Deuxieme Année, No 360. “ABONNEMENTS : PORT-AU-PRINCE) Un Mors. . .G. 1. 3.60 « DEPARTEMENTS| Trois Mots. . 6. Trois Mois. . « {TRANGER........ Pour tout ce qui concerne :’Adminiustration du Jcurna!?. burquol notre Gampagne angio-saxonne’ LA FORME SOCIALE ORIGINAIRE IV pasteurs. L’organisation communan- taire imposée par la pratique de Ici, je sollicite toute l'attention du lecteur, non pas tant 4 cause de l’a- Wdité du sujet que de son intérét ca- pal: il sagit, nous le savons, de dé- lerminer les circonstances diverses, 0 moins les principales d’entre-elles, i ont fractionné Phuamanité en so- trouve plus. importante, is! science sociale demandé si la diversité des organisa- Ya-telle frappée de décadence died moitié ? Ou bien était- ¢ comMunavtaire et est-elle en hun d'évoluer avec le temps vers la TMation particulariste ? our résoudre cette question préa- ¢, la science sociale A eu recours “précieuse méthode habituelle, | jbien, ne pouvait étre acceptée qu’au- tant quail) serait possible; 1° d'établir que les familles pastorales de Il’Asie centrale ont pu, de 1a, rayonner sur toute la surface du globe ; 2° que les peuvent s’expliquer par les conditions d’existence la nature des lieux d’éinigration. Cette double démonstration a été Victorieusement faite par la science sociale dans une sériefde publications savantes dont ’énumération seule se- rait trop longue ici : je me bornerai a signaler les deux principaux recueils de cette démonstration, qui sont: l Histoire de la formation particularis- te, d’Henry de Tourville, et Comment la route crée le type social, d’Eimond Demolins. Nous sommes ainsi autorisés 4 con- ervation directe at voici ‘el- lui a révélé, me ETS a familles pastorales de l’Asie Paes représenteut, nous l’avons aig ots Pur échantillon de la forme mMunautaire, et ce spéci- wre décidément inaltérable puis- Maig eenisation sociale qu’il repré- now ore telle que les livres 8 l’ont décrite a propos M pastenrs de la Mésopotamie. ee pasteurs, en émigrant de tee Origine, ont été, en di- én priges, rencontrés par I’his- Oluant vers d’autres formes Z F, comme ayant été a l’origine celie de l’humanité, et rien que cela nous fait voir que cette forme sociale est celle du passé et non celle de |’avenir. Ceux de mes lecteurs qui vou- draient un ‘peu faire connaissance avec la forme des sociétés familiales qui évoluent sur les plateaux élevés af > la transformation du _ pas- ¥ eur en chasseur ou en Whtion ’,. tem Que cette derniére he 8 accomplisse que sous *0n d’une contrainte,— est un rm historique courant expliqué par =, OOCOur i d P Mbles, 8 de Circonstances favo- pat l’évolution contraire n’a dans c observée : il n’a jamais Vhistorien de constater ation, ar e ’ chasseate xemple, d’une dre un compte exact de l’immobilité froide qui caractérise (cette forme de communauté patriarcale que, en Alle- magne et en France, une école de 80- en société de e Mall QUOTIDIEN DIRECTEUR: S’adresser a Monsieur Arthur ISIDORE, 45, Rae Roax on Bonne-Foi. lart pastoral, une fois d4truite, ne se re-- Ghés communautaires et en sociétés|tions sociales ne pouvait pas étre le | perticularistes. a résulfat dune série de moditivcations Tout d'abord ane question intéres- imprimées par les circonstanves au Mole se pose: qu'¢tuit-elle ou que de-/type social du pasteur asiatiqgue ac- hate étre a Vorigine ? Etait-elle | cepté comme primitif ariste et la succession des si¢- Gette hypothése, vous le sentons dépressions subies parletype primiutif nouvelles imposées 'par sidérer la formation communautaire : du centre de l’Asie, pourraient se ren-. du Sjuin cette pensée radicalement fausse PORT-AU-PRINCE ( Haitt ) Clément Magloire, REDACTION-ADMINISTRATION 45, RUE ROUX, 45. eialistes propose aux populations -comme modele. La suit? de notre exposé fera voir ,a lunde mes intelligents contradic- iteurs de nayuere, comment le mouve- i;tnent soctaliste va foncierement a rencontre du développement particu-, lariste des peuples et combien j'avais, ;partant, raison de soutenir contre lui ‘que lavenir du socialisme ne se trou- ve pas dans les sociétés anglo-saxon - nes (1) Je vais succinctement montrer ‘comment les soci4tés pastorales du En possession de cette constiution Ptateau Centeal Asiatique se sont re- Ss est. pandues en Europe. | Je promets d’étre bref et de n’insis- fer un peu que dans les to“rnants de histoire oti 'évolution particularisze s’est accomplie. CRITIQUE! 