Deuxiéme Année, N, 437. PORT-AU-PRINCE. ( Haiti ) Lundi, 14 Septembre 1908. Abonnements: PORT-AU-PRINCE DEPARTEMENTS ETRANGER.......- Un Mots. . Un Mois. Trois Mois. Trois Mois. . Pour tout ce qui concerne l’Administration du Jour Larace bWanche peut, sous quelque latitude que ‘ec soit, se paver n‘iMypou.- | tequels Miuviis traitements envers larace noire, ele aura toujours pour sjastifier de puissants prétextes ti- Ns deses prvteadus devoirs de « ci- Wisa'ion. © Si pourt ant jamais’ quel- qe fragment de Mhumanité foncée se permet, dans n’iimpo. te quelle conjonc- tare, quelque mouvement de méfian- ce dailleurs justitiée contre sa sour- Geet séculaire antayoniste, toute la geat civilisé> d’outre-mer se révolte ; car oser se mi inifester contre la fra‘ tion blanche de Phu «anité est un cri- Meinscrit a: code de la civilisation Sislenom le « wénophobie. » Quoijue ce crime ait été reprocheé Daguére encore par la presse franeii- Sau peuple tuitien, il m’est cepen- tpas vrai que :elui-ci soit 1ré20 Phobe; il a perdu, avec 13 culte de 8 ancétres, |» souvenir de l’ancien- he Oppression. Mt son défaut de ran- Cear vient de son ignorance ; au far ea mesure que les flots de linstruc- lita Tinondeat, on lui obszureit de pias én plus les faits les plus consis- ' $de son histoire. Si bien que, a Oeure actuelle, la bourgeoisie hai- ane, si les temps recommengiient Siderait volontiers les troupes colo- €s,— pourvu qu’elles _restassen! Tousss > contre les bandes de neg Louverture ou de _ Dessa- mt Pendant pour nous tous qui li un peu, il n’est pas po:sible que n€ s0yons plus ou moins xéno- fiebes, car nous connaissons trop par ati nits et par les faits observés les doit en'8, que conservent & notre en- we és blancs d’Europe et d’Améri- P ar ma . Part, en proposant a l’imi- teat de mes concitoyens la forme ie au8l0-saxonne, je ne crois pas ye me sentirais le courage d’ins- ne Haiti aucune Alliance anglo- Meng ©, car il ny apas 4 espérer quele Reenter’! qu'il soit, ( sauf quelques © croie 1 vussi intéressées que rares) ¢ jamais flatté sinctrement des Trois Mois. . DIRECTEUR: | Clément Magloire, la race noire au regard de la blanche manifestuions vetres Orpanisée on sa faveur. Les faits Ie prouveat assez: chez nous meme, VHatien le plus pale n’a chance dMoecuper que les situations inférieares daus toute entreprise par- ticuli¢re créée par fe blane: et si meme nous créeédsns une institutron thationale, telfe la Banque, et que nous la contions a VEuropéea, Pélémant hatien my ao pas une situation plus favorisde. koa weoéral, le blans ne nous feé- quente pas: i asona monde, son cere coe, ses fetes a& lui; ce sont i des faits conmas de toutle monde et Eomy a pas lier dinsiste:. Aussi. iai-je pu ome defendre de quel yue etonnement en yoyant, dins ses moyvens de contradiction, le Doc- teur N. A\uzuste toucher acette ques- tion de la prévention blanche coutre ie nesre en la fiisant seulement poser sur i Angio-saxon Alen croire, le Francais ue conniit pas le préjuge de race et si lapopulation noire quipeuple les Etats Unis relevait de préférence de la domination franeaise, il y a baa remps quella ent été relevée de 34 condition inferieure. Nous somimes obligés d'insister un peu sur cette question, car elle prou- ve a quel point les m-illeurs esprits so laissent pa fois aveugler par la pas- sion. Ce n’set @ailleurs pas la premiere fois que nos contradicteurs jouent de, cette corde et l'un deus écrivait ré- cemment, & propos