s'est présenté au Palais sans ai gtette son cas pouvait ctre assimilé 4 un cas d’hostilité, eh bien ; j'ai compris que cela ne pouvait étre ; qu'il n'y a eu de la part de ce général, qu'un oub:i regret- table de sa-situation. Que chacun se mette ala hauteur de sa sAche, comprenne son rdle"et fa:se le plus de bieu%possible pour le bonheur du pays. Banque nationale ¢ Bait M.M. les actionnaires sont convo- qués en assemb'ée Générale Ordi- naire pour le 7 Juin prochain a 3 heures de rélevée, au Sieve Social, 66, rue de la Chaussée d'Antin, a Paris ( art. 35 des statuts ) ao 2 2 eo S Sm ee = fCopia Pika y D 9! FICINE as Si savon Ahad e - a Ce ee ee oe =< ta . “ %& - Produits AHyieiques. pour la “ ve yey 7 “RTS f ORs on - ey Ff ‘Keasst fl va ¥as wr. % WINS : 02 tad a ate CoE ste eS Oh 3. 22", £5, Pavbsorg 3t-Martia, PARIS ‘* ¢#Pelucer les /witaticns im ~.t ar? "SPR C 7s OM OMw 8 I, OF NRF NI FA AN ed oni th sine L’Assemb'ée Générale se compose de tous les Actionnaires propriétaires de 10 Actions au moins ( art 33 des statuts ). Conformément a l'article 33 des statuts, les titres devront étre dé- posés trente jours, au moins. avant la «clate de la réunion, a la Société Générale de Crédit Industriel et Com- mercial, 66, rue de la Victuire, a Paris ect ad la Bangue a Fort-au Prince. Contre le ‘dépot de leurs titres, MM. les actionnaires recevcont une carte d’admission a l’As~embleée. Port-au-Prince, le 10 Avril 1909. a ne ee a | —— a ee O* 6 Transatiantique Le paquebot Montréal sera de re- tour mardi matin 13 courant et part- ra le méme jour 4 {! heures ties pre- cises -du-_ matin pour’ Fetit-Goave, Poit-de-Paix, le Gap, escales et le Havre. Il sera a St-Thomas le 13 et parti- ra le méme jour pour le Havre ota arrivera le ler ou le 2 Mai prochain. L’AGENT, F.M. ALTIERI eS — — — ————— Avis commercial Le public et le commerce sont avi- ses que pendant Pabsence due notre sieur HI. GC. staude, Messicuts W. Hirsch et FE. Leinke sont chargés con- jointement de notre procuration. Port-au Prince 1O Aveil bo G@. KETVEL ete eo ae ee meee ee — utile — Recommaalcs tot iS BLYCHIR, RECLCIR ay WEROU') = Be te peau du wraens ctates Clans 5 3 ae ayAey] sane adoucit 'épidetine auyuel elle donne une soujplesse et un ve- louté incomparable en lui com- muniquant son délicieux par- fum. Elle conserve I|’éclat et la fraicheur du teint, car elle est souveraine contre le hAle, les piqures d’insectes et les éruptions de ia peau. * wm sans bisniuth, invisible, adhé- LA NeteR aeons’ oteg rente, impalpable, préparée oe RRO 1s “4 spécialernent pour les person- yo - nes qui veulent avoir un teint «aréprochable ; son parfum délicat, son velouté ont contribué 4 faire d’elle, la Favorite des Poudres de Toilette. 7 TT ty & base de Créme Simon, LE nie >i réparé selon les_ principes a fen es plus scrupuleux del’hygiéne ads posséde 4 un certain degié toutes Jes qualités bienfaisantes et préservatrices de !a Créme Simon ; il est particulidrement recommandé pour la Toilette des onfants et pour les, dames dont la peau est délicate. Agence Générale et Dépdt pour Aariii fla Métropole MAISON JULES LAVILLFE. 9S, Rus tu Vagisin de I Etai, 93 “rN ws