Deuxiéme Année, No PORT-AU-PRINCE ( Haiti ) Mercredi, 26 Aoat 1908: ABONNEMENTS : PORT-AU-PRINCE) Uw Mors. . DEPARTEMENTS)\ Trois Mots. ETRANGER........ Pour tout ce qui concerne "Administration du Journai, s’adresser a2 Monsiear Arthur ISIDORE, Trois Mois. . — eee A eee ae Dee own LES AVANTAGES D'UN CONTRAT Industries textiles. Appel aux propriétaires Nous avions promis dernierement: de revenir sur le contrat Audain qui seul dans le cours de cette session a ééadmis par les deux Chambres. I! hous a sembié util», en effet, d’atti- te l'attention sur les avantages qui <ésulteront de l’installatinn dans le pays des usines bienfaisantes appelées | ddistribuer dans beaucoup de foyers désolésles sourires d'une nouvelle vie plus aisée. Combien de pauvras gens qui af- fontenten ce moment les humillia- ons d'une mandicité honteuse trou- veroat les inoveus d’‘employer l’éner- gle qui dort en leurs tempéraments désespérés. Car le travail n’exigera ni beaucoup d'etforts, ni beaucoup dintelligance : il suffira de vouloir pour que l'existence trouve chaque jour un aliment méme modeste ui soutienne et la fortitie. in lustrie textile qui fait objet du contrat Audain tend de jour en jour a Préendreune grande extension dans les Pays tropicaux. Elle consiste simple- ment a extraire des différentes plantes ua 8a Contiennent les fibres te.vtiles. tte CXplication parait étre une la palissade, Mais était nécessaire pour acquilliser beaucoup d'esprits cha- 8 chewlours disposés 4 compliquer Parnes les plus simples. none a ces différentes: plantes dont prem etons de parler, il faut citer en fe ligae : Voreil!s d'dnes, le pit- and cgi qui existent en si tieones re sur les propriétés hai- Che nai 2 nous, sor 8s, l'industrie Pris jusqu’a ce jour, tout Il’es- cont elle est susceptible. On Ique bien, de temps en temps gases kilos de fibres Rud cen ces fibres décortiquées a la eet trop cher ne et ne sont Poort lenrs suffisament travaillées. it fant let a une bonne exportation : Celle 1, travail de la machine. Went dante, comme on le sait, r@ combiée, la Chambre et textile n'a-. décorii- | le Sénat, sur la proposition du Gou- vernement, ayant concédé 4 M. Emile Audain le droit d’établir dans le dépar- tement de Ouest dans le délai d'une année a partir de la promulyation de la loi de sanction une usine pour la décoartieatinn des harboc ani fanrni:- s2nt des fibres textiles, telles que les ayives, ( galata ) etc. Le concessionnaire’ se réserve e. outre, d’établir ultérieuremen: des usines aux mémes fins dans les au- tres départements de la République. Mr Emile Audain a framédiatetnent ‘rétrocédé le bénéfice de son contrat aunoe Société frangaise dont M. Lion lest ici le représentant. Les avantages quele pays peut re- tirer de l'installation des usines que doit monter M. Lion sont innombra- bles. En effet, outre le droit en or que la Société paiera a VP Etat pour la sor- lie du produit fabriqué, on peut espe- rer que des quantités de mains inoccupées seront employees par lusine. Ii sera, certes, facile a tous [es in- dividus sans travail de trouver une occupation facile et rémunératrice en -allant cueillir sur les mornes les her- bes nécessaires a4 travail et que lu- sine achetera. En outre tous les propriétaires trou- veront un rendement aisé et impor- ;portant par la vente des herbes qui -geront sur leurs terrains. Dés maintenant, ils peuvent sen-. ‘tendre avec M. Lion qui recevra Gaud, Bois Verna le matin jusqu’a 9 heures et le soir de Sh. a 7 h. C’est un tres bon contrat que celui qui favorise le travail et permette a bon nombre de citoyens da soutenir les luttes quotidiennes. En mettant