Deuxiéme Année, No 387. PORT-AU-PRINCE ( Haiti ) Jeudi, 16 Juillet 1908 5 Me taene dnc Aa cS “a AE. AR A ADEA CD Le Matin ABONNEMENTS : PURT-AU-PRINCE) -Un Mos. DEPARTEMENTS) Trois Mois. ETRANGER Trois Mots. ' Pour tout ce qui concerne lAdwninistration du Jourzal. DImECTEUR: Clément Magloire, La ligne de navigation Haitienn ET LA PRODUCTION NATIONALE QUOTIDIEN | REDACTION-ADMINISTRATION | 45, RUE ROUX, 45. = ————— ee ee ee S’adzresser aA TAons nr Ar’ 2. SR eee Ee 2 1 e LE NUMERO { () GENTIMES or = Les abonnuiments partent du rt et du rg de chaque mois et sont payables d’avance Les manthscrits insérés ou non ne seront pas rendus . bg . ze k. ou Bonece-Fo:. ] TERE S. 2S. A . . . . :aee ve dit M. Demolins, comporte !a présen- condition ou acréer en eux les apti- ce du patron, ce dernier devient vé- tudes nécessaires pour les rendre Ji- ritablement responsab'e d+ la situa. bres de lcurs personnes, ont été a tion heureuse, ou malheureuse, des un moment donné portés 4 interrom- classes inférieures, paiszqu2 ces der- pre Vexercice de ce patronage pour niers dépenident directement ou in- « rentrer » en France, en confiant directement de lui pour leur existen- auX intendants que nous avons déja entiere » Cette sentence at- dit le soin de diriger leur exploitation. Iv ce tout u teint d’aulant plus directement les pa-: Or, les pires patrons ont encore été Vai expligué dans mon = précédent} ces résultats se fit it sentir dans 1-;trons de la période coloniale que le Ces intendants qui, moins intéressés rendement du sol, tant au point de} mode d’engagement auttravail, qui &- 4 ménager les forces des esclaves et atie comment te changement dd butet d’objet dans Ja culture de notre sl accontribué a diminuer son ren- dment, et A coté d-cette premi¢re fon explicative de notre déclin tgkcole, j'ai annoncé une seconde tason, dont j'entreprends aujour- Choi d’entretenir le lecteur. Je formule comme suit cette secon- de cause de notre décadence agricove: le défaut de patronaye. Quand j’aurai dit en quoi consiste ce défaut de pa- tronage et cominent il expliqas la rui- be du travail avricole haitien, les re- lations du sujet nous améneront & j-- ferun coup-d'ieil sur les conséquen- ces da ce méme défaut do patronize dans la vie privée et dansla vie publique is nos campagnes, et dans cette tite excursion, on me passera l'am. tion de faire toucher du dvigt au lecteur le siege précis de notre mal social. Eo méms temps que le colon fran- (als apportait, comma éléments d+ suc- 8 dans son entreprise agricole, le Mimulant du désir de la richess.2 et Texploitation des denrées commer- €8, c’est-a-dire des denrées lui per- Mottant le plus rapidement de réali- ce désir, il apportait aussi sa pro- Personne a la direction et au con- tear 12,800 entregrise,— ca qui, dans ce qae l'homme entreprend, Weréeente 1a premiere condition du eacces. Uc habit tion » du colon était pla- hea: j saplus directe administra- dtaed avait sa résidence ; le foyer ben 8’'y trouvaient confondus ; Nees aisait sous son inspiration et vons im med tion était nécessaire 4 une per contrePrise qui comptesit pa: fois taine le nombre des bras em- et des animaux, et par millions denial engagé dans |’exploitation. ‘Neale 2 ne doit étonner dans les a Obtenus, etie premier de aginer combien cette vue de la quanxtité que de la qualité tait représenté par l'esciavage, faisvit, des animaux, eacédaient les uns et plus que tout autre, dépendre d’eux les autres dans unique but de faire des produits. C’est que le travail agri- . f ; : cole était pstronné directement par Ie|les ouvriers -y c’est-a-dire les ‘escla- davantage « payer» Il’entreprise et chef de leatreprise et jl apportait| ves— « pour leur existence tout