réecolte se la d fan'tifs entre-s totales sont ¢levdes 2 20 yoy 189 sacs, ce qui re- présente un? aug enoasiation de g.3 53-805 chiffres ofticie's sir caféiére du Breésil, tes sacs, soit $46 pour cent sor Vannee pré- cédente. La production de c:orch ie re nontte| oem iN ATRE COLLEGE S -MARTIAL aucun signe de dirvnuto: bien que tout purte A croire qug th prochaps résorre se- ra moins grande qve da dermere Tas ex- portations de caoutchoue da Beéwl, y com pris celles de ia Boose codon Peron, ex pedides par PAMmazers, sot cievdes a 40 500 tonnes Ch 1987, conere 38 000 ton nes en 1906. in 1y07 1: quantiré de ciout- choue du monde enticr ses: @evée i en- viron 6y.000 tunnes, conn. 65.099 ton- ta nes en 1906 5 la comoomanaion a ¢cto4 peu pros tameime dans ies deux annecs, cest-A-dire G6 O00 tonnes. On arécolt! Cans’ dern oS e pin de Go.-oo de livres de cteio, ce gut met te Brésil aa prem ring pura des pays prodacreirs de cetardel. ©. sont les Euus-Gins gui on con omread te plas dans lemonde cu des. A Para er a Bihta on commene: aoe div rn ho ottzo dupre, des procldés ce atadgues or ih cur preba- ble Gie fa perdocd boo ae aug mentera CHomesnent. ba peodaccen de cacao ded Bo de Bahisa pr sque doube dans tes sx dermires amie.s .e8 exper tations d: 1906 dant de 23 500 tomes. comre Py oxen td, Les pio eurs out trouve que tte caturr ryote des ot néiices plus sare et cide geand. ae le tabac ou lo eate. Le Brénleoon ste 2.4 éab os. nents industricls ayaat ens ombic un capil den viron PL £89 750,000. Li pe dicuua de. planics ieX es augments rapidement, ce qui expique la dom rit oa cos atée dans les recsies de ditfirent. povs di exporta: tion. et fe pouverasm:.t .xovlotie e1 Cc: agacvite alone MUUVELE ois, ict bt PET, dats le but don faire une rivae de cotem Ac tuchemeat, iy aati Besuil roo filature, de textiles fisant travailler 734 928 bro- ches et ry.p20%imesiers formain ensemb'e un capil de 165.439 952 mares. Te égramme funeore Un télégramine aanonce tamort d Pet Goave de Mr Evrarp Derpeac, décéd: cette nuit. Condoléances 4 la famille. OE ee EO IA One UN Se st. FEUILL}YYT.).< 3:U © MATIN PE 2G Aka Tyas (ro: ROWMUELES s | ok IX Les cours. tee Soe oN Ts ch ane Mul ay Geers. ty Ge a Cane nad ces Stosans gre bs cons. ce he oatessn: } et sans gue les a es petdiss. des postions gal Des deax cote: on dvstrait aa tin deceie lutte doulourcuse ct sangiante. Autour d. Miragoane, aprés chaque attaque général, c‘étaient de nouveaux cimeticres qui s'i- nauguraient... ™ Deés le début des hostilités, en deux fois, le charge dathiures de France i Port au-Prince, etait intervenu, porteur de pro- positions de paix, une premicre fois en er- voyant i Mirage ane de chancehier de la Le¢ gation frangaise. M. Boulanger . une se- conde fois en vo venant fui-meéme. Le Pre- sident Salo:rnon, mettant de cdté tout taux amour-propre ct ne songeant, en d@’Etat. qu’) empecher Vinsurrection de sétendre, consentait lk paver les dettes de la Révolution et a protéger les insurgés contre tous sévices jusgu’au jour de leur SCOT. . aya potiee vrai Chet secre Oe tribunal envoyant velle conférence des puissanc far pris par le RENZEIGNEMENTS ee SS) car be a SALOT ES [Chaves ct Barboux a leur Consul. questions qui pourraient surgir troy’ MEI POROLGCGAIA Den cote, ala date, du rg Aout, Mr] facilement étre résolues par la vole di _ ie Consul gencral d’Augleterre, apres avoir | matique. Un fait significatif cest LQrhweersvr rtoire entendu 1 deposition du plaignant Char- de proclamer sultan Moulai Hafid le DU iy Ini remet ane déclaration officielle, }veau ministre des Affaires Etrangéres we "oy @eamme wait! rocain El Minibbli a sollicité l’approbaties e Le consul général d’Angleterre en de M. Regnaulr, le ministre de France § a Hvitin’) aucun droit aux toncuons de ju-| Tanger. Comme ce nouveay Ministre Marni 25 Aout ww fee ot Hai i. Pout cas que exige Vinterven-|un protégé anglais et que les francais @ Beromewe J midi 762, S57 is des iatorit’s judiciaires doit étre déci-|les anglais travaillent 4’ Vunisson en ¢ ymininam » 21. 8/4; par ua juge huitien », moment la défaite d’Abd El Aziz semble Températurejmaximum ': 32. 