de |l’aventure de M. Jules Byis et de sa rectification in- téressée les lignes Ssuivantes. | «Il ya eu un ministre anglais qul, apres avoir passé ch 4 nous douze années, reecu et choyé dans la meil- leure soziété haitienne, a émis sur le compte de notre nation et de notre race des jug2?ments, empreints parfois du plus fantaisiste parti-pris. « Comme la boutade de M. Bois, le John valut a testations et ment motivées son auteur de3 pro- des rectifications da- de la part de ceux Hat QUOTIDIEN REDACTION-ADMINISTRATION 45, RUE ROUX, 4§. ——- mal, sadresser 4 Jules. livre de Sir Spencer Saint- | ;vient ‘de lVengager 4 hair; parce que LE NUMERO {5 CENTIMES Les abonnements parte.t da 1? et da is de chaqae mois et sont payables d'avance _ Les manuscrits insérés ou non ne serontpasrendus ~._ 3 ~~ ee ee a wee Qoax ow Bease -Fa. A Momsieur Arthur ISIOORE. «¢s. dont Me avait _ pratiqué “la courtoise| v4 da sa génuflexion devant Vaneien 10spita'ité. Pas un trait n’en fut re-| maitre! Y-a-til done plusieurs «ite. tracté ; et c’est encore a cette sour-jyories d’Ifiitiens, dont Jes uns se ce qu’en pays angio-saxon vont pui- Sertous les médisans qui ont. h2- soin de se donner des arm 3s contre Haii et la race noire ! « Le Frangais dit volontiers du mal des autres et de lui-méme: c’est un défaut. Mais il est capable de re- tour : c’est une qualité. » Et ébloni da cette haute qualité frangaise, le francophils en question proclame !a France [a nation « la inoins infectée de prejugé de race! » Je souris volonsiers de pitié de voir patfois argumenter a tort ét a travers contre tout sys’éme d'éducation an- iglo-saxon, mais il y a Jieude_ se ré- | volter positivein nt de voir des mala- ‘ties Ou das noirs haitiens, par ce que ‘des fasilités particultéces leac a uront permis d’aller se frotter contre la ci- ‘Vilisation francaise, essayer de pre- senter le Francais con ne « é6trangear au préjugé de race. » Que lestitoudas ot Dominicains nourriss2nt de la raatun2 contre Voppression, il est fort compréhensi- ible quwils incarnent cette rancune dans ['Espagno', qui a été leur mattre; que VFIade, conquérant demain son autonomi:, garde le soaivenir dune | domination, il sera tout naturel que ce souvenir ailla A PAnglais ; que les Afco-Américains des Etats-Unis voient, ‘dans un temps plus on moins pro- chain, leur situation sociale s'amelio- 'rer et qu’un fond d’amertume subsiste dans !eur eceur, i! sera légitime que: _-e ressentiment aille droit a ’Ameéri- cain, pour étre servi par des muets. Eh bien, en dépit de cette logique,| « Baudry, conseiller honoraire au voila qu'il se trouve des II 1itiens — et' Conseil supérieur de Port-au-Prince, , pas des moindres — qui, sentant Jalhabitant au quartier de Bellevue, tit ‘Neécessité de désigner une catéyorie périr sous |e fouet son confiseur, pour ;d2 blancs au ressentiment des des-:le punir da n’avoir pas bien réussi c?ndants “de Tonssaint-Louvertnre et de la confiture. de Dessalines, laissent de cété les, « Madame Sivenant Ducoudrai fai- descendants de Leclerc et de Ro- sait donner 2 4 300 coups de fouet a chamb-au, qua le temps, parcait- ses esclaves et faisait ensuite verser il, a tvansformés en amis subits de dans les plaies dala cire a cache- larace et sllongent sans trembler ter brilante. — Madame Charette, a le doigt sur... rAnglo--Saxon ! | St-Louis, mettait A ses esclaves des Comment ! c’est le Frarcais qui a masques de fer fermés au cadenas et été le mattregde ce peuple. — et qnel:les laissait ainsi mourir de faim et ,mattre !