entié-,|d'augmenter, par conséquent, leur irevenu a eux. dans Ce paironag? toute son expérien- ce et toute son intelligence. Voila, au point de vae du travail. les causes qui doivent servi~ 4 expli- quer la prospérité économique de li colonie francaise de Saint-D »mingu >. Sous cette « facade bril'ante » s° dissimulait malhsureusement un é li- fice social bati sur dy sable et je vais essayer en deux mois de déterminer les vices de cette construction. Tout d’abord, le patronage du colon se limitait au travail, eten s‘appli- quant au travail, il ne sexercait que: vue du seul rendement de la produc tion, sans penser & organiser Conve nablement les conditions méme de ce travail. Nous savons comment, 4 l’époyue actuelle, l’antagonisme social joue 4 la fois le réle de cause et d’effet dan. la brdlante question ouvilere : ces la situation respective des classe-. leur hostilité réciproque qui explique les crises ouvriéres ; celles ci, do leur cété, aggravent de plusen plus et perpétuent cet an‘agoaisme. cette co si lération comment la « re » est de solution sociale et non, économique. La révolution Domingue et I'Indépe ne quiena été l'issu des esciaves de S iiat- usstion ouvriére: c'est un souléveme ndance haitien- en. e sont autant tution que nous savons. re », littéralement pariant. Je n’hésite donc pas un scul instant; Comment, aprés cela, rendre res- a fixer sur la téte des,co'ons eux-mé- Pponsable de l’explosion qui 8’est pro- ines la responsabilité des événgments duite la classe inférieure maintenne dont ils ont 4:4 les premicéres victi- dans ses habitu-Jes de vies originets m s, car leur faute principale a été de accrues «ailleurs par la corruption n’excercer leurs devoirs de patrorage meéme de la classe supérieure ? que dans Ja mesure stricte des inté- = M_> Prosper Prieur a bien raison de réts de leur exp'oitation et de ne pas penser que le plus grave défant du ‘les avoir excreés en ce qui conc rae mode dengagement au travail consti- la vie privés de laclasse inférieure. — tué parl’esclavage, consiste en ce que, Nous avon; vu dernicrement. dans parle maintien dans lta condition in- une autre série d'études, comment férieure de la classe ouvriére, il ne 'élémant particulariste, émigtant de forme yguére de capabies et empéche ‘la Plaine saxonne et aboutissant en par conséquent la cla-se supérieure Rien ne 80 § OFpleiler- pQus 608 G- » apres Fanage oa Co i peut mieux démontrer que n- ‘avoir créé en lui les aptitudes Sodcias ude. our fa ie alx ouvrié- | tes ; p‘as tard encora, il éleva le serf vons dire que si Gaule -ous la représantation du Frane,' de se renouveler, lorsque celle-ci est est devenu chef de domiine; et co»m- ‘atfeiute par fa corruption. ‘ment sa principale préoccupation: Nous expliquons donc la_ prospéri- s'est portée sur la con hlion sociale da. té économique de la période colo- ses engagés dans le travail agricole. niale par: 1° le but et objet de l’ex- Le chef de domaine franc a commen- ploitation agri.:ole; 2° par le patrona- cé par modifier l'esclavazs romain ge du colon s’exeryant principalement trouvé enGaule en améliorant la con- | sur les résultats du travail. dition méme de l’esclave ; ceci fait, il! Nous sommes en méme temps ame- transforma plus tard I’esciave en serf:nés a expliquer fa grande crise sociale en lai donnant un coin da du domai-'d’l y acent ans par l’absence de pa- pe que, nous de- @ patronage da co- ala condi ion detenancier libre, et lon frangais n’a*pu s’exercer comple- c’est grace 4 ces étapes successives tement, c'est grace au systéme de co- !que ta féodalité territoriale a pu avoir lonisation ad nisisira ive propre A la i en France cette robustesse de consti-' race francaise et qui a créé eutre les ‘planteurs