peuxiéme Année, N. 396. oe —_——- Niwa cero, SSCS 2 a2 a> SIRI (eek; Pee on PORT-AU-PRINCKE ( Hairs Lundi, 27 Juillet 1908 Le Watin QUOTIDIEN ABONNEMENTS : DIRECTEUR: iy LE NUMERO 10 GENTIMES i PORT-AU-PRINCE) Un Mors. . .G. 1 Clement Magloire, _~ DEPARTEMENTS) Trots Mots. . « 3.60 jj mo Sa Les abonnements partent du 1° et du 15 de chaqae | REDACTION-ADMINISTRATION mois et sont payables d’avance ETRANGER rseeseee Trois Mots. . « 6. | 4), RUE ROUX, 45. Les Manuscrits insérés ou non ne seront pas rendus Pour tout ce qui ccmcerne ’Adminisirition du Jour... gs Lots ASSET a NWonsaur Arthe c ISTLORE, AS Rue Roux ou Bonne-Foi. OL est notre terrain entente? LETTRE AM. GEORGES SYLVAIN tion ou pla'ot d'une telle désoryani-' constitution sociale, la sation, est deo créerine catégorie en- combrinte ds Déctassés muiu'tiplisa a chaque génération. Pour nous en convaincre, nos n’aurions, Monsicur, qua j:ter les yeux sur nous-mémes. Je n’ai pas lin- lupart des fonctions dévolues, dans les socié és latines, aux pouvoirs publics ; et que ces familles dressent les enfants a la vie d'indépendance, en développant en eux l’esprit d'initiative et en les disposant a tourner cet esprit d’ini- liative vers les entreprises privées, adcicoles, industrielles et commercia- es. LII tention devous froisser, mais nous ne sommes, vous et moi, que des personnel parce qu’ils adhérent aux/|Déclassés ; cédant a la force des pré- formules tout établies et, qui pour-/jugés sociaux ambian‘s, nos parents Or, si ces deux propositions sont rai2nt s’autoriser d3 vo3 sentences|n’ont pu, en suivant le courant g4né-'tenues pour vraies, comment nier pour disqualifier le but de notre ral et par une notion inexacte de nos que les so:iétés qui pratiquent ce gen- campagne sociale. véritab'es intér®is, que faire de nous re de vie aient pu atteindre un degré C'est ainai que beancoup®de gens,;deux hommes a qui le probleme daide proepérité agricole, industrielle vous croyant sur parole, se croient/la vie deviendrait singaligrement com-:et commerciale plus avancé ome orthodoxes en me considérant comm? p'iqué le jour ot le caprice du ha-'celui des sociétés od les profes- un adversaire résolu de la culture in-:sard viendrait 4 no1s ¢4placer de nos , sions libérales et administratives sont Vois écrire et répcter que je suis par-|tellectuelle francaise. | situations a iministratives. prépondérantes et od les pouvoirs lien «croisade » contre la culture] Je seraisun fou, Monsieur, de cher-| Aussi bien, tous mes elforts tendent-: publics empictent sur la vie privée intellectualle francaise. cher 4 détruire le culte des choses ifs 4 refaire en moi une formation si jusqu’a imposer aux parents le ge.- Je n'ai ni intention de tirer une va-:frangaises dans un pays de langue et pleine‘d’aléis, et jespe-e en tout cas, re d'instruction 4 donner a leurs en- nité démasurée du profit intellectuel de mocurs frangaises, qui ne pense et avec laide de Dieu, y réussir an fants et le mode suivant lequel leurs que j'ai recueilli des travaux de la que par la France, qu ne respire que; moins pric mos enfars, Eo vous ? biens doivent étre partagés entre leurs “lence sociale, ni celle da découra-|par elle, qui aime mieux mourir de la; Métant donné ta paine de vérificr, enfants, sans aucun égard pour la get Alavance toute bonne volooté}méme mort qu'elle plulot que de se A li lumiére rép indus par ti science | dillérence des aptitudes particuliéres! qui voudrait s’exercer dana celte|laisser transfuser aucune youtte de sociale sur les faits historiques, cette; Es comma c'est la science sociale anche de connaissances ; mais je}sang nouvea: et revivitiant. . {proposition relevés sous un3 plume! yu a fixé sur ce point mes idées, ya dois cependant dire qua étude de la] Aussi longlemps @ailleurs qu'un