Glasson épouse du sieur Joseph Benjamin, Onne aux parties de plaider au fond. uis enteod les affaires suivanics : 1¢ Demande de partage des succession et communauté de fru Mérové Armaad, eatre les ayants-droit. Me Ganthier,pour les enfan s du de cajus, a donné lecture de s:s conclusions No 1. _ Me César, pour les époux Helvécius Ma- nigat ainsi que d’autres héritiers, a été en- tendo en les siennes Nus 2, 3 et 4. Le Mi- ni.tére Pub.ic entendu. 2° La P. C.S. contre Henri Lanoue. Il s’agit de réparation causée par le déraille- ment de la locomotive du premier Janvier 190G a0 jeane Chris.ian Lanoue. Me E. hoa,pour Henr: Lanoue, a été @utenda en ses conclusions Nos 1 et 3 et Me Ethéar: en les siennes pour la P. C.S. Nos 2 et 4. Mais pendant que Me Mathon commen- gait 4 développer ses conc'usions. Me Ethéart, fait savoir au Tribunal d’a- rés le commencement de la_plaidoirie de e¢ Mathon, qu’il se trouve devant des ! nions sur des points de droit qui sont en. ce moment soulevés devant eux et qu'il demande en outre l’annulation des susdites conclusions. Les deux avocats se sont longuement étayés sur cet incident. Avis aux sinistrés La Commission de stcours aux Sinistrés devant clore ses travaux ct publier son rapport, ainsi que la liste des personnes qui ont touché a la premiére répartition, avise le pub‘ic que les bulletins en retar dcevron: lui étre présen:és pour leur ac- quittement jasqu au 21 Novembre courant. Pass¢ ce délai les dits bulletinss seront considés¢s comme nuls pour ce qui a trait dla premiére répartition. La Commission avise également les in. tércssés que tuutes les réclamations qul lui sont adress¢es sont renvoyées a la fin de la premitre répartition. Port-au-Piince, le 7 Novembre 1908 Le Président, Le Secrélaire. C Ricavup H. Voicy, Avovat. Service funéebre Le Supérieur de I’Institution Saint-Louis de Gonzigne a l’honneur d'inviter les an- 'clens é'éves et les amis de l’établissement, A assister au sirvice solennel qui sera Juges qui ont eu déja A donner leurs opi-' chanté dans la Chapelle de !Institution, le samedi 14 courant, 47 heures trés préci- ses du matin pour le repos de l'Ame du ‘cher Frére Pierre-Edouard. Magnifiques panamas Pour hommes et pour dames viennent d’arriver par le dernier steamer frangus. tribunal aprés avoir entendu le Mi-! Dépd:, chez Mee Ltontpe Soxace, 22, rue nistére Public, a fait droit 4 la demande de Me Echdart et ordonne le retrait des' conclusions de Me Mathon. | Va I’heure avancée le siége est levde. Tribunal de Paix Secrion Sup Continuation de l’affaire Lorvana For- tané contre laP. C. S. Me Scheelcher | ar la compagnie demande que Pierre: ilor, se disant pére du jeune Pierrilus Pierre, fasse la preuve de cee puternité pardes actes reguliers.— Mr Léon fils, ar Lorvana Fortunéd, repousse avec vio- , eu toute l’ampleur et ‘voulues, malgré le vaeu qu’avait exprimé des Fronts Forts. ee eevee LES OBSEQUES DU Révérend Pére Saint-Clair Les obséques du Peére Saint-Clair, ont toute la solennité le cher disparu, d’accorder la plus grande ence cette demande faite par le manda-' simplicité a ses funérailles. Port-au-Prince taire de la Comp n’est produite le proces. Mais le tribunal, pour son édifi- cation, admet cette demande et renvoie la continuation de l’affaire 4 l’audience pro- chaine. Décés Est morte, hier, 4 11 Luca Féquikre a l’Age de 18 ans, L’enterrement aura lieu aujourd’hui, jeudi, 4 3 heures précises de |’aprés-midi. Le convoi partira de la maison mortuaire, sise Avenue John Browa ( Lalue ) No 127, pour se rendre a l’église Métropolitaine. Nos condoléances 4 sa famille. Gal V. Leconte Ce matin, vers les huit heures, nie et ajoute qu'elle ' ue dans le but d’éterniser ©? heures du_ soir, ' n’y tenait pas. On se trouvait hier encore face d’un deuil public. La cérémonie si touchante, si impressionnante dans sa noble manifzstation, nous mon:re que ce n’est pas seulement la grande famille du Petit Séminaire qui est atteinte, mais tout Port-au-Prince qui se sent douloureuse- ment b'essé par la fin si prématurée du cher Pére