— et c’est l’Anglo-Saxon qu’on de soif. > « Latigue, A Cavaillon, fit scier les soi-méme On ne veut pas étre déran- quatre membres de son domestique raient étrangeres aux sentiments des autres ou faut-il penser, selon le mot énergi.jue @Eugene Rov, que nous avons « la nostalgie dv Vesclarage? ° M. J. N. Léver a rappelé qu’une brochure parne chez vous, Docteur. au Cap, en 1814, intitulée « Le syetéms colonial dévoilé » mentionne les cruau- tés suivantes exercées par les colons FRANCAIS sur lears esclaves : « Poncet infligeait la castration a ses esclaves: il fit meurir sa fille naturelle avec laquelle il avait eu des relations incestueuses, en lui versant de la cire bouillante dans les oreilles. «Corbierre fait braler vif ; il fit) «n- terrer un gardienet un boeuf mort. Chapuiset (dans la plaine du Nord |. faisait ouvrir le ventre d’un mutlet mort de maladie et y faisait coudre stvant le gardien des animaux ; il fai- sait ensuite enterrer homme et béte. « Jouannean, a4 la Grande-Rivicre. fit clouer un de ses noirs a une 1m1- raille par le3 oreilles qu'il) coupa «n- suite an ras de la téte avec un rasoir ; il les fit griller et contraignit la vic- time a les manger. « De Cokburne, chevalier de Saini- Louis, (a la Marmelade), enterrait ses esclaves jusqu’au cou et jouatt a la boule sur leurs tétes. — Michau, a Bnn-ry, faisait mettre ses noirs vi- vants dans le four a pain. « Dasdunes pére, dans lArtibonite, fit brater vifs plus de 45 noirs, hom- mes, femmes et enfants.— Jarasay | coupait la langue 4 ses domestiques LR Joseph et le fit ensuite enterrer vivant. } tages et les pour sven coarilieers, oaal! cette | montaut de son hibile erudition et da sos cloguents | grands | S. Arch3r MS. Archer, président du Comité per- |manentdn Sénat est parti hier sur le ' Montreal se rendant en Europe, en mission | speciale pour le Gouvernement. L’Indust ‘3 Jans la Hépu- bl:que d3 Panama Qioigue la culture des binanes est lin- Iduotrie principale et dont la cultivation sagrindit ducandge ca aande, on fait plus yd: calzure des produits sui- -d attention dont les natifs sont ‘es vant; : Caco, sculs cultivatears ct qyi fontscchcr les ‘yrains au soleil au lieu de le faire avec d'appareils spéciaux (la valeur de cet ar- ‘ticle se ca'cule pour | exportation, comme ayant une valeur de P. 6,000 ); le caout- chouc, gui se produit main‘enant en tres | petites quantités, pourra’t avec plus d’atten- tion devenir une indns‘1i? profitible. ' Ty adans la Répubique environ 65, ooo tétes de bétail sur pied . 25,co0o co- ‘chons, 3,000 chévres, 17,000 chevaux, et 1,500 mulets. La totalité des gains du ch:min de fer ‘et la ligne de vapcurs do Panama pour ‘Vanneée fiscale jusqzu’au 30 jucn 1906 Se sont élevés A P. 3, 917, Spo, — lesquels compardés avec coux de lancée précedente montre une augmentation de P. 849.229 {e mouve:nent commercial d'Europe avec PAmeérigue Centrale ct le Mevique , via- Pisthme de Panama, montre une aup men- tion de 2,621 tonnes, ct) pour ies ports de Vocdan Pacitiqee, 4,610 connes. le mouvement commerciv! de LAm2#- rique Centrale et du Mexique vers |’ Euro- pe acu une diminution de 7,826 tonnes et les ports de VOcdan Pacitique, 6,897 tonnes. La tovalité ensemble des deux directions montre une asgmentation de 13 pour cent. Ordre des Avocats4 Conformément a Vlarticle 6 des Regle- mens, le BAtonnier convoque Messieurs les Avocats de ce birreau