et les gouverneurs cea ti- A Saint-Domingue, rien de pareil: | raitlements et ces agitations gui n’ont o: ® i e d'incidents duns cena’ dnt aign la condition de la classe inféri-ure pas peu cottribué & conduire 4 lin- Sur qui reste la méme et lesclave, comme !a: dépendance !a classe inférieure: dans i ‘rons. des ateliers contreles pa lité de catte béte de soinme, doit produire cons-!ces luttes de domination entre les co- doit tomber la respoasabi grove supréme dans laquelle vriers, en détruisant les a n’ont pas méme Iaissé aux patron ressource de fermer eux-mémes dablissem mts 7 « Das gue la constitution sociale, | les ou- | tamment, pour hater le moment oa le, loans et lesagents do la métropole, elle teliers, | chef du domaine doit «se retirer »'a été assez avisée pour jouer le réle 3 la'et gagner les rivages métro litains. :da troisiéme larron. Ceux d’entre les patrons qui étaient! Cependant les travaux importants up peo disposée & méneger les forces! de ’époque coloniale, dont tes rui- de l"esclave et méme & amédiiorer leur’ nes peuvent encore se constater de nos jours, attestent que certains ser- vices publics, et particuligrement ceux de voirie, s’exécutaient avec sa- tisfaction par le soin des chefs de do- maine. ; Notre réle, dans tout ceci, doi! donc consister a reprendre I’«cuvre colonials au point «0 elle a été lais- s6e, de la continuer dans ce qu’eilez de bon dela rectifier dans les par- ties of elle a failli. Nous allons es: sayer de voir comment entreprendre cette besogne. oo eee Résolution Vu la catastrophe qui a frappé la ville de Port aa-Prince les d:manche ct lundi 5 et 6 Jusblet courant; Vu qu'il es: ind:spensable de secoarir, dans la mesure du possib’e, les victimes de cet ¢pouvantab'e incendie ; Le Corrs Lécisiatir Autorise le Pouvoir Exécu if 4 dis raire des 2 000 000 de gourdes, en billets de 5 dont I’émissiun esr votée pr la loidu 4 Mai 1908 la somme de jo .000 gourdes 4 répartir aux sinistrés de Port-au Prince, a titre de secours. Donné au Palais de la Chambre des Re- résentants, ce 8 Juillet 1908, an ro5e de "Indépendance. Le président de la Chambre, —G_ Dersrositrs Les secrétaires , J. B. Laurent, Ewict Marcerin. Donné a la Maison Nationale, 4 Purt- au-Prince, le 10 Juiliet 1908, an rose de V'Indépendance. Le président du Sénat, - S. Axcuer. Les secréta‘res, D. Trkopore, Diocive Leresours AU NOM DE LA REPUBLIQUE Le Président d Haisi ordonae que la présente Resolution du Corps Leéyislatit soit revétue du Sceaux de la Répub'ique, publide ct exécutde. Donné au Pa‘ais National, a Port au- Prince, le ot fuilet 198, an rose de Vlndépendance. NORD ALEXIS Par le Président : Le Secrétaire d’ Etat des Financ:s, F. Marce in. Le Secrétaive JE at de lIn'érieur. J. BV. Leconte. LGhuvre de a Paix en Amérique DISCOURS du Seerétaire d’Etat Reot. Monsieur le Président, Messieurs. Nous sommes ici pour la pose de la pre- micre pierre de l'Editice qui doit abriter le Bureau de Il’Union Internationale des Ré- publiques Américaines. - La libéralité du Congrés des Eiats- Unis a fourni les fonds nécessaires pour acqaérir cette portion de terrain, mesurant en tout cing acres, prés de la maison Blan- che et des Ministéres, entourds de tous cé- tés par des rues, regardanc 4 | Est et au Sud des parcs publics que les soins du geu- vernement rendront toujours plus beaux, réalisant ainsi d’employer le capital na:io- nal ala satisfaction de l’orgueil national, d’en faire la source du plaisir dont le riche et le pauvre jonissent également. L’amour da bien public et_l’enthousias- bonheu me pour le t de I’'Humanité, qui ont inspiré un citoyen américain, Mr An- drew Carnegie, dans I’ad ninis:ration de sa grands fortune, l’ont amené a consacrer Ia forte somme