antoriséa: «< Contrairemint a une cru, pour pratiquer la plus élémentai- lence sociale exiga un effort intel-!peu de culture intellectuelie sera re idée gtaéralement admis? parmi les, re des probités, devoir citer m3 au- tual suffisant pour que je sois au-}coanu_ nécessaire dins une société, | Frangtis, ce ny soat pas les po avoirs|teurs, afin derevoler a personnealefrait risé de troaver étrang2 la fatuité]il ne faudra pas espérer que, en Hai- pub'ics qui font [état social mais ; deses recher. hes, et vous d3 vous écrier dont se parent quelques mauvais|ti, cette culture puisse étre autre que, cest l'état social qui créa les pou-;et aprds vous, M. le Dt Nemours Au- Naailleurs, inaples a tout effort intel jla calture francaise. -voirs publics A son image. Si nous ‘guste : « Mais vous que citez qe des wél sérieux, pour défendre contre} Ceci dit, et la part ainsi faite iarge avions bien compris celte védrifé scien-, noms frangais pour établir votre su- Mi le culte, suivant eux menace, {a la fatalité historiqua qui condamne fifique élémentiir?, nous nous serions| périorité anglo-saxonne! » choses de Vesprit ! notre mentalité A la vassalité perma-: épargné toutes nos révolutions ; » j'ai; L'éminent De N. Auguste fait mé- fe 4 mimporte qui, — 1’est-ce | neate de la mentalité francaise, - est-. cru qu’il y avait un devoir patriotique|me quelques citations anglaises dans Ms, Monsieur ?>— de corstituer des|fil étrange Jespere, Monsieur, que tout ce qui precdde aura eu pour effet de détrui- te la mauvaise impression laissée dens votre esprit par le caractére de la campagne que j'ai entreprise dans le milien‘haitien. Je recueille trop de issance intellectuelle de l’étade delascience sociale ;our que je ne m>contente de sourire quind je vous de penser et de dire que, 4 faire p4n4trer cas idé3s dans la so-|le but d’établir que quelques Anglais Macles fermés ot le Dignus es in-}au nombre des ¢ idées » pratiquées ciété haitienne et jo m3 suis mis &/godtent fort peu leur propre état de eat octroyé sous forme de bi'lets|en France et que ce pays s’est adjugé, | écrire la-dessus. _ choses. Ja ue vois pas trop en quoi * Satistaction, dans des réunions pé-| pat succroit, la mission de répan re; Et tous les francophiles de criailler les avis de quel ues Américains ou de promotion qai croient{dans le mond, ily a, pour parler aprés moi ! log eevelatrona fe ty peavent infirmer Monopole d3 consacrer les}comme vous « 4 prendre et 4 lais-/ Tout cela, parce qua, risa qua suc [eS revela site constituée oar sociale ats intellectuels. Cela ne m’em-|ser? » a , 1g, (ces deux chefs principauc. j'ai essayé {10' 119 Pad oie rons den, Ne. cui era pas de penser que le culte| Car l’organisation sociale ases lois, / 44 pyiser dana I'histoira et I'état des ''°,Fenauétes du genre de celle qui H des choses ; ' , i de a été entreprise par le Dr N. Auguste. 8 veulent que I'excroissance lo-saxoones et - re entreprise par le 8 pes temples varourane Segue, fe calssance intellectuelle, quand sur- Poet salles doivent leur orosodelts 2 A oie oe a advenait ve tous les /au Courant des véritables lois des or- ,¥anisations sociales, et subitement _traversés, ce qui ne leur ressemble ont}au détriment d'autres parties de l'or-| organisation en vertu da laquelle : . Se oe 4° L’agricalture, Vindastrie, le com- ‘merce passent notab'emsnt avant les lierg - : : . qui pratiquent— . ; mes Ceffot que las’ démons'rations ganisme social, soit u le bigoterie extérieure. malaise. Dispensez-moi de dis pas tout cela pour vous | monstration rien que par le spectacle, rofessions libSralea_ et administra- °oC'” par quelques accés de progrés Measie » car, quelque peu suivies{de toute notre jeunesse studieuse so PP ; prématuré, bouleversaient leur état ur Wien . | , actions publi- tives ; ;social actuel pour couric aprés quel- Prarie, e Os relations, » votre raant ol asa setone tibérales. —) 2° La vie privée $2 trouv. prépon- , que forme sociale idéale,—en reatrei- Rissance de travail, entend Veni, q Et c'est sur ce pointtout ce qu? je dérante ala vie publique, et il faut)gnait, par exemple, la vie privée aa Pemect parler ds >) entends ant|dénonce. entendre parcela: qua_ les fimiiles | profit du champ d’action des pouvoirs ““eroire dispensés de tout effort} Car le résultat d'une telle organisa: anglo-saxonnes exerceat, dans cette publics,— il n'y aurait encore aucu- ne faillite pour la science sociale qui n’a pas ledon de déterminer tes vo- lontés ot qui, en tenant fa situation sociale actuelle des Any o-Saxons pour supérieure, a bien exposé la sé- re etla relation des phénoménes so- cisax qui conditionnent cette supé- rio: ité. Voyez vous, Monsieur, aussi lo g- temps que nous resterons chicun a notre place, — Li Valisse leat dit - no:is ne nous rencontreruns jamais ; il y a entre nous deux, un fossd, un Obstacle, c'est la science sociale, -i:core la science sociale, toujours la science sociale. Pour nous reb- contrer, vous me demandez de tourner l'obetacie; je vous demande, au contraire, de te fr inchir. Couroonez votre réputation d’hom- me cultivé en vousvouanta |’étude de la science sociale ; elle est francaise et aucun Faguet ne saurait vous en bL!a- mer. Et le profit nous sera commun Je n’aurai pas besoin de vous re- parier de la supériorit* socia’e ang!o- saxonoe, sous peine de précher un converti. Et de votre cété, vous vous épar- gnerez de vous méme la situation pé- nible d’écrire des phrases comme cel- le-ci : « Grdce aux vers d Kizer nos commercants, nos industriels, nos hommes d'affaires, ont chance désormais de voir soulever le couver- cle de plomb sous leqnel s’était abi- mé le crédit haitien ! » Non, Monsieur, les vers d’aucun poé te n’ont jamais, dans aucun pays du monde, relevé aucun crédit; ils peuvent sans doute vaioir un peu de gloire & ceux qui les produisent, un u de fortune aussi, en France, quand > que tes libratres en vo- gue s’y intéressent et que la France n’est pas celle de Corneille. Quant au Vilaire, .. Je vous demande pardon, Moasieur, de cette longue lettre que je fe: me en vous offrant l’assurance de mes sen- timents les plus distingués. Aucuste MAGLOIRE. ==3 PAIS DIVERS RENSEIGNEMENTS METEOROLOGIQUES Observatoire DU SQMINAIRE COLLEGE S -MARTIAL DIMANCHE 26 JUILLET Barométre 4 midi minimum Tem pérature{mazimom _ 35.6 moyenne diurne 27 0 Ciel wn pea nuageux le matin ; couvert r midi. "Brage et pleie & 4 h. du soir. ‘Apres une forte averse d’une demi heure le tem 762, 3°/* 21.7 est resté pluvieux jusqu’a 7 h. du soir. |J Tonal : af. a Le baronstive est en baisse. R. BALTENWEC K Distribut.on de Prix Ce matin aeu lieu la Distribution des Prix aux éléves du Lycée National Pétion. nifique féte scolaire dont nous pu- bilerebs le compte-rendu détaillé. P ei Boite a1 Lettres Port-au-Prince, 27 Juillet 1998. Mon cher Directeur, Je lis dans le dernicr numéro da . Souscriplion faite par le Conseil des une lettre collective ot l'on reléve avec an taives d'Etat en faveur dee victimes de Pur les Sinisiés Secr de lin- peu d‘aigrear. une erreur qui s'est gli cendie des 5 et 6 Juillet courant. di'-on, dans le résultat des examens donné par votre journal et concernant surtout |’é- Général Now) es rerseatess 5 P. or léve Francois Manigat, da°Lycée National. ME Marcelin reaeeees sence Les auteurs de cette lettre tiennent beaucoup Secrétaire TEU 4 la manifestation de la vérité et tie souf- ee Finances 500 frent guére l’injustice. Je les admire et EN Laraqu 2 partage volontiers leur trés belle sagesse. Secrét. d'Erat des Mais que voulez-vous, mon cher Direc- |‘... ics... @ oo teur, méme pour faire briller la vérieé, il ravaux publics: 5 faut d’abord se renseigrer. Or, cette erreur lestin, Secr. d Etat dont il s’agit n’existe pas Votre serviteur! 