en valeur une catégorie des produits ‘de notre sol merveilleux, en les fai-. ‘sant apprécier et en les répandant, ' c'est faire de l’excellente besogne so- Hall QUOTIDIEN DIRECTEUR: Clément Magloire, REDACTION-ADMINISTRATION 45, RUE ROUX, 45. ee ee ee leurs offres 4 son domicile 7, rue Ri-. viale, cest mériter fa sympathie’ qu’on acco:de seulement aux étran- gers vraiment dignes tont le réve nest pas de ramasser de l’or dans nos champs et nos” viiles dévastés, mais d’arriver par Veffoirt persévérant, le la- beur soutenu et honneéte a lPatsance, a la fortune. « Tous les hommes sans exception, cherchent a se procurer de largent, ear cest 1a une ,nécessité impérieuse et inéluctable; seulement ils diflérent par les moyens quils emploient. » Les moyens que M. Lion veut em- lov r méritant AAtra ailleurs, pour Vinstaliation et la; di- rection de ses usines, i] n’amenera pas ici un bataillon de ses congéne- res, c'est a des énergies et a des - teliigences hailiennes qu'il va s’adres- ser et certainement de pareils moyens ne peuvent nous laisser indifférents. Si de tous les points de la Répu- biique s’élevaient, inajestueuses et sé- veres, les cheminees de vastes usines appelant au travail des milliers d@’hai- tiens détournés des fonctions publiques et par. conséquent guéris d2) Verreur réevolutionnuaires — st de nombreu- ses entreprises agcicoles, industrielles cucommMerciales s¢ericusement éta- blies chez nous attiraient et retenaient chuque citoven devenu capabie de se pourrir et de mnourrir la famille, les aventuriers 6t les ambitieux politi- ques ne seratent considérés que com- me des fous évoquant des époques tres lointaines ot on se faisait tuer pour.... des idées. Nous ne saurions trop insister sur ‘les avantages du contrat Audain qui mérite a tous égards la sympathie qu’on doit aux ceuvres de progres. Aussi invitons-nous tous les proprié- taires d’herbes folles autrefois dédai-- gner de s’entendre avec M. Lion qui leur fera d’excellentes propositions. "oo Liou Sm oom Pa. Se eee et L’administration du « Matin » rappelle aux abonnés de la Ca pitale qu’iis ne doivent rien ver- ser, abonnements ou autres que sur REGCUSIMPRIMES et signés de M. )l’Admiunistrateur Priére d’aviser l’administra tion de la moindre irrégularité dans leservice duc Matm > afin qu'il y soit de suite raméedié. | LE NUMERO 10 CENTIMES annrdnisdc | Les abonnements partent du 1% et du rs de chaque mois et sont payables d’avance Les manuscrits insérés ou non ne seront pas rendus a ———— = a$. Rue Roux ou Bonne-Foi. AVIS IMPORTANT “LE MATIN” QUOTIDIEN DineCrioNn-ADMINISTRATION 45, Rue Roux, 465, A partir du ler Septembre pro- chain, le tari! d’abonnement sui- vant sera mis en vigueur: Porrt-at PRINCE: 4omoaic G 2 Awmaic CH & DEPARTEMENTS : 4 mois G. 2.20 3 mois G. 6 ETRANGER 3 mois G. 8 PAILS DIVARS Le développement tivorable des intéréts agricoles a continué pendant l'année 1907, matyré la dépréciation en valeur du café et du caoutchouc, due en grande partie Ala crise financicre. Les conditions su- ericres se sont améliorges et les marchés pour l’année actuelle montrent des condi- tions tres satistaisantes. On prévoit la protection de cette industrie par l’aug- mentauion des droits d’importation, et le sucre brésilien, par suite de la dénoncia- tion de la convention de Bruxelles, sera a meéme de faire concurrence au sucre des autres pays. Un fait notoire dans le déve- loppement agticole est l’augmentation dans la culture du riz, ce qui diminue par con- -séquent les importations de ce produit. D’aprés un arrété du 28 novembre 1907, le Président du Brésil est autorisé a en- _courager