peuxiéme Année, N. 469. PORT-AU-PRINCE ( Haitt ) Mercredi, 21 Octobre #908. Q =. UOTIDIEN - Abonnements: ! Dianesavt. _ Un Mos. . . G. 200 | . et . PORT-AU-PRINCE Tos Mos. . « 5.00 Cléme32t wLagloire, Un Mois. .. « £.20 —- — DEPARTEMENTS Trois Mois . « 6.00 REDACTION-ADMINISTRATION BTRANGER.......-] Trois Mois. . « 8.00 4S, RUE ROUL, 45. ee ete — Pour tout ce qui concerce VAdyinistraticn 3.2 Jono aD 8 Ee CP SEAR eo a BANQUE NATIONALE (ALT iDrochure du Départeiest des Finanges Iil FAUT-IL UNE BANQUE ? Nous nanous sommes pas posi} 188), la Bingne hationale dur, me question qui pourtant représente, pconstate M. M ireelia, des son instal. esujet qui nous Ovcupe, une lation fat Pobjet dan enthousias ne ® question préalable: Est-il | univers: 1! et de command >, Personne, feiepensable que nous ayons une!au début, ne sonvea Asis naler les d4 ? —— fectuosités de ce contrat léouin. 2.» Cot entuousiasm > sexoliqua par tout ce que jo viens de dire, ef non pas seulement parea core, comme I.» pense Pécrivain, « Penthousiasms nait vite souls notre soleil aux reflets metal- liye s ( powquoa: im Stalligaes ?) pius aveusiagt que Pacier ie mi non pias parce Que « nous sommes du midi et et.aun medi bien sony ( poarqasi sone >) soaries entrafGem nts ivis- si-tibles. » Doaitte irs, ¢ iutear de eas retdexious Qbren consideéré caieme me goite fs eréatio’ dda Bengauea ast} an abo tissement et méme une wlatiod tavea- rab'e, lorsq vil a éerit se La Bare te Nation: e dibaiti a été fond te parce seouvergement de Salomoaroet od Bee ces tinperfechhons eb sos lenses, on peut la consilerer deja coinm un progres. » Et il surgséra 9 mein: de -ompléter Paravre de « progres » de « la parfaire, soit en obtenant des Ino- difications dans le contrat de linstl- tution, soit en fondantacoté d elle un nouvel dlablissem’at de crétit » Que dis-je? il fit plus que syggérer, il réalisa ’idée et tout le monde a en- core a la mémoire la retentissement qu’eurent les discussions, parfois vio- lantes, soulevées a la ibre de ddputés, sous le prisident Hyppod e, par le projat de création « d'un ne 7 val établissament decrddit * AX Alo- ver a cdété da la Binque de Salomon Et méme il arriva qu’, auplus for: d : ces discussion:, ud honorable dépa té- M. Carvalho, je crois, - fit voter par la Chambre, a cette _ occasion c un peu, disait-on malicieusemen'. pour compromettre et ruiner /¢ | M. Marcelin nous dit, dans unde #6 OUvrages, CommMant Septimus Ri- Bau Caractérisa sa vice-présiden ta, fillais dire sun regne, par daux pon- ee maltresses: lins'itution d’un que et celle d’un Panth4on, et jus- @* naguére encore, il était douné a. mMeneur d’aircier sos regards sur Comm encem ntsd'étifices m4til- a3 qui drassaionat leue sombre sil- delta, ua sav la place de UIn‘en- oe, l'autre sur celle dite précis }- Meat du Panthéon. (étaient les deux weasees Maitresses de la politique go- Mguiste qui commMeng tent ainsi a eadre corps. uis, l’esprit public hattien s’est went figuré qua « Saptimus » t ébauché une entreprise natio quil appartenait 4 la postérité Mtver, j3 parle bien entendu, de Projet de Binque, sa conception théon haitien s’étant défini- évanouie delle-méme, par ?gloires nationales proba- a eVant la tentative faite sous Me, la pensés d’une Baaqie até bien des cerveaux