3 Le déten.cur de Barboux souvient) que devour étre avantageuse pour la France meyrrce Gerace 27 Ilia cotee du consul n’a rien A Qfaire dans le} Paris. — Le roi Alphonse est arrivé Ciel naageux presque torte la journée ; tres clair 4 partie de 8h. da soir. Ags h. 25 ° du soir, petit: pluie : 0,27". Eclairs au nord-ouest 4 7 h. du soir. Lz barométre est en hausse. R. BALTENWECK Chronique das Tribunaux ‘TRIBUNAL DE PAIX Section NorpbD débar, craot donne gu’elle est arrivée apres le jusement dincompéterce deji pronon- ce. Le Tribunal, de son cété, déclare que cc coset auraic dd entendre ses deux res- Olioants +t non pas un seul, et refuse de reventr sur sa décision. Charley oir sonant de dire :a Est-ce que Ieors craves que le gouvernement anglais va cuvever ici un juge pour connaitre des athares de ses sujets emire eux !» Toature en est 1a. jourd’hui ici venant d'Espagne. A déjeuné avec quelques amis 3 Boulogne, Sa Majesté, de Wight ou se trouve la reine Victosig Le roi voyage incognito. Lonpres 24.— Le roi Alphonse est arte vé ict ce soir. Il se rendra demain 4 [tle de Wight pour y réjoindre la reine Ve toria, BruXxeLtes 24.— M. Lambert, |’inver- teur belge dont le ballon dirigeable dos etre essayé demain, a fait aujourd'hui ose pres av e u bois de est partie pour [ie Hier s'est présentée, A nonveau au tri jbunal de paix, Vatfaire CHarLtey Forck et; = re es main, Baxwoux 4 propos d’un fanal. ny , ve . ascension préliminaire. Ele est toute simple : ; | WAY eules dil Eres _b acrostat a couvert une distance de | Barboux auriit présé de Charley un final; 34Y ui! ater metres en se€ maintenant 4 une alt- pour buss, que celui-ci aurait perdu | _ tude de six métres. II est ensuite tetourné 4 son hangar dans lequel il a été remis sans incident. San Francisco.— La flotte du pacifiqae ministre de |commandeée par le contre amiral Swinbes est partie ce matin 2 1o heures poor He nolulu ( Hawai ) aprés avoir pris sept cow. tre torpilleurs 4 la remorque. Paris 25. Rente 96.65. M. Revoil, ambassadeur de France Madrid faisant une cure a 1’Etablissemest thermal de la Preste est arrivé 2 Paris ce matin rappelé par M. Pichon. A la suite des événements du Maroc, let généranx Baillond, Lyautey et Vigy rendent 4 Colomb Bechar pour surveiier les mouvements de la Harka marocaine. L’empereur de Russie a printre Michel Tkatchenko on tables re\ésentant l'arrivée du Président de & Républigue Frangaise et l’escadre a Reval, destiné a étre oftert 1 M. Falliéres, En raison de !’épidémie de fidvre tf phoide, la garnison de Lunéville aéé em voyée au camp de Chilons. Un train de voyageurs heurta le bu > WD a Nao Foe apres quelques jours de service ct quil aur | rait promis de remettre en faisant Vacqui- sition d'un autre. Charley de le refuser sur Vheure en tui disant qu’il le lui demandera' i’s-: M. Reynault, le en temps voulu. Cette demande, au dire} }:. 22 1: Maroc, rapporte que la procla- de Barboux, ¢é ait subordonnée 2 da vente fine eca da culiin Moulai Hand a lanyger d'un buggy. oo Prose sans incident ; les partisans du Sur ces entrefaites des maleatendus,d’or- | bvela ovaverain ont juré de protéger dre privé — a propos de chevaux — sur- | curopéens tixés au Maroc. La « Liber- vinrent entre les deux amis qui sembiaient,.¢ » Jot aajourd hai que la France et VEs- couler doucement une agréabie petite vie; pasie v at NOEL aux puissances signa- de compatriotes,— 4 anglaise. rcs de la' conférence d Algésiras que les Birboux fait de vifs reproches a Charley | récents ¢venements au Maroc constituent avi ontilise ganseavis. loue 4 son ipsy sesj unc excelente occtsinn Aexvaminer 1a ci- chevaux. e reproches en_ reproches, [aj/tuitio. et de discurer de nouveaux accords douce amitié se rompt et l'athhire da tinal, } sur ia question marocaine. Dans les cercles comme une arme de représaille renait. “hotvio, on envisage avec calme la nou- Birboux remet done a Chariey u1 fanal tiito} au Maroe, on fait remarquer que celui ci refuse, disant qie ce n’est pas| gue te chanyeiment de souverain ne modi- le sien, que la forme, la dimension et les) te en men le probleme existant ; que lacte décors ne sont pas les mémes et réclame|d’.