l’organisation d’une banque agri- cole centrale au capital de P. 10.000.000, ‘qui fournira l’argent et le crédit nécessai- res a l’agriculture. La production et l’exportation du café sous le nouveau sxstéme de valorisation ont augmenté ‘et font ressortir une plus- value de plus de P. 100.000.000 et de plus de 1,000.000 de sacs en 1907 sur l’année 1906. Le café brésilien figure pour 77.34 pour cent, soit 727,187.465 livres sur la consommation totale des Etats-Unis s’éle- ‘vant 4 940.247.3152 livres. D’aprés les réecolte se la d fan'tifs entre-s totales sont ¢levdes 2 20 yoy 189 sacs, ce qui re- présente un? aug enoasiation de g.3 53-805 chiffres ofticie's sir caféiére du Breésil, tes sacs, soit $46 pour cent sor Vannee pré- cédente. La production de c:orch ie re nontte| oem iN ATRE COLLEGE S -MARTIAL aucun signe de dirvnuto: bien que tout purte A croire qug th prochaps résorre se- ra moins grande qve da dermere Tas ex- portations de caoutchoue da Beéwl, y com pris celles de ia Boose codon Peron, ex pedides par PAMmazers, sot cievdes a 40 500 tonnes Ch 1987, conere 38 000 ton nes en 1906. in 1y07 1: quantiré de ciout- choue du monde enticr ses: @evée i en- viron 6y.000 tunnes, conn. 65.099 ton- ta nes en 1906 5 la comoomanaion a ¢cto4 peu pros tameime dans ies deux annecs, cest-A-dire G6 O00 tonnes. On arécolt! Cans’ dern oS e pin de Go.-oo de livres de cteio, ce gut met te Brésil aa prem ring pura des pays prodacreirs de cetardel. ©. sont les Euus-Gins gui on con omread te plas dans lemonde cu des. A Para er a Bihta on commene: aoe div rn ho ottzo dupre, des procldés ce atadgues or ih cur preba- ble Gie fa perdocd boo ae aug mentera CHomesnent. ba peodaccen de cacao ded Bo de Bahisa pr sque doube dans tes sx dermires amie.s .e8 exper tations d: 1906 dant de 23 500 tomes. comre Py oxen td, Les pio eurs out trouve que tte caturr ryote des ot néiices plus sare et cide geand. ae le tabac ou lo eate. Le Brénleoon ste 2.4 éab os. nents industricls ayaat ens ombic un capil den viron PL £89 750,000. Li pe dicuua de. planics ieX es augments rapidement, ce qui expique la dom rit oa cos atée dans les recsies de ditfirent. povs di exporta: tion. et fe pouverasm:.t .xovlotie e1 Cc: agacvite alone MUUVELE ois, ict bt PET, dats le but don faire une rivae de cotem Ac tuchemeat, iy aati Besuil roo filature, de textiles fisant travailler 734 928 bro- ches et ry.p20%imesiers formain ensemb'e un capil de 165.439 952 mares. Te égramme funeore Un télégramine aanonce tamort d Pet Goave de Mr Evrarp Derpeac, décéd: cette nuit. Condoléances 4 la famille. OE ee EO IA One UN Se st. FEUILL}YYT.).< 3:U © MATIN PE 2G Aka Tyas (ro: ROWMUELES s | ok IX Les cours. tee Soe oN Ts ch ane Mul ay Geers. ty Ge a Cane nad ces Stosans gre bs cons. ce he oatessn: } et sans gue les a es petdiss. des postions gal Des deax cote: on dvstrait aa tin deceie lutte doulourcuse ct sangiante. Autour d. Miragoane, aprés chaque attaque général, c‘étaient de nouveaux cimeticres qui s'i- nauguraient... ™ Deés le début des hostilités, en deux fois, le charge dathiures de France i Port au-Prince, etait intervenu, porteur de pro- positions de paix, une premicre fois en er- voyant i Mirage ane de chancehier de la Le¢ gation frangaise. M. Boulanger . une se- conde fois en vo venant fui-meéme. Le Pre- sident Salo:rnon, mettant de cdté tout taux amour-propre ct ne songeant, en d@’Etat. qu’) empecher Vinsurrection de sétendre, consentait lk paver les dettes de la Révolution et a protéger les insurgés contre tous sévices jusgu’au jour de leur SCOT. . aya potiee vrai Chet secre Oe tribunal envoyant velle conférence des puissanc