3. |. Guerre. ...... < 500 a eu A examiner les dissertations des} GC.) Villehardoin éléves de philosophie et dans son humble |; o-onte. Sre d Etat appréciation, il a cru devoir donnerles | de VInterieur....... ‘ 500 mémes notes aux éléves T. Agnant, L. La M. T. Laleav, hens et F. Manigat. Secréet. dEtac de La classe de philosophie n'a pas été ins- | ([astruct. publique « 500 tituée pour créer des philosophes et des; M, Louis Borno, fabricateurs & outrance de systémes. Son; Sre d’Etat des Re- ambition est bien moindre; son but d’une = jarions Extérieures € 500 portée plus pratique. C’est 4 donner une! MM. Camille Ga- discipline A l’esprit de I’éléve dans le tras) bricl.. 0... ........ € 3.00 vail et la recherche, a réveiller en loi le} M. le Député B. gout de la méthode qa’elle vise. Severe... cece ee coos « 200 Lors donc que le Département de IIns-| Député H. Jean- truction publique demandait aux éléves de | joseph ....... one 200 distinguer la psychologiedes autres sciences | Dieur de la Doua- it ne leur imposait pas une course 4 tra- | ne Thomas Paret.. « 100 vers toute la psychologie, nile besoin de| Dépur¢ Th. La- d'stinguer 4 l’infini la psychologie de la chi- | fontant .._- ee 200 mie, de la botanique, de la physique, de; Dr Gal de la Re- l’algébre et de la trigonométrie, etc. etc. | cette, C Pressoir. « 100 Il leur demanda‘t dz séparer par des ca- Gral Montreuil ractéres trés généraux cette science de | Guillaume... ... « 200 celles sus-mentionnées, de faire un choix; M. Sr. Julien sérieux dans les sciences qui se rapprochent | Sanon. .......--—--« 200 be plus de ta psychologic et de developper M. Droseaint Li- ¢ le sujet sur ce plan. lavOis . .....0. ceeeee « 200 L’éléve Francois .Manigat et son coa- disciple Agnanteont été les seuls a bien| “seeeey-newone neq, NOUTBLES Elrangees des considérations oiseuses sur toutes sortes 2 Derniéres Dépéches Total G. 4700 1000 oF. de sciences. I's ont compris la nécessité absolue de dis- tinguer par exemple la psychologie de la physiologie, alors qu’en Allemagne, aux Etats-Unis, en Angleterre et en France, les écoles dérivées des tfavaux psycholo- gi ues de W. Wandt, de Herbert Spencer "Auguste Comte, d’Alfred Fouillée veu- lent arriver a la fusion compléte de ces deux sciences sous le nom de Psycho-bio- logte. C'est donc pour obéir a cet esprit de justice et d'impartialité dont se récla- ment les auteurs de la lettre, gu’en m’ar- rétant quelques minutes aux bureaux du Matin, j'ai cru devoir rectifier la _ liste qu’on vous avait remise en donnaut a I’é- léve Frangois Manigat sa véritable note. _Agréez, moa cher Directeur, mes salu- tations empr Quésec 24. - Le Palais du parlement est y viendra assister 4 un grand bal donné en son honneur. Au diner de gala, donné hier soir par le gouverneur général, le prin- ce avait 3 sa gauche l’amiral Jaureguiberry, le chef de la mission frangaise et 4 sa droi- te le Vice président Fairbancks, des Etats- Unis. C'est hier aprés-midi, avant le défilé de la parade historique qu’a eu lieu la série des discours officiels. Elle a été ouverte par M. Garneau, le Maire de Qaébec qui a prononcé son dis- cours de bienvenue en frangais. Le prince a repondu en frangais qu’il ferait part au Roi de ses assurances de loyulisme. L’amiral Jaureguiberry, le chef de la mission francaise a ensuite prononcé un discours qui a été suivi de celui de M. A. Turneon, le ministre de l’agriculture de la province de Québec, spécialement délégué par le premier ministre M. V. Laurier. _ Paris. — Le comité sportif de l’Automo- bile Club a décidé le maintien de la cour- se du Grand Prix pour l'année 1909. Il est probable que le circuit de Dieppe sera abandonné pour celui de l’Anjou. _Loxores — Dans un discours prononcé hier 4 Washing.on, le Secrétaire de la guerre M. Haldane a dit que pour des Dr. j. C. Dorsarnvit. Huile de Coco GARANTIE PURE Pour toutes espéces de machines. Harnais, capotte de voiture etc, etc. | ar gallon et en dé&ail. ! Pe cot re de la a d ¢ Sai | u an cand’rue n ‘Nola — Pour ane quantité de gallons fournissable au fur et 2 mesere on traite de gré a gré. otel Bellevue. Le mieux sitaé, le plus con- fortable.