le mereredi 16 du courant 4 ro heures du matin au local du Tribunal civil, pour proceder 4 Velec- tion du Bitonnier, du Scerétaire et du Corneil. Port-au-Prince, le 12 Septembre 1908 Le Secrétatre du Conseil, Ropon.put Baravu érthur Bonnefil ARTISTE PIANISTE Orypaniste, Chef dorchestre, Compostteur & ’ | Renouvellement de stock par répara- i tion des pianos. Travail garanti— Prix cons. ncicux 81 Rue Tiremasse ( St-Joseph ) Chambre de Comm-rce Les cultivateurs et les Ind istriels du Pays, haitiens et étrangers, sont priés d’ex- pédier a la Chambre de Commerce de Port-au-Prince, dans le plus bref délai pos- ‘sible, les observations ct les renseigne- -ments qu’ils jageront nécessaires, concer- ‘nant leur industrie et leur culture, parti- |culigrement leur nom, leur domicile, la ; moyenne de leur production par trimestre !ou semestre. La Chambre de Commerce espére qu’ils ine se montreront pas indifférents 4 cette demande a laquelle se rattachent leurs i propres intéréts. Le Président de la Chambre de Commerce. D. Détinois. Allo!! Allo!! Tel est le titre d'un ‘entrainant Two Steps actuellement sous presse et dédié a l’ami C. A. Moore de la légation américaine. ;bonne musique quand ils sauront compy ition est de l’artiste B onnefil i organiste, chef dorchestre, compositeuy C’est sur les instances de quelques amis que notre modeste musicien s'es¢ dé 4 donner suite 4 cette publication. —L, nombre des exemplaires sera Testreing : une certaine quantité doit etre expddige aux amis de la province et le reste dang les colonies anglaises, notamment 4 lg maique ot deja le talent de l’artiste C.uyes si hautement apprécié, a fait hop neur 4 notre pays dont il est un digne Gls, C’est pourqusi nous recommandons aag ainateurs Wict d: s’inscrire 1 te pour leurs cxemplaires chez l’auteur 81 Ree Tr remasse, 81, ( St Joseph ) le code , dire de P. 3 gourdes pour Haiti re lings pour | étranger. “ La compo>ition est faite dans des coad= tions de simplicité de facon a en faciliser Vexécution aux éléves de moyenne fore, Que!ques autres morceaux de l'ariiste pee vent Gre également publics selon l’impore tance des demandes, de f con a garands tant soit peu les f:ais dimpression. Une prochaine note annoncera la date da pre mier tirage. Administration Pcstale Lettres recommandecs en souffrance SERVICE INTERIEUR Sénateur Rodert David, Mme Ve Albert Louis Gousse, M. Serre, Muriette Janvier, Philomene Grégoire, Hortensia~ Guerrier, Joséphine Dorismond, Espérance St Lonis, Lydia Picciot:o, Edouard Dorismoad, Jo seph Pre Paul, Augastin Joseph, Benjamia Blaise, Fieury Giraud, Démosthénes Sea, J. J. M. Manigar, ( 2 lettres ) colonel Oc- tavien Pierre, Perceval Audain, Jn-Baptisse Conzé, L. Dugué, mécanicien, Télémaque St Clair, Mérianne Charlemagne. Port-au-Prince, 14 S-ptembre 1908 Départs Hier est parti le steamer « Montréal s avec les passagers suivants 3 destinationde: Havre: Sinateur S. Avcher, Scears Se Caradée, Marie Eugénis, Pere Le Berre, Mr et Mme J. Deleuze et enfant. Cap Haitien : Soeurs S:e Henri, Ste Aw toinetre, Mrot Mime Edner H ppolite, Ma- ria Desaugus:e, Supérieure des Sceurs de Saint Joseph de Cluny, Scears Rosalie & Athanase, Sénateur Laroche, Melle Sylvia Hyppolite, Mme Péragie Balmure, N Joseph fet enfant, S¢nateur D. Nelson, F. Stapenhorst, Mm2 Vera;, Abel Hyppolite, Député Borgella Sévére, Churles Michel, Laure Célestin, Clément, Cilestia, is Isméide Célestin, Mmz Rosemeae N* Mine Theagéne Prin, Mme Léda