far pris par le RENZEIGNEMENTS ee SS) car be a SALOT ES [Chaves ct Barboux a leur Consul. questions qui pourraient surgir troy’ MEI POROLGCGAIA Den cote, ala date, du rg Aout, Mr] facilement étre résolues par la vole di _ ie Consul gencral d’Augleterre, apres avoir | matique. Un fait significatif cest LQrhweersvr rtoire entendu 1 deposition du plaignant Char- de proclamer sultan Moulai Hafid le DU iy Ini remet ane déclaration officielle, }veau ministre des Affaires Etrangéres we "oy @eamme wait! rocain El Minibbli a sollicité l’approbaties e Le consul général d’Angleterre en de M. Regnaulr, le ministre de France § a Hvitin’) aucun droit aux toncuons de ju-| Tanger. Comme ce nouveay Ministre Marni 25 Aout ww fee ot Hai i. Pout cas que exige Vinterven-|un protégé anglais et que les francais @ Beromewe J midi 762, S57 is des iatorit’s judiciaires doit étre déci-|les anglais travaillent 4’ Vunisson en ¢ ymininam » 21. 8/4; par ua juge huitien », moment la défaite d’Abd El Aziz semble Températurejmaximum ': 32. 3 Le déten.cur de Barboux souvient) que devour étre avantageuse pour la France meyrrce Gerace 27 Ilia cotee du consul n’a rien A Qfaire dans le} Paris. — Le roi Alphonse est arrivé Ciel naageux presque torte la journée ; tres clair 4 partie de 8h. da soir. Ags h. 25 ° du soir, petit: pluie : 0,27". Eclairs au nord-ouest 4 7 h. du soir. Lz barométre est en hausse. R. BALTENWECK Chronique das Tribunaux ‘TRIBUNAL DE PAIX Section NorpbD débar, craot donne gu’elle est arrivée apres le jusement dincompéterce deji pronon- ce. Le Tribunal, de son cété, déclare que cc coset auraic dd entendre ses deux res- Olioants +t non pas un seul, et refuse de reventr sur sa décision. Charley oir sonant de dire :a Est-ce que Ieors craves que le gouvernement anglais va cuvever ici un juge pour connaitre des athares de ses sujets emire eux !» Toature en est 1a. jourd’hui ici venant d'Espagne. A déjeuné avec quelques amis 3 Boulogne, Sa Majesté, de Wight ou se trouve la reine Victosig Le roi voyage incognito. Lonpres 24.— Le roi Alphonse est arte vé ict ce soir. Il se rendra demain 4 [tle de Wight pour y réjoindre la reine Ve toria, BruXxeLtes 24.— M. Lambert, |’inver- teur belge dont le ballon dirigeable dos etre essayé demain, a fait aujourd'hui ose pres av e u bois de est partie pour [ie Hier s'est présentée, A nonveau au tri jbunal de paix, Vatfaire CHarLtey Forck et; = re es main, Baxwoux 4 propos d’un fanal. ny , ve . ascension préliminaire. Ele est toute simple : ; | WAY eules dil Eres _b acrostat a couvert une distance de | Barboux auriit présé de Charley un final; 34Y ui! ater metres en se€ maintenant 4 une alt- pour buss, que celui-ci aurait perdu | _ tude de six métres. II est ensuite tetourné 4 son hangar dans lequel il a été remis sans incident. San Francisco.— La flotte du pacifiqae ministre de |commandeée par le contre amiral Swinbes est partie ce matin 2 1o heures poor He nolulu ( Hawai ) aprés avoir pris sept cow. tre torpilleurs 4 la remorque. Paris 25. Rente 96.65. M. Revoil, ambassadeur de France Madrid faisant une cure a 1’Etablissemest thermal de la Preste est arrivé 2 Paris ce matin rappelé par M. Pichon. A la suite des événements du Maroc, let généranx Baillond, Lyautey et Vigy rendent 4 Colomb Bechar pour surveiier les mouvements de la Harka marocaine. L’empereur de Russie a printre Michel Tkatchenko on tables re\ésentant l'arrivée du Président de & Républigue Frangaise et l’escadre a Reval, destiné a étre oftert 1 M. Falliéres, En raison de !’