— Champ-de- Mars. — Cuisine renommée.— Vue sur la mer. brillamment illuminé. Le prinde de Galles| M. M. Clémenceau, Viviani, raisons quill ne croyait pas . ivilguer. la marine anplai i cée année prochaine. Rinse serait real La course dite de Marathon a éé aujourd’hui par un américain: My VienNnE.— Le marechal Osman Foal, pacha, le nouveau commandant du Vilayet de Monastie a éé cnlevé des membres du parti de la jeune T, On dit que ce ‘coup de main a ég sans effusion de sang par Niazi b:y, le deg des jeunes turck 4 Kesna avec le concoas dun millier de ces derniers. A Havane.— Les préparatifs élections du rer Aout sont Tmaintecen minés. Bomsay. — Des désordres ont &¢ peeig qués ce_matin par 20000 ouvriers tisegs qui se “sont mis en gréve hier. Un dp chement d’infinterie anglaise appeld sy les lieux, s’est vu obligé de tirer sar ig grévistes ; un deux a été tuéet siz » tres blessés. Plusieurs policemen is a un indigéne ont été blessé. Les tiers se sont finalement dispersés. Lonpres 25.— Don Carlos, duc deMp drid et prétendant au tréne d'Bspage dangereusement malade 4 Milan d’uge meur de l’estomac. TkEran 25 — Une forte canonnades lieu & Tabriz et dans les environs, ag personnes auraient é:é tuées oo blesses (.a population a fait appel au Shah par lie termédiaire des Légations. CoprNnHAGUE 25 — On mande que ks gouvernements danois et suédois ont cr clu une alliance offensive et défensive. CON>TANTINOPLE 25 — L’édit da Soke restituant la constitution de 1876 a lent le peuple froid. L’aspect de la ville on jourd hui normal; aucune ifestaty de satisfaction ne s’est produite jusge’s Saint Nazaltre. — Le paquebot « Frances est arrivé. Sutpe.— Le Président de la visita ce matin le chareau royal holm ou le roi Gustave V lui offrit es jeuner. M. Falliéres est entré 4 Stockhole cet aprés-midi. M. Chérioux, président du Conseil mex cipal de Paris a été invité par la Municge lité de Christiana a assister aux fates nées en !honneur du Président de bs Be publique. ll quittera Paris demain se = dant dans cette ville, accompagné dell M Joseph Ménard, Vice , :ésident de Cor seil Municipal et Tailliart, Chef de tariat. stot Bo quart, Maujan, sous-secrétaire (Et 8 Ministére de J'Intérieur quitteront demain mati. par train spécial se f 4 Caén. M. Chéron,sous-secrétaire d Ems Ministére de la guerre partit hier som o® la méme destination. Maroc. — D’aprés une dépéche de Casablanca le calme régne dans oe Quésec 25. - Le prince de Gas! passé aujourd’hui en revue la flote —_ nationale mouilllée dans le St-Lees® Une salve d’artillerie tirée de a annoncé le e de son Alvews OR dans les rues de la ville; d'autres pr tirées par les navires de guerre ne au moment ou il s’embarquait bes loupe 4 vapeur a bord de laquelle passer la revue. Bombay 25.—— De nouveacx fee ont nécessité aujourd'hui | ‘ee des troupes. La décisioa des : faire tirer sur les émeutiers semble produit un eftet salataire, caf ls | s’est de beaucoup améliorte ce som. Paris 25.— La proclarnaie sont sement dune constitatic’ une excellence impressio®- 4 roduit Bourse toutes les valeurs é, MEAL 25.