hai- @ dans la plupart des plans dues qui se sont fait jour, ® Perce comma une ob- Y bles “tsqua Silomon, héritier d'un point de la politique do- ) py »COn¢it et exécuta la crdés- ai Rous Occupe actuellemant, v8 l'air de réaliser une vas‘e i ationale, unesorte da tra- ue qui attendait depuis Hercule. « Fondée en BB SAR 592 op OE TET OP MRO We OS a Fudvteotac 4A Monsieur Arthur I Chambre des. _ — - tet de M. Mareelin, fe principe de la mattvallid des Bangqnes. Done, ea eee eooPetait me ne plus une se- coude benqae qua le pays devra t vires atinis a ose doune> te cas! echegnt., mais meme une froisiene, | spe qaattiome, que sais-je ? une di-, NIeMO... | I,ombre de « Sep'timuss, en atten- dant le Panthéon da ses réves, a dv ace moment tressaillir veaimeat d’ai- > sans doute, le vice-présidsant ~est viarconsi iérabloment dépasser ; ui port de vue de la conception et wn freee, BO de sa persistance, il ne reste pas Inains un incontestable ancetre. * * * (Vests ce coup dail sar quelques poges de rotre histuoite passée qui mas hat paraitve oiseux da poser la ques- tion: cest-l indispensable que nous éYuus use banque ? Cartes, Cest la une question com-: exe si lon veut lexaminer sous tou-| faces: 6conomiqne, finan- | eee a Daiaist ative, politique, Mais | et Po. veut s’en fei: aa seul point: de ovoe dt. sentiment hational, cette; quesiion devient sinple, luminetse, ! a opcine discutable. L’opinion publique h.itieune, a: fori ou @ teison, travailioe dans ce: sens ci Nene temos par nos éeoua- mistes cb nos fiaructiers les plus ectaipes et tos plus sineeres, et par: tes pu dtiviens Jes plus ignorants des_ qeesttons Ccouomiques et les plus, eaicdlateurs ; par Vhomme dalfsires, étranger ou haitien, fe plus travailieur! et le plus assoiffé de stabilité et de! sécurité commerciales, en méme t-mps quepar le tripotier et Vagioteur en queéte d’aventures,— I'opinion pu- b!l:que_ hai ie: ne, di-ons-nous, a constamment tendu vers ta création | dune Banque Natio:ale. | If a toujours paru que, sans une’ Banque, il inanquerait quelque chose, au paves et nos anciennes Trésoreries pationales Wout laissé dans nos es- puits que l» soavenir de tatonnements yavil pe serait pas prudent de renou- veier d3 wos jours. Je n’en veux pour preuve que les tendances actuelles du Département des fiaances qui, bien que tranquille, prosiame-t-il, sur: pr wm Sus lvloire : NUMERO 15 CENTIMES Les abonnements partent do 1° et da 15 de chaque mois et sont payables d’avance Les manuscrits insérés ou non pe seront pas rendus croit patriotique la pestion du jour, et sage de « songer 4 demain. » til ne me semble pas que le Dé- partement ait tort : ear beaucoup pensent comime lui: moi-méme, ta wVande majorité da nos lesteurs. le Délévud du Département et, sans dou- fe aussi, le service de Tcésorerie lui- meme. La Commission d’Enquéte adminis- trative n’avait pas fini de déposer ses rapports contre la Banque que d’ins- tinct l’on pensait, et elle avec tout le monde, qne les démélés et les que- relles une fois vidés, il y aurait flieu de travailler a I’édification d’une nou- velle Banque. Décidément « Septimus » était bien Vlincarnation d’une aspiration nationale ; on ne peut lui voler cette il a cherché et il a tixé victo- rieusement la formule d’un véritable