Gauthier et enfant, Général J J. Manigar, Gerson Desrosiers, Fausan Résia, Georges et enfant, L. Isidore. | Port de-Paix : Pereaud, Pierre Letoe- doux, Louisine Séraphin, Paul Aobey, Edouard Douyon. Mame 6 Par le « Prins Willem I : St Mare : Michel Saich et enfant, Sa Habib, Redolphe Gagneron, Mme A. & seau, Melle Louise Claude, Saith Dm Frémy Séjourné, Paul Lormier, Jean, Georges Angus, Melle L. Mile H. Angus, William Angas, Deslandes, Dt Roche Grellier. Melis ¥ Iéus, Antoine Semise, H. Pyae net, Antoine Nonez, Cing scears Joseph de Cluny. ot New-York: Joseph L. Hachtmans. Viti tor Gentil, Ernest Castera, G. ky. de en s ° 2, a Par le « Pxsident » pour King ms S. Papillon, Mr et Mme A. . Asche Mr et Mme Alexander, Robinsea Tl sera certes enlevé par les amateurs de ‘fant, Mr José Ramon. Nomination s avec plaisir qae pa Nous 3P. ie Son Exc. le Présiden gamission de +: Mi le Dr’ Lélio Hedicourt a dic Ted Médecin en chef 4 I’'Hopital) mi- tire de Jérémie. C’est un bon choix. —- Tous nos com- piments. Avis Comme: cial Le public et le cominsres sont avi- dis que Monsieur OTTO TISCHER est char- de notre procur.tion. W cap-Haitien le fer Septembre 1908. TISCHER & C Fanvelles Btrangeres perniéres Dépéches ns om Avpaxy ( Austrilie ).— Lescadre ame- ficaine de cuirass¢s est entre aujourd Lui 47 heures du matin et mouillé dans Ja aie de Princess Royal. Une foule immen- v assistait, sur !e rivage, l’arrivée des na- vires américains. — Le premier ministre M. Moore ct Vamt- nl Sperry échangcrent des sales de ceur- wisie au mover: de la té.€praph ss sens fi. SaINT-JEAN ( Qusaar ) 12.-— bes geen des manoeuvres de larmeée aleminde se} (MrF. F. Stiues a j'tgent @ Vort-au-Prins.2, {Photographie | Artisti:, J. M. DUPLESS + 120, Rue .i1a Centre, 120. (foatreda varie tel Commnunat). ( TRAVAUX DE TOUTES SORTES + SOLIO Ev ULATINO. ) Larios bcs artistiques, nouvelle A me - L’Usine «sv Périgay (Caye ) Informe sa nombrerseclientéle qn’elle a repris la fubrivation da son sucre si justement recherchs. On en tronvers tonjours a Port-an- Prince, ch=z M. Roberts Dutton & (©. 89, Rue Courbe, Place dela Paic. M™ Vc I. B. Denoux 19, Puace pu PANTHE)~, 19. Annonce au public qu’on trouvera a louver, 4 son domicila, Chases ne': vez, vei.e:. fanaux at ca- bar-ts pour mariage, enterr-ment, etc, etc. we em e ee + ioe a ee ee Panamas |... Elégants, solidas, « Montréu! ». 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Outre le traitement des affections spéeiales de la ferime, des maladi-s chroniques qéuésrales ou locales, des af- feelions gé&atto-urinaires, celles due sys- fem: eri Clr, de la Peau. du Ne °, de In Crarye, des Ovvilles ef des Yeur, le OD Gavead fait le ‘raitement A domici- de la Lym- phanyite Chronipue. (.ONSULTATIONS ET TRAITEMENTS De FAO hrs dum tiaet de 2? ad 4 hrs de Vapreés-midi Matsoo foadeéa en PSs, Dermiers articles recus 1 | Parfumerie Houbigant; Ro-| Val Houbizant ; Fousece Roval 5 Par-! fuin Pdéal; Savon, Poudre ; ete. ete. Coifrets de parfaumercie trés élézants. Parfum renommeé Astus ; Lotion, Tri-. coflis, Lampes. Fouets et Chamois' pour bugsey et bass. Arjwen'eris de luxsa, Bibelo's,: Moustiquiures, Brosses, Pipes, Fumes- cigarettes, Cravates, Maroquinerie de toutes quialités. - La Maison a toujours ua grand as-| sortinent de Bijouterie, @Aryenterie, | de Diwman:, & la disposition du pubtic: Maison FO BRUNES. 195 ss KAND’RUE 195 Dirigée par L. 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