\ gesiras a é & congu pour la résolution sur ce, une valeur de Vingt gourdes pour} de ce prodicme et qu’il est aussi bieo ap- tous trais de dédo:nmagement. Puivad.c au nouveau qu’d lLancien régime. Aprés Vexposé de ces faits et la plaidoi- [Os considire en conséquence gwil ne se- rie des parties,—~ un jugement d’incompé ‘ra pis nécesstire de cOnvVoquer une nou- ieres Dépéches — ' se Isic id me Yr . ‘ 4 Vas embarguement pour Péranger — leur of- jue oi Bazevuis é:ait informé de la prise; Romulus, était incapable de compr trantmeme un steamer a cette nn. darmes de Jérémie, al n’cdt pas man-|les idées pour lesquelles il combattait, t© Mohurin Legros, dans sa circulaire duigeé ou de faire de nouv. les exigen- | nait d’étre emporté par un boulet. 1y PDscembre aux Chets des ditherents pos- cs ou de repousser Parrans:ment, que] Les blessés succombaient presque ‘0a tes, a prétendu, de bonne foi sams dou- lar. Ie Président, avait cons-n:i Et il im-[ 4 présent. Pas de médecin, et surtoct ps te, gue M. Burdel ctat para, le S Mar portut d’¢viter que les choses -ournassent| de médicaments ! Des blessures dost porteur dune accepration, en priveipe, de de eetie Pig our. aurait eu facilement raison, : ces Propositions, La verte est gue Baze- Le nob! en gangrene, faute d’antiseptiqaes. Aaa iis, Ne sachant pas si Mauwyves vibes deta nye ¢ bal Beaugeé guéri une premiére fois d’ant _ | » ‘ ; 2 3 . . Répuotigue etuent en balle recue 4 la poitrine, fut de noavress et simagunanr que le ment M. Burdel ne retourna plus jamais a]atteint 4 la jambe. Le Miragodnais e espagnol se roidi:, le diplo- Lang us insista, et finalem one le Pré- Avmes en st haveur, sident Salomon renonga. Et voila com- Gouvernemont cuit aux adors, dludt tore réponse positive. I Mirayoine... ne Luly l’opéra avec le coutesd ad ne retusa pas, il n’accepta pas non plus ~ ; marchande de salaisons. et en dernier les singéniant 4 demander des modifications’ dilatoires au projet du Corps diplomati- yj que. La maladie avait emporté Brutus Casimir, M. Burdel promit de revenir dans la Turenne Guerrier, Joseph Muller, Pio Ri- quinzaine rapporter les nouvelles inten- gaud et soa fils Turenne, Désormes Gres tions du Président Sur ces entrefaites, la seiu, si vaillant, Devimeux Lys qui faisait ville de Jérémie prit les armes / 23 Mai ). l’admiration de ses compagnons par la Ce fait décida le Chef de Etat a accepter méthode avec laguelle il se Battait ; enfin les modifications byzantines proposdées par Mou!.te Tutter, Bain, Rincher et Perpi- Bazelais. La piece présentée par le chargé gnand avaient snivi les premiers dans la d’atfaires de France au consul d’Espagne, tombe. Les balles et les boulets avaient M. Garrido, pour étre signee, celui-ci refusa fait autant deravages : Dantés Martin. le bel Sa signature, parce que la nouvelle de la éphebe Planchet Audigé, Prévost Chavan- prise d’armes de Jérémie n'y était pas'mes, Charles Geffrard, Gélus Bienaimé, scia avec une égohine le tibia da reux. Annibal Beaugé, apres avoir stoiquement cette terrible opts rendit pas moins le dernier soupit- Les mois passaient, et chaque jour des cs s’éteignaient dans la ville assi¢gée. Du cété des assiégeants, le 22 bre, dans une attaqae formidable de les positions de la place, des cen cadavres jonchérent les chemias. f Piquant, admirable de courame et we pidité, 4 bord de la Sentine sul deux autres navires de I'Etat, a que dans la petite rade et tents ° quement, mais Constantin mentionnée . j tomberent sous les balles adversaires ; un |mandant da Fort Malet, 4® M. Garrido vit un piége contre les \exi- ;meme boulet avait broy Labossiére et Antot-| dé A la hanche et malade, tle. les, 14 ol n’y avait, semble-t-il qu’une neNicolas Ala Source espagnole; Paulémon; Constantin Rigaud dirigea et tactique, en somme nullement malhon-|Berthaud, Chanlatte, Roy, avaient été tués, ! mémorable dans une ine, ‘elle néte. Le Président Salomon a dt se dire et le Miragoanais’Saran qui, a l’instar de' guste Kavanagh pointant #08