tésidéraium national: il faut une B snque nationale en Haiti. kt cette formule, Jimagine, adn taitot inquiéter, tantot rassurer la Banque Nationale, au #¥ceé des con- Jonctures. Si, en cffet, une Banque est néces- Saire, a t-elle dtt se dire par moments, Ces temps derniers, mes jours sont Inenaceés par une Concurrente (qui peut surgic & chaque instant. Mais tout assitot, elle a dt se re- pr-ndre et se remonter. Si nne Ban- que est indispensab'e, il n'y a pas liau da désespérer ; je suis 1A et mes assises reposent solidemeat sur une Volonté nationale exprimée depuis Sous Domingue et méme avant. EE FXITS DITBRS Tribunal de Cassation SECTION CIVILE Audience du Mardi, 20 Octobre 1908 Le tribunal sous la présidence de Mr. le Vice-Président Ernerst Bonhomme, prend siége 4 -dix heures et demte da iwatin et entend les affaires suivantes : —Le siewr Edg. Arty, demandeur en récusation contre le “sieur Antoine Fran- gvis, Doyen du Tribunal civil da Cap- H altien. Le Rapposteur, Mr. le Jage Edmond Héraux, donne lecture de son rapport. Le Ministére Public, Mr Evie Curiel,conclut au rejet du pourvoi. Madame St-Lucien Emmanuel et Oc- célus Gargon, contre Cécile ¢t Neiphile St-Albin. Mr. le Juge P. Larague, Rapporteur, lit son rapport. Me C. Benoit, pour les défenderesses, est entendu en ses observations. Le Ministére Public, Mr. Eng. Décatrel, conclut 4 la déchdance du psurvoi ; —Cajuste Bjou, contre le Dr. Louis- Jean Bijou. Me Solon Ménos produit une demande de sursis qui est acceptce par le ‘Tribunal apres délibération. ° —Polycarpe Pernard, Boisson. Le Rapporteur Mr. le Juge P. Laraque, donne lecture d: son ripport. Me Etienne Mathon, pour la défende- resse, est entendu en ses observations. Le Ministére Public, Mr. ie Curiel, conclut a la cassation et 1 l’annulation du Jugement attagué ; —Simihien Dérosier, contre EF ias Noes. Mr. le Juge P. Larague ‘it :on rapport. contre Veuv: Le Ministére Public, Mr. Etie Curiel, conclut au rejet du pourve. —Marie Dambreviile et consort contre Haidé Louis Laforest et consorts. Apres lecture d'un long rapport: présen- té parle Juge Laraqgue, le tribunal renvo'e la continuation de l’atfaire 4 Vaudience de jeudi prochain. Le siege est levé. Tribunal Civil Audience civile dn Mardi, 20 Octobre 1908 Le tribunal prend sicge a dix heures du matin sous la présidence du Juge doyen A. St- Rome, as,isté de Mons‘eur Lys La- tortue, Substitut du Commissaire du Gou- vernement. Jugements prononcés : Celui qui fixe l’audience du 3 Nover- bre prochain pour l’cnquéte et la contre- enquéte du divorce des époux Fernand Duroseau. Celui qui permet a la dame Euphémie Munier de vendre au des ous de 1] estimi- tion une obligation hypothécaire souscrite a elle par Marie Chrispin. Affaires entendues : 1’ Sylvia Hyppolite contre Cimille Ga- briel. 