2... Jetiens ard, | pestivede Mor - naud contre , dans le teur »® de vondcedi dernier, apropos de la Creéetesd- Pierrot. I] parait que c’est une outrecuidan- ce inoue de ta part d'un auteur de combattre Jes appréciations qu'un critique plus Ou moins autorisé a cru devoir donner sur son w:uvre. L’au- teur qui se rebiffe est un mal appris, la critique est sacrée et c’est au pu- blic qu'il appartient de juger ! Mais une grande partie de ceux qui lisent les journaux n’ont pas vu la piéce : ils ne peuvent donc la juger que sur la foi du critique, et si le cri- ‘tique est de mauvaise foi... Le droit, pour l’auteur, de répondre est naturel, ce n’est que le droit de ‘la légitime défense. Je ne comprends pas comment I’i- dée peut venir 4 quelqu’un de le con- tester ! Combien de fois la Presse Francai- se n’a-t-elle pas retenti des polémi- (1) Cet article était déja redige lorsqu’il m’‘a été donné de lire dans le PaciricaTeun pnd a libérer li’ndi- que ¢« le socialisme te vidu ! » : LE NUMERO 10) CENTIMES .2 ala sortie intem- (Franygois Burr Ray: ' « Pacifica- , Jeudi, 11 Juin 1908 ————— Les abonnerrents partent du 1° et da rs de chaque mois et sont payables d’avance Les manuscrita insérée ov nom ne seront pas rendus | ques violentes et prolongées entre au- ‘eurs et critiques ? N’a-t-on pas lu les polémiques en- tre Sarcey et Mirbeau, ou Rostand, ‘ou Zola? Ne sait-on pas comment ‘Flaubert se défendit, et avee quel ,succes, au sujet de Salamimbo! Tout récemment encore, M. Henri Lasserre n’entreprenait-il pas Faguet au sujet d’une critique parue dans les Annales? 11 me semble que !’on veuille igno- rer ces choses pour trouver étrange ;et mal venue toute tentative d’un au- ‘teur de faire entendre sa cloche apré-s icelle du critique ! Cependant, je ne croirais pas néces- saire d’exercer mon droit de réponse et je ne voudrais rien dire A Monsieur Francois Burr Raynaud, s’tl s’était ren- fermé daus les limites de la critique lit- téraire ; mais je considére qu’il s'est ifait le porte-parole d’une clique de -méchants et d’envieux qui disent tout ‘bas ce que lui, plus osé, a dit tout haut. C’est, par dessus lui, 4 toute la .clique de mes ennemis que je veux parler. f ? s | Monsieur Francois Burr Raynaud est un jeune pocte d’un talent assez ;remarquable. I! était encore au I.ycre ;ou venait d’en sortir, que je notais ‘avec plaisir des vers de lui qui pro- 'Mettaient quelque chose. | Mais voila que Monsieur Francois ‘Burr Raynaud s’est avisé de se faire ‘critique. Je crors que c’est une perte | pour le pays, si vite il ne lache cette ‘plume empoisonnée pour reprendre la lyre... ' C’est un métier désséchant que ce- ; lui de disséquer les ceuvres d’autrui ; c’est bon pour ceux qui ont plus d’érudition que de feu sacré, et c’est Lamartine, je crois, qui, renoncant a la critique, s’écriait : « Quiconque a des ailes n’a pas ‘besoin d’avoir des griffes ! » rofonde a la Je livre cette parole rancois Burr méditation de Monsieur Raynaud ! ® es Je n‘ai pas & me plaindre de sa cri- tique; il aime beaucoup certains pas- sages de la « Créte-a-Pierrot », s’il en déteste certains autres; il fait volon- tiers en critique ce qu'il me reproche injustement faire comme homme pal | sitis | me | politique: i! retire June main ce donne de l'autre ; mais enfin, 1° content de ce quil veut bien laisser. Et puis, cois Burr Raynaud, est injuste envers mi, par exces de Jounesse, vue des réegles de la |: est