épidémie de fidvre tf phoide, la garnison de Lunéville aéé em voyée au camp de Chilons. Un train de voyageurs heurta le bu > WD a Nao Foe apres quelques jours de service ct quil aur | rait promis de remettre en faisant Vacqui- sition d'un autre. Charley de le refuser sur Vheure en tui disant qu’il le lui demandera' i’s-: M. Reynault, le en temps voulu. Cette demande, au dire} }:. 22 1: Maroc, rapporte que la procla- de Barboux, ¢é ait subordonnée 2 da vente fine eca da culiin Moulai Hand a lanyger d'un buggy. oo Prose sans incident ; les partisans du Sur ces entrefaites des maleatendus,d’or- | bvela ovaverain ont juré de protéger dre privé — a propos de chevaux — sur- | curopéens tixés au Maroc. La « Liber- vinrent entre les deux amis qui sembiaient,.¢ » Jot aajourd hai que la France et VEs- couler doucement une agréabie petite vie; pasie v at NOEL aux puissances signa- de compatriotes,— 4 anglaise. rcs de la' conférence d Algésiras que les Birboux fait de vifs reproches a Charley | récents ¢venements au Maroc constituent avi ontilise ganseavis. loue 4 son ipsy sesj unc excelente occtsinn Aexvaminer 1a ci- chevaux. e reproches en_ reproches, [aj/tuitio. et de discurer de nouveaux accords douce amitié se rompt et l'athhire da tinal, } sur ia question marocaine. Dans les cercles comme une arme de représaille renait. “hotvio, on envisage avec calme la nou- Birboux remet done a Chariey u1 fanal tiito} au Maroe, on fait remarquer que celui ci refuse, disant qie ce n’est pas| gue te chanyeiment de souverain ne modi- le sien, que la forme, la dimension et les) te en men le probleme existant ; que lacte décors ne sont pas les mémes et réclame|d’.\ gesiras a é & congu pour la résolution sur ce, une valeur de Vingt gourdes pour} de ce prodicme et qu’il est aussi bieo ap- tous trais de dédo:nmagement. Puivad.c au nouveau qu’d lLancien régime. Aprés Vexposé de ces faits et la plaidoi- [Os considire en conséquence gwil ne se- rie des parties,—~ un jugement d’incompé ‘ra pis nécesstire de cOnvVoquer une nou- ieres Dépéches — ' se Isic id me Yr . ‘ 4 Vas embarguement pour Péranger — leur of- jue oi Bazevuis é:ait informé de la prise; Romulus, était incapable de compr trantmeme un steamer a cette nn. darmes de Jérémie, al n’cdt pas man-|les idées pour lesquelles il combattait, t© Mohurin Legros, dans sa circulaire duigeé ou de faire de nouv. les exigen- | nait d’étre emporté par un boulet. 1y PDscembre aux Chets des ditherents pos- cs ou de repousser Parrans:ment, que] Les blessés succombaient presque ‘0a tes, a prétendu, de bonne foi sams dou- lar. Ie Président, avait cons-n:i Et il im-[ 4 présent. Pas de médecin, et surtoct ps te, gue M. Burdel ctat para, le S Mar portut d’¢viter que les choses -ournassent| de médicaments ! Des blessures dost porteur dune accepration, en priveipe, de de eetie Pig our. aurait eu facilement raison, : ces Propositions, La verte est gue Baze- Le nob! en gangrene, faute d’antiseptiqaes. Aaa iis, Ne sachant pas si Mauwyves vibes deta nye ¢ bal Beaugeé guéri une premiére fois d’ant _ | » ‘ ; 2 3 . . Répuotigue etuent en balle recue 4 la poitrine, fut de noavress et simagunanr que le ment M. Burdel ne retourna plus jamais a]atteint 4 la jambe. Le Miragodnais e espagnol se roidi:, le diplo- Lang us insista, et finalem one le Pré- Avmes en st haveur, sident Salomon renonga. Et voila com- Gouvernemont cuit aux adors, dludt tore réponse positive. I Mirayoine... ne Luly l’opéra avec le coutesd ad ne retusa pas, il n’accepta pas non plus ~ ; marchande de salaisons. et en dernier les singéniant 4 demander des modifications’ dilatoires au projet du Corps diplomati- yj que. La maladie avait emporté Brutus Casimir, M. Burdel promit de revenir dans la Turenne