Sairs-Clair. C'est un fils de France qui est parti, aprés _ avoir laissé en Haiti des souvenirs impéris- est re-, teur sables, et s’étre consacré, sans teinte de ,Mationalité, 4 V’éducation de la jeunesse | haitienne, a l’estime de ses chers éléves devenus dans la vie des amis, auxquels il n’avait jamais refusé un salutaire conseil doanéd avec tout ledévouementd’un préccp- ui n’avait cess$ d’aimer ceux qu'il vesu, de sa tournée dans le Sud, le Gal avait agonnés, préparés aux grandes luttes V. Leconte, Ministre de I'Intérieur et de | de, lavic. la Police générale. Vol nocturae Le Corrice Au Séminaire ot s’étaient réunis les Dans Ia nuit du 9 au 10 du courant, un éléves de toutes les écoles congréganistes, volear a enlevé chez Mr Eosmanuel Pierre-'le clergé au complet. les prétres du Sémi- Louis, 73, rae Egalité, les objets suivants : Une chemise portant une itare de or; ane de boatons de or, et marquée sous le plas- E. : deax complets blancs; des souliers, une paire de lunettes de maison A. de Mattéis & Co; un petit cercle en fer attaché 4 ane chaine du mé- me teliée avec de la ficelle rouge, contenant deux clefs, dont l’une porte le Ne 48 da compartiment du coffre C de la ae Nationale d’Haiti. — Avis en est donné au Bureau Central de la Police, aux et aux bijoutiers. — heelui aot Une récom est promise 4 celui qa lai fera retrouver tout ou partie de ces ob- jets. tron de ia lais 'Pa im veda Séminsire dont il était naire, autour dag cadavre de leur cher confrére. La Compagnie des Pompiers libres et une foule nombreuse d'assis- tants ; la musique du palais fait entendre les échos retentissants de la Marseillaise la | méiés aux sanglots des dléves de |’établis- sement pleurant amérement le dévoud pro- fesseur que l’on ne reverra plus. A 4 heures la lévée du corps se fait par Moaseigncur Pouplard, et, le cortége se meten marche par lesrues des Miracles, ct l’Abreuvoir, pocr gagner la Cathédrale. Les douleurs deviennent aigies, le coeur se déchire d'émotion sous les accents des marches funébres qu’exécute la musique du o’admirait tant le Pére Saint-Clair. le —_ dévoué professeur ne joue pas ;—— en Si- gac de profonde douteur ; les masiciens tiennent leurinstrument en main et por- tent “le crépe au bras. Les couronnes sont nombreuses, de toute beauté, faites de d | fleurs na ‘urelles. L'Egtiseest comblz: Tous les prétres des Communes voisines viennent rendre un dernier hommage a leur confrére qu’ils vont remettre 4 la terre. La colonie frangaise est au grand complet. Plusieurs représentants du Corps diplomatiquesont dans l’enceinre. S. E. le Président de la République est représenté par le minis*re des Gultes, Mr Louis Borno et par des officiers de sa mai- son militaire. Mgr Pichon est 4 son siége. Les hymnes liturgiques sontchantées par les prétres du Séminaire. L’absoute est don- uée par S_ G. Mgr Conan, archevéque de Port-au-Prince. Au sortir de l’Eglise le rombreux cortége dont le silence nest troublé que par la musique du Palais jouant la marseillaise ct divers autres mor- ceaux funéebres, lonzge les rues Bonne-foi, du Peuple ct de l’Enterrement pour attein- dre le Cimeiiére ci il cst arrivé vers six heures du soir. Des discours touchants, ot la belle et sympathique vie du Pére St- Clair est retracée dans toute sa pureté, y sont prononcéds par ceux qui l’ont beau- coup aimé. Nouvelles Etrangéres verniéres Dépéches Paris 10 .— Les journaux du _ soir se montrent trés satisfaits du réglement du différend entre l'Allemagne et la France, le “‘ Temps ” dit que les cabinets de Paris et de Berlin en soumettant l’incident de Casablanca a l’arbitrage ont donné au mon- de un spectacle qui n’est pas sans grandeur, ce serait manquer de jugement de s'ima- giner que Wautres difticultés ne pourront pas gaze soulevécs 4 lavenir ajoute le journal; mais une solution 4 ces difficuliés pourra toujours étfe trouvée si les. deux puissances continuent, comme ence mo- ment 4 se traiter comme des égaux, Bertin ‘10. - Le chancelier de Bulow a parlé pendant vingt minutcs environ au Reichstag en réponse