— Une dépiche do comm Lokal Anzeiger » 4 Téhéran dit du « ‘en rai vaises nouvelles re- en raison des mau v de Tabriz, le chah a donné l’ord-e une batterie de montagne ¢t nts d’infanterie dans cette ville. Piutres renforts seront envoyés plus tard; pates les troupes seront placées sous le commandement de Maire-Es-Sultanch. On rie que les troupes du chah sont 4 de munitions ; un autre camp re- weaché a été établi au nord de Téhéran poor protéger la ville contre les insurgés gee on dit marcher dans cette direction. BerxE 25. Ona perdu tout espoir de getrouver les corps des ouvriers ttaliens gi ont peri hier dans le tunnel du Loets- 1g. bn adécouvert que le lit souter- io: la riviere Kander se trouve sur une fistance de 200 pieds directement au des- sus de la voute du tunnel et que cest l’ex- tosion de deux dépds de dynamite qui a tt cavsé du désastre. sax JUay ( Puerco Rico ) a5 = Porto Rico acélébré aujourd hai le deuxiéme an- niaersaire du débarquement des troupes sméricaines 1 Guanica. Le gouverneur Post a les avtorités insulaires ont pris une part iminente aux féres ; une revue et un ban- guet ont eu lieu 4 Ponce. Lapaz BoLIvi: 25 — M. Fernando Gua- challa, nouvcau président de la répub'iyue de Bolivie et ancien ministre dz cet e répu- blique 4 Washington est mort subitement hier soir. Le défunt qui avait été clu le 4 mai devait entrer en fonctions le 24 aout. On ne croit pas que la mort de M. Gua-| challa soit cause de dé .ordres. Eee (ssociation Agricole DU CENTENAIRE DE l'Arrondissement envoyer dcax régime de Léogane Stance du rer Dimanche de juin 1908 Aprés la constatation de la miajorité pat lappel nomimal des membres tant urbains | nuscu que ruraux, le président a ouvert la pré- sente séance. Oa procéde 4 la sanction du procés- ver- de la derniére séance, co:nm: de cou-; tome, On s'est longuement étendu sur la dis- parition subite et fatale du membre actif Daverme Gédéon que le sort, dans ua mo- ment de brutale réalisation a pré maturé- went enlevé 4 l'atfection de ses sembla- -Comme signe de condoléances et du regret vraiment sincére de |association ¢t tes I'impulsion de divers membres le pre: ta proposé de lever la séance 4 *ex- Wotdinaire et en signe de deuil, pour présenter Ala famille du regretté des de condo!éances. — Aa moment de mettre la proposition aux War, le membre Labissiére a réclamé la pa- pour proposer la modification | sui- ame ; il s'exprime ainsi qu'il suit : « Mes- wee ne peat planer aucune doute ~ ¥sincérité des regrets que l’associa- attache ala brutalité de la disparition | tee ener Daverne Gédéon ; mai je pat- | de ea ieee de l'association quia per | wiun membre actif, en un mot un tetliren z4lé et regrette en lui tout pat- | © ton; ent lami qui m’a toujours rou- i sympathie constante | affec- mb plas cordiale, » one é& t, jepense que c'est une erreur ee séance a l’extraordinaire en ce Waoes rani > Yappelez vous que nous ‘Ww tava Qissons qu'une fois pat mois Tans ailler an bien-étre commana. Da-' ee rt pour l’inconnu ne nous ap-, Plas, c'est en vain que nous vou- ‘jets indispensables que réclame la ser le publi —- lons tout abandonner aujonrd’hni pour! rlcurer ce départ Regrettons le et fais us notre devoir.— Je vous propose dure de ne point lever la séance avant que vous nayez entendu le rapport des membr » ru- raux sur les plant.a'ions, apporter certaines | reprimandes aux n‘g'igences, s'il y en a et! aprés cela, ce qui, du reste, constitue le gros | de la besogne. nous léverons la séance ct) nous irons tous en corps réuni présen- , ter nos condoléances a la famille Daverne | Gédéon ; je pense qu’ainsi nous aurons | mieux fait. » Aprés plusieurs observations | les deux propositions mises aux voix, celle du membre Labisssére est votée a l’u- nanimité. On procéde au rapport oral ; to3t mar- che passablement bien dans les plantations. En général la récolte ne sera guére abon- dante, les terrains chauds en certains en- droits devant