2° Arétile Rosemy contre Louis mond. 3° Salim Jean contre Madame Elie. 4° Madame Veuve Marmontel Jourdain contre Francois Chrispin et consorts. Le siége est levé. Faire-part Monsieur Edouard Dépestre, son ¢pou- se, sasceur et sa mere, ont la douteur de vous faire part de la mort de ANDRE DEPESTRE leur regretté fils, beau-tils, neveu et petit- fils, néa Jacmel et décédé ce matin 3 1’a- ge de 4 ans. Le convoi partira de la maison mor- tuaire, sised Savanne Salée a l’endroit marqué ; P.C.S. Limite Zone 0,20 cent, cet aprés-midi, 4 3 heures pour se rendre & Ste-Anne. Ray- Fernand Délégations Voici les noms d’autres membres de délégations qui sont venues présenter leurs coadoléances au Général Nord : Cav-Hairien J. C. Arteaud, président, V. Hilaire, J. J. P. Magny, N. Leconte, J. J. M. Manigat, Arthur Bernardin, C. Toussaint. JEREMIE P. Jéréme, président, C. Rouzier, G. Lavaud, Tél¢ Pompée, Ang Giroute, co- lonel F. Chassagne, Député Dégraff. ee ee ———<——— eee ee PENSEIGNEMENTS | MerEeOrnavLOoOalQuaics CIbweervnrtoire ! DU SEMINAIRE COLLEGE S.-MARTIAL | Makb! 20 OcTOBRE Barométre 4 midi 758, 6%™ ° . ' minimum 22. 21 maximu:1 Zr. 5 | Moyenne diurne de la température 24. 7 Le ciel a été bien couvert toute la jour- nee, Oraze au S. W. So A rh. Quelques petites pluies marguan: au pluviomeur 4 peine un millime re. Le vent d Est a di- minuc pendant la pluie. Le birométre a varié peu. Une depeche, interessant seu- lement Cubala cc envoves Ada Havan:. J. SCHERER Télécyycamme funebre Une dépteh: ryae ce matin annonce la niort au Cap Marica de Me Raocn Atauste. Le deéfunt Jase Wunanimes regrets ciivz tous ccux yn VPayant connu = ont su aoprécier tes qualités gui le caractérisaient. Ce tut an homme dexeclient commerce etd’un tempérament distingud. Rectification Dans le compte-rendu judiciaire para hier, lire Avexandre au eu de Jérom: Cu ( i cot - . Ferm3ture de la Malle Les depeches poer Port-de Paix, Crp, Pocrio-Plata et St-Tho.mas par le steamer Soca seroat fermees ce soir, a 5 heures. ie-se de Requism Belie et touchanre manifestation ce ma- tin au Cimeti¢re Extérieur ou fut chantée une messe de ‘Reyuiem pour le repos de Vame de Mme Nord Arex. La petite chapelle du cimeti¢re était comble. Le Président a assisté 4 l’oftice divin, entou- ré d-s principaux membres de sa_ famille. Dans l’assistance tr¢s nombreuse et trés recuei'lie se trouvaient les Seerdétaires dE tat, les autorités militaires de $a Capitale, les tonctionnaires du Gouvernement, les chets des différents régiments en girniso., le directeur de la Bingue par intérim, des Sénaicurs et Deputés, «des membres des Corps Judictaire et enseignant, des repré- sentanis de la coionie svrienne, du com- merce, le vice-amiral de la tlo:tille et son état: major, etc. Aprés la cérémonie religicuse, le Prési- dent se rendit sur la tombe de son épouse, accompagnd des membres du clergé. A sigualer parmi les morceaux fanéebres exccutés parla musique du Palais une émouvante composition de l’Artiste Occi- de Jeanty, intituiée + Sur sa tombe, Le Général Nord, apres une courte tournée en ville, s’est rendu au Pa'ais Na- tional ou les nombreux amis du Couver- nement sont venus lui presenter “leurs hommages. Température, Buss neuf Attelé de bons chevaux, a baptémes, courses en ville, la campagne, etc. S'adresser 4 M™* F. Srines, N° 156, Rue du Magasin de |’Etat. Arthur Bonnefil ARTISTE PIANISTE Organiste, Chef d'orchestre, Compositeur Renouvellement de stock pour répara- tion des pianos. Travail garanti— Prix consciencieux 81 Rue Tiremasse ( St-Joseph ) Priére d’aviser l’administra- tion de ia moindre irrégulari- té6 dans leservicedu « MATIN» afin qa’il y soit de suite remé- louer pour promenades a a An ce Mémoire sur la Ques- tion d@’Exportation des