encore acellesque dh et cela explique qual farse son petit professenr. Son Opuditien est courte, eat ce nest pas aloraie je pelournes rai le reproche qual {ait corn ohyof de musique d’etre trop savant. Au point de vue poutiqae, Mi bran- coins Bure Raynaud, crest surprenaut, est encore plus jeune ! Lest tres beau d’étre un chevalicr de I'Idéal, et de se réveler au bon pu- blic, portant un? ariaeare immaculee, brandissant fitrement une epee étin- celante pour la defense de ta cause sacrée de la Liberte! Mr Francois Barr Teyoaud s'est iaissé sdtuire par son in ination et s'est aviséde jouer ce personnage. Une fois ainsi ari’, oboe tallait qu’ une Occasion por que te jeune hieh on | se révelet, ete est amor ere re pris pour son precited eoliitnak Vents. | Li paarait qiie setod le proeeede ral | heareusement em cours, ton jeune | | | je considere que Mr Fran- meme: qeacek il peeche surtout Aa point de ros i, i oen tat Bovlear, eT docteur ao ti entre tes lipase g bien discours prononee aun Cares ut produit) dans lee Matin o, clest saps | doute ce discours quak appelle un long et retentissant artiele, daus le- quel paurais déclare que sont des turbulests, quis ne pas dignes de fa fib yet, Et Mr Frangoas barr sont Rawnaud dit que parla, aje réepudie en uel pue sorte Vuouvie des aieux! 0 Loaceusation ne laisse pas detre grave, mais elle est encore plus Pris- quée. Vai rely mon discours, et oe nal Woint trouve que jaie dit cela... Mr Francois Bare Raynand tombe, hut aussi, apres tant dautres, avec tant d'autres, dans Verreur qui consiste a eonfondre la liberté avec les lnbertés publiques; et voila bien la tendance a malentendredont parlait hier Le Mafia, Jai dit dans er discoirs, et aussi dans un artiele para dans ce porrnad, que nous ne sommes pas latins pour lexercice des lLibertes publique. uu, jo Vai dit, et je le Lopete, parce die cest Ma Convichoun pet sonnellie bate sée sur lobservation dss fats WVits- toire. Quand Mr Frangois Bure Raye naud aura vecu quelques aeoness de plus, il se rendra ys ut-etre a cette conclusion, etevest aque e@ attends. Oui. jaidit celuvet pid sien’, de tied nom. Voici ma main droite, quou mle la coupe, comme di-xait Alphonse Daudet ! Jai eule courag? de le dire a fa barbe des Athéniens, cest-a-dire, en Vespece, ala barbe des purs idéalis tes et des danyereux réveurs qui se plaisent dans_ la contemplation des chiméres, et des utopies, et qui en- voient du pauvre monde mourir pour leurs erreurs, que dis je, pour leurs ambitions Je ne veux pas étrede ceux-la, ma eonscience me le défend, je dis les choses comme je les sens et comme je les vois. Je ne crois pas que cette sincérileé doive me faire vouer 4 lexécration des « honnétes gens ». CHARLES MORAVIA. ( La fin 4 demain ). } _ . . - les Haithens | de proniier choix, ef bn service PAILS DIVERS RENSEIGNEMENTS METEOROLOGIQUES CMbservatoire DU SEM®MIENALRE COLLEGE St- MARTIAL MER: RLDI FO JUN Varometre A midi 762, 37/™ mininum 21.9 Tan p6rature maximum 36.0 moyenne diurne 28.7 Ciel nuageux le matin, assez clair l’a- pres-midi. Couronne lunaire. Eclairs entre 7 h. to hh. du soir, Le baromeétre est stationnaire. R. BALTENWECK Dérart Lice cot parti le steamer + Alleghanyo les padbSagers suuvants pour: Poti Guise Mr DD. J. Rauttan, avee ontants. Mr EE. bortunat. Miragaine.— M.b. Montpeirous. Bar Fin-de-Siécl3 Le Bar Fin pe Steir vient de se rouvrir et AVES 4 ‘ous la direcction de Monsieur Nestor Da- tila. On trouvera dans cet ctablissement chic, complerement restaure, des consommations qui ne laisse rien a desirer. Secrétairerie d’Etat des Relations Extérieures La Lézation de Frange a intormeé ce Dé- pariement que, en vertu d'une décision du Gouvernement Frangats en date du 29 Avril, les Agents consulaires de France en) Haiti ne sare plus a Vavenir autorises 2° dganer asile aux rétugiés politiques haitrens. Avis vient de leur en étre donne par te- i’vramme de la Légation date du S juin