primer les terrains froids et cela étant en quantité restreinte. Les cul- tures de vivres alimentaires sont tres flo- rissantes, et la récolte de ce cdté dépassera les prévisions. Aprés plusieurs autres observations de eu d’importance touchant les plantations, e vol, etle vagabondage que l’associa- tion prie de réprimer, la séince est levée et les membres en un seul corps se ren- dent chi z laVve Daverne Gédéon a laquelle le Prés-dent doit préscnter les condoléances de l’associttion. A. BExépicr, M Payen. Justin SERAPHIN, | B. Atrrep, M. M. Lasis:1ére, T. Locuarn, | L. Heutetou, N. Inocest, D Co tinet, Jotius Joricoeur, M. DavuTRUcHE. A de Mattes ef C'. Toutes les élégances rares. discré- tes, bruyantes, des parfums* un Char- me subtil et délicat, - Son Sou- rire, Floramye, Vivitz, — des bijoux ov s’enorguellit la pierre éclatante et hautaine, de mi- les objets d’art ot sourit la gra- ce triste des perles, des boucles d’o- reilles qui s’étonnent de leurs formes variéez, anneaux de fiancailles offrant le symbole d'une éternelle jeunesse d’amour, orgies de colliers graciles, de lourdes chaines massives, des Cas- cades étincelantes d’or, de rubis, d’é- meraudes, tout cela fait un coin de paradis de la maison A de Mattéis & C° qui est située aujourd’hui 4 J’Ancien Hotel Central restauré et embelli. — Ges italiens ont garié la nostalgie de toutes les fantaisies d’art admi- rées jadis chez eux et ajoutant a tou- tes ces frivolités attrayantes, les ob- ie, ils ont chez eux un assortiment d’une grande richesse, pour tous les goats et pour toutes les bourses. ee Changement d’Adresse nés ont Vhonaeur d’avi- c et leurs clients quwils ransférer l’atelier d’é- ROGRES » du numé- la méme rue, Les sousig viennent de ¢t bénisteri», « LE P o 116, au Ne 132 de » ancienne miison A. DE MATTEIS &C ison informe aussi qu'elle a bessin de bons ouvriers ébénistes Port-au-Prioce, 30 Juin 1908. MARTINO & FERRARI __Priére d’aviser l’'administras imdela moindre irieyularité 1-ns le service ducMATIN ne qu'il y soit ELS ae NE + eee omen + = mee =~ Ss OE eee Ee Eee Chapeaux ! Chipeanx!! Chapearx lilt PaILlLeé OB PCRTO-8) CO ACCOUREZ CHEZ JOSE SAN MILLAN Le coiffeur artiste, qui vient avec le: concours d'un chapelier remarquable, ' Jaume TESTAR, d’installer une FABRIQUE DE CHAPEAUX PLACE GEFFRARD Salon de Coiffure du Louvre Pour tous les gofics et pour toutes ae Doarses. — Cie des Pompiers Libres Cours d'’instruction Liste des pompiers qui doivent se pré-: senter a la Station Centrale durant la semaine du 27 au 3 Juillet Pétion Roy, consller.— (Georges Laroche, Justin Bernard. Lahens La- ‘roche, Benoit Michand, Mourlon Hyp-: polite, Adam Loisean, Flie Fi's-Aimé, Armand fils. Gadet Lafond, Em. Sal- gado, Christian Myrtil, Etienne Dorvil, , éon Fontaine, Ls. S. Salomon, Ed- gard Daguerre, Clément Thrazibule, Léonce Cyrille, Francois St Sumé Duval Duvailier, Nestor Michel, Pau léus Paul, Chs. Innocent, Félix Etien- ne, pompiers. . Port au-Prince, 25 Juill-t 1908, Le Commandant, Louis ETHEART MAGASINS ? da guite rameé- On trouvera LE MATIN a l'Hdétel-Bellevue aD : Avis | Une propriété sise Rue de la Réu- nion, attenante a celle de feu Félix Salnpave No 4140 est mise en vente a (un prix modéré. S’adresser au No. 148 Grand’Rae. Port-au-Prince, le juillet 1908. ——SEES Vin de Bordeaux . Le vinde Ia maison Boubée fréres de Bordeaux se vend chez MrApp. CIPOLIN, 15%, Grand-rue ‘en face de ta Compagnie Générale Transatlantique. ee ee eee —_———-----——— Photographie . Artistique J. M. DUPLESSY 1420, Rue du Centre, 120. | (Enteela Pharoicie Bayard et PHO- _tel Communal). ' (TRaAVAUX DE TOUTES SORTES SUR ‘$OLIO EC PLATINO. ) Cartes trés arlistiques, nouvellement /reques. -AGRANDISSEMENTS, REPRODUCTIONS. 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