Fruits d@’Haiti Par C. M. DUPUY — I Pour exporter des fruits et avoir quelque chance dz les vendre avec profit sur les marchés etransers, notamment aux Erats- Unis d’Amérique, tro’s choses sont néces- saires, Sivoir 1° Des fruits de bonne qualité, de bel- le apparence ct de certaines dimensions dé- terminées par le gout et les habitudes des consommateurs ; 2° Des moyens d2: transport ficiles,stirs et rapides, assurant une livraison a date fixe au lieu d’embargucment, sans trop de délai entre le moment de la cuci Jetle, ou de la coupe, et celui de l’embarquement ; 3° Des navires, améaagés convenab'e- ment, partant de certains points biea dé- terminds, A des époques régalicres et cons- tintes et faisant un voyage comparative- ment rapide entre le port d’embargnement et celui de livraison. Nos fruits, tels gue nous avons Uhabitu- de de les achenr couramment ict, ct mai- traités comme ils le sont d’ordinaire dans le transport de fa cumpagne a ta ville, ne se vendraient pas a Petranger, Ou y arri- Veraicnt enticrement avarids. Les voyages, tels que les font les nivires qui desservent actacllement nos ports, ne conviendraicnt pas aux transports des tiuits, saut les cocos, Ti ya liea de remargeer ici gue le: qui se sont ma- discussion au S?- deux courants d’opinion nitestés au cours de la nat, en entrant en action, arriveront né- cessairerment aux memes résuliats. Tout le monde est d’accord qu'il y a lieu de_ fiire quelque chose pour sortir de note situa- tion économique actuclle qui est déplora- b'e. Ov, Wun coté, si Von s’occupe de cultiver sérieusement nos fruits de fagon 4 sitistaire nos besoins locaux, il ne fitudra pas longtemps pou qu’on arrive 4 cin avoir un surplus de Bonne qualité marchaide A exporter. Dun autre cd:é, que lon SOccupe sirtout de culaverdcs fruits sur une grande écheile poar VPexportation ct nous sommes certains qie nos besoins |. clux seront amplement satisfaits. Dans ce dernier cas, aurons-nous 23 paver trop cher les fruits nécessaires 4 nos besoins locaux 1 cause de la concurrence qui nous sera faite per la demande pour lexportation ? Ce sera tant mieux pour ies cultivateurs et, tout compte fait, le pays en général ne peut gu’v gayner, car on ne saurait avoir la prétention de forcer les gens 4 travailer, a peiner, pour vendre curs produits pour une pitance alors quiils peuvent obtenir sur des marches étrangers Un prix plus rémunerateur pour cesmémces prodaiis. Si cette derniére con- sidération ne devait pas prévaloir, ce ne serait vraiment pas la peine de s’occuper de questions agricotes et économiques touten voulant pérpétuer des injustices comme celles que nous avons naguére vu consacrer au sujetde l'exportation de la volaille et des bestiaux a detination de Cuba. * -* Pour réaliser le premier point ci-d essus, il faut des fruits de varidiés choisies dont les plants ne peuvent étre obtenus, en Haiti comme ailleurs, dans les débuts, en quantites snffisantes pour des plantations e quelque importance, que par les soins du Gouvernement ou ceux d'une organisa- Sation suffisamment pourvue de fonds, et ayant une direction technique expérimen- tée. Il faut ensuite une culture, une ma- — ee nipulation et, pour certains fruits teh a ananas, oran..es, etc, un emballage lien guides par des personnes