courant. M. Jules Laville Notre excellent ami,l’industriel bien con- nu, Mr Jules Lawille, a rego derni¢rement. du gouvernement frangais, le brevret d’offi- | cier de VInstrnction Publique. M. Laville, agent consulaire de I rance, a Jérémie depuis 1594, conseiller du com- merece oexterieur) de da France en participa comme commissaire frangais 4 la nouvelle convention commerciale tranco- haiticnne. Crest a Voceasion de ces derniers servi- ces quiia resu cette marque de distine- tion de son youvernement. Nons lu présentons toutes tions. nos félicita- M. Emile Rouzier Les palmes académigues ont été, sur la demande de Mr de Bezaure, appuyée de M. Carteron, Ministre plénipotentiaire de France, accordées 1 M. Emile Rouzier, en récompense de ses nombreuses années de travail intelligent et de haute correction 4 la Légation frangaise. Compliments 4 notre ami. Société des Etudiants Séance des plus intéressantes, dimanche dernier a la Société des Etudiants. Le prochain voyage de Mr Luc Dorsain- ville, président de la Société oblige les membres 4 procéder 4 son remplacement. Sur sa recommandation, M. Paul Barjon, rer Secrétaire, fut appelé par_ses collegues a diriger la jeune société. Et M. Nérette St-Louis fut promu rer secrétaire, Mr Mau- 1906, ; ee a RS rice Lafleur remplaga ce dernier en qualité de 2e secrétaire. Aprés ces élections, le trésorier de la So cieté complimenta, au nom de ses col'é- gues, le nouveau Président, et remercla ancien pour le zele infatigable qu il a tou- jours apporte aux aitaires de la Socréte. Mr Luc Dorsainville en une courte ¢t belle allocution montra combien il était touché des compliments qu’on venait de luj adresser et fit de fraternels adieux 4 ses collegues de la Société. Alors le nouveau Président, en un lan- vape intime, remercia fa Société de son vote, nouvelle preuve de confiance et Wad- miration qu’on venait de lui iémoigner, et idressa au nom de la Société des adieux touchants et émus i son prédécesseur. Sur la demande de quelques membres un vote de haute estime fut accordé a Vancien President. Et pour lui témoigner de nouveau leur profonde sympathie, les membres de la société votérent une somime pour achat d’un souvenir qui lui sera of- tert a Ja veille de son depart. A SysTANT Secrétaire ‘ie d Etat des Finances tonds encals.és par le Au mayen des ‘ réglement de lat- Trésor et provenany’ du aire bk. Herrmann & Co. , dcfalcatiou faite des ro oo abioues 4 fa Commission de Li- quidation du Proces de Ja Consvlidation, le Directeur vendral de la Recette et dz la dépense a été autorise payer le deuxic- mie terme de Vindemnité accordée aux si- | nistres de Petit-Goive. t e » | Conformément aux instructions du Chet i du Déparrement des Finances, la Banque | ationale d Haiti a été invitée 3 écrire a Ison Sige social 4 Paris, pour la mise en | paiement du coupon de Juillet 1908 de i} Emprant de Fes. jo. 008 uv. Avis Commercial Monsieur Donato La Torraca devant par- tir prochainement pour l'Europe price ses ‘débiteurs de venir solder leurs comptes le plus tot possible. Port-au-Prince, le 11 Juin 1go8. Tribunal Civil Audience civilé du Mercredi 1908. Le Tribunal sous la picsidence du doyen ‘Léon Nau assisté du Substitut A. Thibault arendu les jugements suivants : | — Celui qui permet 4 la dame Thomas ‘Jardines de citer son époux. ( Divorce ). I i | { 1 t \ 10 juin i Celui gui permet au sieur Jean Frangois Lebrun Gaston de citer son epouse, th da- | me Marie Louise Isabelle Dulcinég Frédéri- que. -- Celui qui déclare que Pinganeau Im- ‘bert est b.en héritier de Jean Chrysos:0- me Imbert, habile 4 revendiquer le patri- moine de ce dernier, dit cependant qu'il n’a pas enticrement établi les droits de son auteur sur les terres de Comte, et l’admet 3 faire la preuve des droits de Jean Chry- sostome Imbert relatifs 4 l'objet de ce pro- ‘cds dans le délai de trois mois, ordonne qu'il établisse par toutes les voies de droit, notamment