de trois quar:s de million de Dollars a la construction de cet Edifice L’Union Internationale pour laquelle il est érigé est une association volon‘aire don’ les membres sont toutes les nations améri- caines, du Cap Horn aux Grands Lacs. Son premicr objet est de briser les barriéres d‘ignorarce mutuelle entre lcs nations de l’Ameérique, en rassemblant 4 la portés de tons, et en répandan:t des informations sur chajue pays parmi ke» uple d’unautre pays a peu de causes, ‘le disputes ou de luttes qui ne puissent éire l'occasion de la guctre si les deux parties désirent réellement la guerre. Le sujet de la dispute entre les na- tions n’e:t rien, l'esprit dont ce sujet est considéré est tout. ; La courtoisie dis vingt Républiques qui ont accemé que lc capital des E:ats-Unis seul construise cet cdifice, la profonde ap préciation de cette courtoisie montrée pir le gonvernement Anérictin, Voeiwre a faire dans !cs murs qui doivent s‘¢é’evera cetre place, ne peuvent manquer d’exercer de puiss:n:es influences power la création de l’Union, en facili ant ct cn stimnlant les;dun esprit qui réso idea totes les ques- voyagis, le commerce, la bupne envente: et VPamrié. Daas ce bur, il a ésé établi 4 Washingion un office sous Ja Direc ton d’un Bureau compo.¢ des Représeniants a ; sf néra:ions 4 venir comm: | évidence visible Washington de touts les Républiques, tio s cn dispute de VAvenir, ct garantir la pa’x da monde occidental. Puisse la const-ection aujourd'hui com- mencde se deesser cn face de plusieurs gé- ayant un Directeur et un Seerétaire, avec, du respect, de lestims, de Pappréciation et nombre d’emptoyds ct de traducteurs. Le Burau a ¢.ub'i une librairie, qui s’est | rapidement dévcloppce, d'Histoire, de voyi-|des souvenirs agréables ges, de descriptions, de statisigque, de littérature des nations Amicricaines. I: pu- blie un bulie.ia mensuel sur les événe- ments publics d’ac:ualite, sur les condi- tions GU se trouvent toutes les nations du sentiment de bienveillance entre les peuples de touies les Répub!iques; puissent dhospitalité et d’amiti¢é entourer, et que toutes les Amé- riqgues en viennent A sentir que pour elle ici, c'est 'eur maison, car cette Maison est ‘eur maison commune, puisqu’elle est le produit d'un effort commun et l’instrument unies, et ce bulletin est répandu dans tous;d’en nob'e but porrsuivi ensembie. lcs Pays. Hl entretient une correspondance énorme avec tous Ics Pays des deux Conti- neats, répondant aux questions des cher- cheurs sur les lois, les coutumes les con- ditions et occasions des divers pays, et il est devenu un moyen d’introduc ion et un guide pour les affaires internationales. Ce Bureau dirigeant est aussi un comité permanent chargé du soin de viller A ce que les résolutio:s de chique conférence Pan-Amcericaine soicnt exécurécs et que les préparations convenab'es so’ent faics pour assurer la prochaine Confeércnee. Pour les Sinistrés La commission nommée par le Con- ;s2il communa: poor la répartition do secours spécial aux sinistrés les plus nécessiteux des 5 et G6 juillet courant, s'est réunie, hier 4 'Hotel communal. Ktlea décidé qu2 les personnes qui ha- bitaient les quactiers du’ Fort Satnr- Beaucoup de nobtes et beaux éd fices! CLara, de larue St-Faustix (d’IEau Ca- tiennent le record dela perfection et té- moignent de la civilisa‘ion moderne. Les Temples de la Retigion, dn Partriotisme. de iE iseigneinen:, de VArt, de la Justice, abondent ; mais cet cédifize est A pare, il est Ie premier de son cspece : un temp'e déd:é 2Vamitis internrvioaale. Iiserac onsa- | cré 3 la ditfasion de ce.te connaissince in-' ternationa‘e qui aby'it le préjudice natio- | r3co) dela rae du Macasin_or L’Etat, dela Cour FourMt, etc. ete... peuvent 