compét faites par des mains h ibiles expérig Cette culture soignée ne peut éy} ment Ctre faite que sur des terres convenablement, ou dans des comdiad climatologiques déterminées. Il fage of main d'ceuvre facile, s‘ab'e, cong peu couteuse ; des conseils technigast am pratiques perséverants. Il faut de by gi rité, pour attendre et réaliser leg fed ct avoir la certitude de pouvoir sins encombre, 4 date fixe, les récoltés et préparés. “3 Une telle culture peu‘-elle a9 communément en Haiti? Il seaghiat oui, avec un peu de bon vonloig forts pérsistants ! "1B 4 s e-*~ E.1 ce qui conc.rne le deuxiéme moyens de transport, il faut, a d@ e¢ VOies sferrdes, qui sont le dé ratuin,— des routcs voittrables en eed qui ne causent pas trop de an ou de soubresauts. Avec no; routes, tel qu’elles existent, en général, mais emg tenucs un peu mietx, un service de @ botige un peu mieux; organisé ; des emp barcations un peu mieux ameénagées gag nos barses ; des chemins muletiers entg’ nus normalement, comme on peut certa> nement le fairesans grandes dépenses; de voitures suspendues, plus legéres que nes’ cabroue’s 4 bocufs,— au besoin ceand: peuvent cire utilisés avec quelques amélig» rations—; des apparaux plus rigides gus nos sacs dz paille — on en aa la Jamaigre et ailleurs -- cn peut assurer aisémest dans d’assez bonnes cordnions, le tage | port des frui s a une distance de plasiomg}g kilome res du littoral, ou des ports degp- barquement. a a em a * et Pour le transpoit maritime dH@® Etats-Unis —on ne peut utilemems egg yer pour 1: moment les marchés Oe p2-—les navires qui font actuellemem VOY ge pourraient transporter certains Rape duis : les cocos pir exemple, mais ils i conviendraicnt au transport de susceptibies d'avaries, iels | que "4 -bananes, orarges, etc, qu avec uD am | nagement spéc:al. Il taut beaucoap oy ventilation et mémes des chambres frotder! pour ob:enir tout le succes désirable, ter des pertes trop grandes de fruits , mag il faut surtout,et par-dessus tout, un Wg yage rapide. 4 Mon opinion est que les lignes de peurs faisant actuellement le service ea les Etats-Unis et Haiti ne demanden pas@®mieux que de mettre sur leurs des navires convenab:ement amé assez rapides, du moment qu’elles assurés de trouver un fret suffisant | tour. ll ne serait utile, 2 moo avis, de les exonérer d’une partie au eS EN NE a ES aS eee oe ee rr Bs ——— Nouvelles Lira Derniéres ‘Dépé f - 7 ‘ cd ee tag i. M. Gaston Oa: a donné 8@ ” d'un ; vos Paris 19 — M nistre de la marine, sa démission 4 la suite mea l'alresse de son admioiste M. Thomson était entré comes tre de la Marine dans le cabinet le 23 janvier 1905; il avait fait méme titre du cabinet Sarriea fonction le 13 mars 1906, eth maintenir ce _porte-feuille du cabinet Clémenceau, le 13 © la méme année, M ~—— : —_ 7 > . . . ~ —_ té , e 2 a . _ Pants 19 — Li France a accep Voffre) Bratix 20.