a l’interpellation sur les déclaraiions de lempereur Guillaume pub.ices réceminent dans le ‘* Daily Mal clegraph "de Londres. La principale déclaraiion du chancelier a été qu’a l'avenir il n’accepterait plus la responsabilité de la direction de 1a politi- que étrangére de empire allemand a moins que l’empereur Guillaume observé plus de réserve. Cette déclaration a été in- terprciée comme étant une psomesse de i’empereux au parlemenr, ct comme telle a é1é la bienvenue. M. de Bulow a ajouté que si une garantie ne lui était pas doundée ni lui ni aucun de ses successeurs ne pour- raient consentir 4 prendre la responsabilité d’une poli.ique extérieure suivie. Un députe M. Libermam Sonnerberg dans une interpellation a surpris la chambre par la violeace de ses aitagues, il a déclaré que les monarchistcs bien A con‘re coeur se trouvaient obligés de protester f:rme- ment conire les parules de l’empereur. La co.fisnce d: la naion est tombée 4 ztro, a t-il dit, nous re croyons pas que le chancelicr pui.sz devenir responsable ni que l'avenir améne une réelle améliora- tion. La Chambre s’est ajournée jusqu’a de- main et lorsque le chancelier a quitté le alais la foule l’a acclamé et quclques uées se sont faitSentendre également. Panls.— Rente 96.40. Le eT Eyes Ministres s’est matin, al’ sous la présidence Falliéres ; il s occopa des co allemandes au sujet Casablanca. A I’issue du Conseil, la note été communiquée : « Le conseil f naltre que les Gouvernements de de Berlin se sont entendus pour le ment de l’affiire des déserteers, ie i d’accord sur la formule par os s’expriment simultanément et ser a galité des regrets pour les violeng mises, leur décision de soumettsy 4 bitrage l'ensemble des qu aw par cet incident et l’e ment @ des regrets sur les actes de leurs balternes suivant le jugement l’arbitre. xt La Chambre continua ce matin oe apiés-midi la discussion du badge @ Vinstruction publique. Au début de la séance de l’apres elle adopta le projet fixant 4 deux cinquante deux centimes par heces dialcool par le taux pour 1909 de ls e la fabrication sur l’alcool d’origine dustriclle. Le Sénat tint aujourd'hui une ¢ séance au cours de laquelle M. D annonga a ses collégues le décés de Berard, Sénateur du Lot et s'ajoums & mardi. 3 ' th 4 =f Ce! ‘a a Le submersible Fresnel a été et conduit en cale sche. ConsTANTINOPLE 10.— Les compe dus des entretiens entre M. Pichoa, yf tre des Aifaires Elrangéres de France os ii de Nelidoff, ambassadeur de Russie et @f Francis Bertie, ambassadeurd’Ang sujet du différend franco-allemand sens avec le plus grand intérét en Targelg presse turque montre la plus gram tisfaction de l’entente et de ls entre la France, la Rassie et Vienne 18.— Une rencontre eaait étudiants israélites et pangermasiogns § Vaniversité de Vienne s'est terminde ( male. Une centaine d’¢radiantsone deb ou moins griévement biessés. Ls cause | conflit cst l’antagonisme entre les diants israélites et les pangermanistes. Beruin 1t.— Le Reichstag a cong aujourd hui 4 discuter les ir diserésoas ’empereur Guillaume. Le chancelier Bulow et les autres ministres présents. Le baron Gamp, conservateur, & ré que ceux qui conseillent l’empe I‘aient pas avisé de ses devoirs tionnels. Divers autres orateurs ow proché au chancelier Von Bulow de voir pas su resister aux excursions tiales au dela des fron:iéres Tee nelles et qu’aussi l’emperear et le ¢ celier suivaient souvent des politic térieures différentes. Le Reichstag s’est ajourné avant épuisé les interpellations sar le supe Dupapest 11. — Le projet de 4 l’établissement da saffrage Hongrie a été presenté & la chat dépu'és par le comte Aadraseye.| de l’:ntérieor. i Roms 11.— Le ministre étrangéres de Serbie sera rece le roi Victor Emmanoel. Ea rs nexion de la Bosnie et de IE la Serbie cherche une coms ritoriale du cd:é de l’Adriatiqué au moins le concoars financier our la con traction da chemia Ge driatique & la mer noire set sere. R 96.40 ARIS 15.— Rente 96.40- Haiti Cap s7 A re Havae. — ta $.§0:2 Campéche Haiti Cap iF cines 31. ~ Le t de la Ré