86 fairs ins mre, a partir d’avjoar- Whui, chez: hasan des membres sui- vants : Monseigcseur Bauger ( Presby ére St-Anne) ; Madame Julien Dousseck, (Rae da Centre, No. 158, 5 Medame Mich lt Oreste, (Rue Pavee, No. 105 3) nal ct libere te jug:ment des naions. Ici, Monsieur AL Jackson, (Rue de la Ré-| c1oitra cette sympathie née ds la simiitude des heurcusz:s impulsions ot des nobles desseins, qui conduit les ho nmes dz races et de pays différents A faire ure commu- volwionw, No 195.; Jh 'sieur Thémistozle J sseph Camil ,de la Révotution, No. ) Mon-ieur Polynice Jiuvier (Grand'Ru» No. ;) Mon e, (Rue ce criminelles Aujourd hui passe l'affaire de Heng len prévenu de meurt cart Al de Frédéric Dapay. re Sor la peraoeng "accusé est défendu ‘sp; dicourt et Francois Mathon Pierre He Tribunal de Cassation Section Crivixeee Audience du vs juillet 1908 Le Tribunal prend sicge 4 dix heares demie dua matin, sous la présidence de Ik le Vice-président Ernest Bonho-nme a nonce l’ariét qui rejette le pourvo} par le colonel Sai -t-Fore B-ifore contre le jngement rendu par le ‘lribunal cortectiga. nel des Cayes en date du 20 Mai ; entre lui e:Saine Victor Blane Dellores Plus rien le siége est levé Projets de loi Nous devons signaler Jes importants projets de loi suivants qui ont éé d s4s_vendredi dernier sur les bureaux & ‘a Chambre des Députés : — Loi rapporiant celle qui prohibe I's portation du bétail ; Loi créant une direction génénk des douanes ; — Loi rapporiant celles de 1876 et 190 sur la régie des impositions direc'es ; — Loi sur I’assistance publique eh police sanitaire. Chambre des Députés A la séance d’hier le secrétaire d'Etat de VIntérieur a fait le dépét d'un projet de loi établissant Ia télégraphie sans fil entre les différen-es villes de la République. Bonne Récompense Notre collaborateur Constantin Mayas a perdu au cours da dernier incendie ente autres choses, un lot de livres qui, soppe se-vil, a pu étre sauvé. Parmi ces livres ® trouve une collection des ceuvres de Bysss, de Laboulaye, de Herb2rt Spencer,de Got the, de Tocqueville, de Jean Finot. Le Matin promet une bonne récomper se 4 qui fera retrouver tout ou une part de ces livres. s ea Ila été dgaré une ca'sse contenant de livres dont trois gros Dictionnaires Litné ct un registre noir marqué sur la couvertt re: « Distribution des Travaux»? Il sera accordé une trés généreuse compense a qui rapportcra ce cahier as pau, ct contrarie la tendance des ins-; Prenant en coasidération la situa- lincts €goistes qui poussent les nations'tion particulidre d:s sinistrés aux- atmeées ct ennemies les unes contre les que!s s’adresce le secours commun, Départ autres. ‘la commission fera une premiere ré- ; burcaux du Matin. Hier est parti le steamer Prins Eistel Fre De ceite source cou'crs Vassistance ma | partition de Dewec Mille Gour les, lun- | derick avec les _passagers wv eoabe a3 tuelle entre toatesles Répub iqués Améri- di, 20 juillet courant, a partir de huit| J4 émie: Gu tave Clérié. B. Car Vor caines, de telle , sorte que la meilleure heures du matin, 4 Hotel communal. | enfants. G Weiner, H Jerone, Simsoe. connaissance, et l’expérience et le courage, | == ====5 sso neces et 2 enfants, E. Lestage, Ernest Ch. Cr et l'espérance de chaque république pré-| ¢ 1 : M. Lacroix, R. Lacroix; F Bona Salts, tera une puissante assistance morale | TRS iD JRR yemitte, A. Bong; P. Bony Goilbaed, pour soutenir et forvif i chaque autre. ‘ a 5. pears ous Th "Prin WW M ans sa lutte pour résoudre les problémes | — . Pierre-Louis, rin, WwW. de zon gxistenc:, pour améliorer la liberté| “t 2MSUIGH EM ENTS mitte Paul Emile fils, F ari » Par ia Justice ; et de cette ma- VETTE { r . MSON Sn i nigre aucun des Peuples