— Le parlemert prussien a ’ ‘ roe @ PAllemagne, de soumettre 2 Parbitra- lad Ouvert aujourd'hui par Vemperea - a] q) T 7 ’ y d f g do tribunal de la Haye Vincident pro- jan conrs de son discours faisant ai. 0. ACS V I¢ Cc S eoc acs V I eS ee poqué par l’arrestation de déserteurs del) au: balkans a dit que P’Allemagne sas ion Etrangére 4 Casablanca ; elle a de- PINs intercs:ée gue les au‘res puis cos) — Jé, toutefois que les faits soient expo-: miis que cependan: - "le était accord ave. | . aly: . sPlas 1 . en entier 1 ce tribunal, en mém cles pour une sais ‘on satisfaisante ct Entrepot Général des Grandes fabriques - uestion de droit internatio ‘palsible des d fGen’: 1 parmps quc lag Mawtite see bik seconees 0. POR GALGCUPIE A Inne) OUNS TRQUE OP avsck) er DUNDEE ( ANGLETERRE ) on. > . ” — re € S S smni- . , e » Dee La reo vena a furent re senties hicr. De nouve lcs SACS spéciaux pour Cafés triés ; d’Espagn2 ont Uli secOuss sont ex Hi j hal entre . . a secrétaire des Attaires Errangéres, M. | heures ct mid. ew aujourd hui entre 11 Cafés ordinaires -§choen, a copie de la note que le corps; Nacisaxi — Un soldat passiger sur Je Cacaos Mglomatique 4 Tanger va présenter Ajtransport américain « Butord ”’ vena . Malai Hifid ; dans cette note, se trou-/de Manille est mort du cholera. D'autres Les Types Gourants constamment en Stock par balles de (400! sacs ad * éoumérées les conditions apporiées 4 icas ont été reconnus 4 bord. ° ° ° > e ° B reconnaissince de la souversineté dal” Sp Pérmanscne oy Re pénanse 4 Depuis 18 centimes or jusqu’’ 28 centimes or Pypuveau Sultan. flicielle n= d requéie du Japon, le Tyar a accordeé le par- Pour grandeurs réyuiiéres GO<110 centimetres et 70x110 centimétres. F Bern 1g. - Lapresse officielle ne don-/don a six mar'ns japonais condannes ré- Poids del 3]4 livres jusqu’a Y livres. 2 2. yaya ~ >. 1 t .2 . . }se aucun renssk repent, sur Hat itade da cemment A mort pour avoir atragué les Sacs sur m)léles et sur tvpes des acbeteurs. ppavernement Pins ta crise ac nee: gardiens de la prison de N colticst. Prix 4 forfait pour livraisons monsuelles franes port {2 débarquement et, s1 d i ’ y 2 is ec sq 1 5 / Lae Post » qui publie quelquefois des | euweeseems envesure cmtanrcans on le dé-ire, Droits payés. gticles inspirés, maintient que non seu-i = ~— a 95, ay TERY lement PAlemigne est Mimam: ded cter S 1] CRE TH P RB | N F | pe () O00 S 3 | TI | ramne de contsrerce corfone « 7 , } fax incére's de | Autriche et de Lt Turgeie, | Ch ne . a ee e) e aa ¢? S ( c h¢ e maisencore que d’elle, dépend la réanion | ml nonnen ez7in pur ’ Pirepep 4 1 o wOuU- 7 alt. a lc a yy? 8 ° . ‘ . . Hear wa encore tien dicidé de det! Ce ee rnane Vieanent Warriver par Balles de 300 Saes. yernement n’a_ encore rien décidé de déti-! Sars aura jeg’ ert oh Par yile 4 yee t | . . gitit ace sajct. ae Reé-lLimez a Prix excepticnne'lement avantageuz Bers 19 -- 12 correspondint da a Ta- g J L LLE nt 1 ’ , . sy ad: vr "2 ° geblatt», tecgrapiie qu’un Vapenr ag ais ora | . , _. IULLS AVILL | chargé darnes et de imunigions pour le Sucre te MON r REPOS S'a dresser a a gouvernement moatencgrin a ct2 are ¢ dont ta superionits a été reconnue| AGENT ET DEPOSITAIRE GENERAL fos torpiileur aatrich en dans §la baie par uae Médaite GOs obteane a | 93. RUE DU MAGASIW DE LETAT tlivali. — feme-tawn ¢ 1907 5. | , St-PErEk sh 19. = Le « S'ovo » de Exposition Commun de de 1007 | = saemennaanaransneanene aan aeaenasnenee pen comme sut Vattitude de Mi Rassied cia aceordé Ja plas laute récom- GRAND PRIX HORS CONCOURS Gard de PAemagne ct de PAngieterre : pense, LaRussiz se trouve maintenant au peint Gdparation dis deux routes: elle doit, Dépdét Général : Rhum aul’ ynecourt wa fire cause commune avec les nations 23, RUS ROUX, 23 de race allemande, ou travailler a une ex- ( Ancienne Rue Boxye-For. ) tewtion de l’ententc Anglo-Russe ; ce der-' Tafia 2d0% Alcool Méiailles d'or, Mention honorable, Membre du Jury, G. nid prix, Hors concours dans toutes les Expositions depuis 1381 jusqu’a 1907. ( Ancien et Nouveau Continents ) ——~ \ - pe est dicté par les besoins natu- a deux puissances. F SMesNGFors ( I’inlande ) 19. — Le na- | PHARMACIE me, guerre a ‘Lral » est artive aujour- Emmanuel Alexandre Madam:2 Veuve BARBANCOURT, seule déposi- ans ce port avec un officier malade boo. at senle ie’ da choléra ; cot mavire 1 été mis ep qua-- Lo t tublie o-f avise (pure le D- Thy | taire de la marque Rhum . Barbancourt et seule proprie- ai Borgoaud, Y mnicion da PReole Sal taine des formules quiont fiitobtenir aun Rhum Barban- akls 20. — Rerte: 95 82. perio are de Pari sprend La sueeession | | »s médailles Vor de toutes les [EExpositions, a pris les af- Her la Chanoe apres avoir entendu 4S atfaires de la Pharmacie Emmi-, court les medailles dor de toutes fe | | discours dz M- “‘homson et la réponse nue! Alexandeos, et quail se meta ia! faires de feu son mari, et se Gent a laimenme halle. sise Rue des & Vi. Delea sé ¢ Hyuant les aces et la disposition de la clientele, pour rex.’ Gésars, No 7. ada disposition deoosa nombreuse chentéle, Otoa da minise< de amurine vota par Cutloa pant felle, soignee et Scrupu- | gone les commandes seront executées avee le meme soin que par 68 voix la prem Cre partie suivante de leus? des ortonnances de Messieurs wget ious présenté par M— Deleassé 7 doct urs et Médecins dela Capi-|le passe. Hehel: @ La Chambre déplorant Ices tale. ences tunestes relevécs A Voccasion Port-au-Prince, 1) Yoetobre 1908 la Catastruohe du u Inéa » PB « Aussi- ; 7 _ - ~ —- = = _ . th apras le vore de ce paragraphe M. Clé- Tn. Bracracp A N N E RK LE CO N | ] N E MACe-ay déclara nac P 5 P , * 7 oT CST? SIE rs a cepter aucun ordre du ~ ess N TALE means leguel le mot confiince ne se MW C L Verre fait pas; par suite de cetie déclara- ° e 4 . . . Ta chambre vota par 345 vo'x contre A Pocession de Pouverture de notre sueeur- a2, Vadditisn suivan‘e de M. David: Ta lleur-Ma~ hani , . . ‘ ° ana dins le Gouvernement pour) Donne avis a sa bienverliute elien- sale (Rue da Quai Ne 8:3) Nous AVISONS le pu- ; cS telormes néces-aires », A lis- tale que sa maison No 7 Rue Trav r- 2 sears zat de la séance, M. Thomson s'est. ren. ‘sidre est toujours bien pourvue dune blie en qénéral, que nous mettons en vente, un ion tM Cayaérieur et donna sa varitié d’stotfes def haute nou-/agsortiment de chaussures chevreau glacé en 4M Cémenceau qui l’accepta jveanté parisienne. thence pe fit aucune démarche Quatité SUPERIEURE CouPE &LEGaxTE | {OUS genres pour Hommes, Dames et Enfants r remplacement de M. NE. 2 3 - : su ° . P TRAVAIL SOIGNE. EXECUTIUN PROMPTE aur prix suivants: werd hui la chambre dans sa_ séance Priv tres réduils | yemin a continud la di ion de l’im.- 7. om wm meu mrt Chaussures ur homm 'S e is" pene Syne Cet apremidi cle FOUTS BONTOLUY po ec G. 11,95 . € ja di-cussion ser le iranspor: a meWwiliw 5 , aes « « Dames 12,45 flectrique. 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