Guerrier, Joseph Muller, Pio Ri- quinzaine rapporter les nouvelles inten- gaud et soa fils Turenne, Désormes Gres tions du Président Sur ces entrefaites, la seiu, si vaillant, Devimeux Lys qui faisait ville de Jérémie prit les armes / 23 Mai ). l’admiration de ses compagnons par la Ce fait décida le Chef de Etat a accepter méthode avec laguelle il se Battait ; enfin les modifications byzantines proposdées par Mou!.te Tutter, Bain, Rincher et Perpi- Bazelais. La piece présentée par le chargé gnand avaient snivi les premiers dans la d’atfaires de France au consul d’Espagne, tombe. Les balles et les boulets avaient M. Garrido, pour étre signee, celui-ci refusa fait autant deravages : Dantés Martin. le bel Sa signature, parce que la nouvelle de la éphebe Planchet Audigé, Prévost Chavan- prise d’armes de Jérémie n'y était pas'mes, Charles Geffrard, Gélus Bienaimé, scia avec une égohine le tibia da reux. Annibal Beaugé, apres avoir stoiquement cette terrible opts rendit pas moins le dernier soupit- Les mois passaient, et chaque jour des cs s’éteignaient dans la ville assi¢gée. Du cété des assiégeants, le 22 bre, dans une attaqae formidable de les positions de la place, des cen cadavres jonchérent les chemias. f Piquant, admirable de courame et we pidité, 4 bord de la Sentine sul deux autres navires de I'Etat, a que dans la petite rade et tents ° quement, mais Constantin mentionnée . j tomberent sous les balles adversaires ; un |mandant da Fort Malet, 4® M. Garrido vit un piége contre les \exi- ;meme boulet avait broy Labossiére et Antot-| dé A la hanche et malade, tle. les, 14 ol n’y avait, semble-t-il qu’une neNicolas Ala Source espagnole; Paulémon; Constantin Rigaud dirigea et tactique, en somme nullement malhon-|Berthaud, Chanlatte, Roy, avaient été tués, ! mémorable dans une ine, ‘elle néte. Le Président Salomon a dt se dire et le Miragoanais’Saran qui, a l’instar de' guste Kavanagh pointant #08 dela gare du Nord. Il y a sept blessés. M. Henry Becquerel, secrétaire perpe- toe! 3 PAcidémic des sciences, €st décédé. — Les membres du corps di- TANGER 25. pomatique Ont demandé A leurs gouver- sements si oui Cu Non ils devaient recou- galtre Mouls: lafid comme sultan du Ma- ~ “oi! bassadeur de Maprip. — Mi. Revoil, ambassacdeur Ce France 4 Madrid a été appelé a Paris pour diccurer de fy siuacton marocarne. Paris. -~ Le physicten Antoine Henry Becquerel soi met aujourd’hui. Il était né en 1852. oo. , Le « Matin » imprime que VY Empereur UAllemayne s'est brisé une jambe. es relite fa méme informa- Le sJourus: ; tion qui. det conair de source autorisée. ———— Tacleur C. Gaveal MEDECIN, CHIRURGIEN ACCOUCHEUR Diplomé de PUrrs crete de Harvard (i. U. 4.) A Thonnea: informer ses clients, les malades ef ls publie en wineral, quil arouvert sos CABINET D'FL}CTROTHER:PIE POR, Kee pu CENTRE 128. ( Maison au De Duchatellier ) Les matads - seat anjourd hal qu’. ils peuvent (fre gnérs par UElectro apie osciastitiquement appliqués dans la plain) des maux dont souf- fre Phumanie P. onf un intéret spé- dala se voir cueriy sans une opéra- tion Chirursicaie délabrante dont les suites sont souvent Jes plus graves. Outre le traitement des affections sipleiales le tu fereme, des maladi-s hroniques iu ales ou locales, des af- fections genta uy; CHIPS, erlle: du 8YS- mervenr. de it Peau, due Nez, de ls rge, des Ocovilles ef des Yeur, le Gaveau fait ic traitement A domici- le du Carrer 'u Sein et de la Lym- phangite Chr en ke, Consunta: tons ET TRAITEMENTS De7 A 10 has da matin et de? a 4 hes de Paprés tnid' —=——- ee eee Mr C. L. Verret Tailleur-Marchand yDonne avis a:a bienveillante