de ce continent, a TROR PLOGTQUES | mee Beans Mile Hsstiog- méme opprimé, méme découragé, méme <> - anto-Maria : Jose kena. appauvri par le désordre, ne manquera de | beervatoire Boane Résompense Est promise a qui fera retrourer #8 S sentir qu'il n’est pis seul dans le monde, quet de papiers contenant divers ¢ ne manquera pas de voir l’aube prochaine |tamment : des états de cheqit oe a d’un jour meilleur, en voyant que déja le! ~—— soleil s’est levé sur les autres. | Mercredi 15 JUILLET 762, 2*/*| vince, pour le Département © 23-9 | Publique et des états de feuilles de ais Ce serait trop souhaiter que d’espérer 32:ormét ec a midi quiil ne s'élévera pas de controverses entre | minimum t oes les Nations américaines qui ont cz désir: Temap4srature}maximam 33-1 | de la Compagnie d'Instraction ats ot d’harmonie dont nous sommes ici un té-'! . ‘moyenne diurne 27 6 da Centenaire, perdus pendant moignage; mais pour chaque controverse,| Le ciel trés nuageux le mucin a dé cou- ' dy 5 Juillet courant. | sera mise en évidence cette vérité qu’il vert toute l’aprés midi. S'ad au Dé ement de | Teen n’y a pas de controverses nationalee si sé-; Vent d'est assez fort 45 h. du soir. Un i on publique et aa Ne 65. ree See Hand Port-au-Prince, le " Juiliet Sar bU -EMIMAIRE COLLESE St-MAKTIAL cifiquemecat si les deux parties désirent ré- ford et 4 l’ouest dans la soirée. tieuses qurelles ne puissent etre réglées pa- peu de pluie 4 6h. : 0,1"/". Eclairs aa | ‘st ellement un réglement pacifique et qu'il y _R. BALTENWECK Sane J fouvelles Etrangeres Derniéres Dépéches Taxcer 14.— Des nouvelles de Fez con frment te rapport publié récemment an sajet_ des préparatifs d: départs de Movlai HG, mats ne donnent ps la date de ce dart, car la région voisine de la capita'e da Maroc est hostile au prétendant. On déclare qu’aussitdt aprés le départ de.Moulai Hafid, Fez proc'amera de nou- eeu Abd El-Aziz, comme saltan, car les bibitants de cette vil:e sont tres = écon- tenis de Wattirude du prétendant. . Les tribus du voisinage Nout pas oub.iié ve Moulai Hafid aurait arrdcé le frére du néral Bagdani. oO. ee cgalement que de nom- breux soldats du prétendant désertent cha- ue jour et s'enfuient dans la direction. de bat. Loxpres 15.— M Gry, secrétaire des Afaites Ewangéres a annoncé aujourd’hai ila Chambre des communes que Clark Rermedy, le journaliste anglais capturé il yaun mois par les brigands maruocains avait fini par s’entendre avec ces derniers au sujet ae sa rangon et qu'il sera remis en liberté prochainement. Berux 15. -- L’affaire du priace d’Elen- bourg poursuivi pour parjure, 4 la suive des scundales de l’année derniére 4 la cour de Berlin aété de nouveao remise en r.i- “a de ldtat de faib’: sse physique et men- e l’accusé. Lonpres 15.— Les américains ont rem- poré zujourd hui deux grands succés aux pax olimpiqaues. Melin W. Lheppin a ga- ge lacoarse finale des 1509 métres en 4 winsics 3 gecondes a/5 bavtant les anglais et onos, l’autre le jeu da mar- tema été gagné par John J. Flanagon, le palicemin Newyorkais qui, a cette occa- sion, 2 battu tous les records du monde. Ia lancé son marteau A 170 pieds 4 pou- ces 1/2 de distances, le cortcours du match até gagné par l'ang'ais Webb qui a par- soura les 3500 metres en ry minutes 55 con Jes. La course dz bicycle:tes d: 20 kita né- Wesadté gagnée par King-burry en 34) Minutes 13 second:s 2/5 L’anglais John) cuit s:cond et le be!ge Werbrouck s’‘e:t, ssé ze. Wasi neton ry. - Au département dé | la marine on a recu des nouvelles imon-, rant que Wescadre des cuirassés amévi- fins qui fait actuellement route vers! lExiréme Orient se comporte d'une fa Comte reeciers de marine considérent rquable. 15.— Les cuirassés angla's cpdendeale ®, « Exmouth », «Russell, nan vet le croiseur ¢€ Arrogant » ri artivés 4 Québec o& ils prendront part tas €S Ga tri-centenaire,le croiseur « Vé- ste €st Sassi attendu, les navires fran- ;¥S Ont quitté Sydney ( Cap-Breton ) ce Satin venamt a . de Gilles et sa i 15. — Le prince “Site Ont P ° Ne cairassd” ortsmouth.ce matin sur Wr aux Caos de ea btable » venant assis- C. gli icin (Porto-Rico J.— La fa:e m1- a é&é particuliérement in- Pie Se sande, oe lake ; Nadas dane ult Horns Lee Grads aca de la guerre offtit i nom Z ° le courant de la s'écait arrivé nistre : membres da’‘goavernement, des Prési tents ' sles Chambres, des membres du Cui:sci: : supérieur de la goerre des Officiers géné- | raux et des chefs de Corps da gouverne- | ment de Paris. Le Président de fa République acco:npa- gud de Mme et de Melle Falliéres et de tous les membres du gouvernement de Paris : gsist¢rent a la revue sar l’hippod:c- me_de Longchamps, 4 issue de la revue le Pré ident de la République adressa au minist-e deli guerre un télégramme de (élicitations sur la belle tenue des troupes. La Fére Nationale a été célébrée par- tout avec un enthousiasme. Ce matin le Conseil des minisires s'est réuni 4 I'Elysée sous la présidence de M. Falliéres. Le Conseil s’occupa spécialement des diverses questions gu’il y avait 4 régler avant le départ du Président pour les Pays Scandinaves. M. Pichon accompignant M. Fallicres interim des Attiires Etrangéres sera fait par M. Clémenceau. Le Président de la République accompa gné de M. Lanes arendu aujourd’hui une visite que le Président du Sénat Ini fit le soir de la c!d:urs de la session parlemen- taire. L’ex-enseizne de vaisseau Uilmo est ar- rivé ce matin 4 Vile de Ré. Il partira ven- drcdi pour la Guyane. Le Journal Officiel ‘du rg public les déccrations et les pro- motions dans la Lég'on d’Honneur des ministres des Affaires Etrangéres de la lustice et des Cultes, des Finances, du Ccmmerce, de la Marine et des Travaux publics. I! publiera vendredi celle du mi- nistére de | Instruction publique. L'Insp>cteur en chefde la Police Adminis'rative de la Capitale annonce aux médecins et aux particuliers qu'il détient ea sas bureaux quelqu:s vo- lumes de médecine et d’autres ouvra- ges anglais déposés en ses bureaux lors des derniers incendies. Les propriclaires sont pris de venir tes réclamer contre recu. ee eee 8 es eee eee oe - : Bs Se ee Lesteume: «Prins Wi lemiIIf + venant da Sud es! atlondad t ven fre- obmeia bi '7 cooriut, coo inners immeéstiatemeat pour St Mare ct sera de vr. tourici samedi pour repattiv dans la soirée duo Dimauche matin pout New-York Purt-au-Prince, le 16 juillt 1908. GERLACH & C°, — dyents. ee eer ee - on Chapeaux ! Chapeaux !! Chapeaux ! ! " j aiLLE DE PORTO-RICO ACCOUREZ CHEZ JOSE SAN MILLA Le coiffeur artiste, qui vieat avew le cours d'un chapelier remarquab!», M Jaen TESTAR, d'installer one FABRIQUE DE CHAPEAUX PLACE GEFFRARD Salon de Coiffure du Louvre Poor tous lés gotcs et pour toutes mer en l’hoaneer des | les bourses. Toutes le- élégances rare= discié- tes, bruyantes, des parfums :’un char- me subtil et dicat,- Son Sou- rire, Floramye, Vivitz, des bijoux on sen r,ziatlit: la pierre Sclatan’s et hautaine. de mi- vuscules objets Mant of sacrit la gras Ce tiiste des perles, des buucivs d’o- reilles qui s’étonnent de leurs formes vatise:, spneaux de fiancailles offrant lesynbole d’une éternelle jeunesse d’amour, orgies de colliers yraciles, de lourdes chalzes massives, des cus- cades étincelautes d’or, de rubis, d’c- meraudes, tout cela fait un coin de paradis de la maissn A de Mattéis & Ce qui est située aujourd’hui a VAncien Hdtel Central restauré e' embelli. 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