clien- ble que sa maison No 7 Rue Trav r- Wreest ferinée depuis Je lundi 17 Coorant jusga'd tundi 31 de ce mois ; cause ce I ee . Son voyage aux Cayes. ee Ohe aussi avis au public que sa fon est toujours bien pourvue S00e varidteé ditoffes de hante ‘Maveautd Pelisserne, la hunt SUPERIEURE (;OUPE ELEGANTE AIL SOIGNE EXiCUTION PROMPTE. Pris trés rédu‘t ' — ee = -et de six auires de | inne entrerent dans la_ mer jusqu’a re en faisant jouer leurs carabi- Parmi les six se trouvait le jérémien ¥ 0: i fut tué. Aprés uue lutte épi- te, ——————— ses compa- en Piguant fut blessé mortelle- , atezux durent rétrograder et la bal caiteinte Ala coque par un bou- engouttrer derriére les mangliers Als Tee salée... we, suite de cet effort considérable, ae furent pris de décourage- te exiles espérérent — ils es- WWsqu’a la fin. FERNAND HIpBerr. A Suivre ) 9 “A de Matis ef | Toutes Ie. él/o-nees rares, discré- tes, bruyantes, de~ parfums d’un char- me subtil et déi-at, — Son Sou- rire, Floramye, Vivitz, - des bijoux on s’enorguellit la pierre éclatante et hautaine, de mi- nuscules objets d’art ov sourit la gra- ce triste des perles, des boucles d’o- reilles qui s’étonnent de leurs formes variées, anneaux de fiancailles offrant le symbole d’urnie éternelle jeunesse d’amour, orgies de colliers graciles, de lourdes -haines massives, des cas- cades étincelantes d’or, de rubis, d’é- meraudes, tout cela fait un coin de paradis de la maison A de Mattéis & Co qui est situdée aujourd’hui a l’Ancien Hotel Central restauré et embelli. Ces ituliens ont gardé la nostalgie de toutes les fantauisies d’art admi- rées jadis chez eux et ajoutant a tou- tes ces trivolités attrayantes, les ob- jets tadispemsabies que réclame la Vie. iis oat chez eux un assortiment d'une grande richesse, pour tous les gots et pour toutes les bourses. er ee ee oe. “A L'ELEGANCE CORDONNERIE. Ez. SEPE 42, Rue des Fronts-Forts. CGHAUSSURES EN DEPOT,POUR LA VENTE Prompitude ct soln aux comman- gas tant ici qigen piovince. Ghauscures de Dawe forme et tra- vail tuujois toutes quwil y a de plus nouveaun. Formes amen icaine et rrapgaise pour Messieais ; €iepauntes et commodes. Pour les enfanis i. plusA Paise. Teavusi SOide exécuté avec des paaux de prsmiéremarque. Assurance de g:and rabais. PAtes. Ciraces at Liquides MAISON N. Cordasco La seule Maison qui peut répondre & tous les caprices du bon gout. La Maison la plus assortie, ou l'on trouvera des cha .ssures de toutes es- péces et a tous prix. La Maisoa qui emploie les meilleu- res fournitures. 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Chicago Médaille d’Argent 1895 Bordeaux Médaille d’Argent 1896 Rouen Médaille d’Or Hors Concours, Membre du Jury DU JURY is97 Elbeuf Médaille d’Or, Hors Concours Membre du Jury-Grand Prix {s98 Paris Médaille d’Or, Membre du Jury 1898-99 Paris Diplome Hors Concours 1899 Philadelphie Mention Honorable 190! Buffalo Médaille d’Or 1902 Paris Diplome de Grand_ Prix 1904 St-Louis Médaillle d’Or 1907 Spa Médaille d’Or 4907 Paris Médaille d'Or 1907 Londres Médaille d’Or 1:07 Jamestown Médaille d'Or Madame Veuve BARBANCOURT, seule dépositaire de la marque Rhum Barbancourt et seule propriétaire des formules qui ont fait obtenir au Rhum Barbancourt les Médailles d’Or de toutes les Expositions a pris la suite des affaires de feu son mari, et se tient 4 la meme halle sise Rue des Césars No 7, a la disposition de sa nombreuse clientele dont les commandes se- ront exécutées avec le méme soOin que par le passé. MAGASINS DE LA METROPOLE Maison JuLES LAVILLE 93, RUE DU MAGASIN DE L’ETAT, 93. 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