par l’enqué'e, réserve les dom- mages intéréts et les dépens. Celui qui condamne la Compagnie P. C. S. a payer A Charles Dietz, en répara- tion du. dommage causé 4 son fils par le capotement des cars du 1° janvier 1904, a la somme de trois cent cinquante gourdes et la condamne en outre aux dépens. — Celui qui ordonne que le sieur Edouard Gabriel soit interrogé sur faits et | articles. Nouvelle composition, sous la présiden- ce du | | | ! l { dope Janvier. ui qui rejette les fi i ‘ et demande a sieur G. v. Marler tecdent ee a la nullité de la pgrosse dy ; 18 juillet 1907 quill prétendar vu dit-il qu’elle a été délivrée par sonne sans qualité, et laisse a la ie dit sicur Maklouf les frais et dé ang y compris le cout du présent iugemne elui qui recoit le citoyen Cornet, appelant du juyement do J, nal de Paix de V’Arcahaie du yi Mai mil neuf cent sept,®rendu ene le sieur Petit Frére Raymond, dit été bien jugé et mal appelé-statuant { veau confirme le jugement dont eg , et condamne l’appelant 4 la somme &; quante gourdes A titres de dom térets et en outre aux dépens. | — Celui qui réjette la demande fg, formulée par ies Théoghile et consor déclare que lafnullité des signification! tes le 29 Novembre 1906 par les cong Théophile ne peut tre prononcée gua présent. Les attaires suivantes ont été entay sous la presidence dn Doven Léon Nic _ Pierre Louis Rémy contre Cy Florent et Murat Charles Pierre, coat tion renvoyée 4 quinzaine. — J. B. W.. Francis contre Mme Ave Camy Nicolas, apres les observa de Mes Delatour et J. BW. Francis, Tribunal renvoie latfare a mercredi | chain. Puis le siége est levé. Chez le Dvcteur Gaveau Ce matin, vers ro heures, le labora d’Eléctrothérapie du Dr Gaveau a és en picces par le jeune Léon Lafontaat q le Docteur soignait depuis 4 mois. A demain les détails. Poésie Nous avons regu, en ane éléganle be chure, les deux poemes de Monsieur The mothee Paret de Jérémie, que lanes vient de rééditer Lueurs series jaw nine. Monsieur Edmond Laforest, #9 de 1s meilleurs poétes, en a fait la preue we cette éloquence harmonicuse qu la of propre. Nous nous joignons 2 lai post frir au jeune auteur nos compliments & encouragements. Hotel-Bellevue ttre DIMANCHE 44 JUIN 1008. Abheures de l'apres-midi Grand Cioncert PAR LA SOCIETE PHILARMONIQUE Nouvelles Eira Dernieres Dépéchs Paris 9. — L’enquéte sur Trattentas mis contre le commandant par Louis Grégoire 2a cours des nées au Panthéon eo I'honneut € Zola se continue. Grégoire 2 bs, Ménard comme avocat avjourd Ds l'aprés-midi on 2 confronté. plusieurs personnes qa! avaient ‘ de l’attentat contre Dresfos, aoe cours de l’interrogatoice = one ae acte volontairement ¢t J ented mer toute la responsabilités. des Maprip 9. — i! adopte aujourd hui_ le pre par M. Bistillo, ministre un emprunt intérieat bonssable en cinquante o empr et de BRUXELLES 9- ture de la sess! tte fottante. la de yg. — A la veille de louver- on spéciale du parlement cnvoque pour terminer la discussion et imettre un vote sur l’annexion de l'état in~ ndant du Congo, on se montre trés imiste. Dans les milieux politiques on considere que l’annexion est condamné¢e car roi Leopold, dit-on, a refusé detaire d’au- sions. eas) 300 personnes, y compris le marquis de Dion, président de l’autonao bile Club ont ¢t¢ empoisonnées par la pto- maine, ce soir 4 un banquet de l’automo- bile Club; 'empoisonnement par la pto- maine est attribué aun plat de canards grviau banquet, une personne est morte et beancoup sont dans un état grave. Paris 10,— Rente : 95 15. M. Gregori, auteur de lattentat contre M. Dreyfus, interrogé par le juge d’ins-! traction, déclara accepter l’enti¢re respon- sabilité de son acte. Le préte: de ia Seine et Ouse accompa- gre des deldvuds, du président du conseil, du ministre de ta wucrre et de M. Gartinne , Renette, expert et armuricr, s'est rendu A Traveil faire une enguére ordonnée par M. Clemenceau our ies incidents de la se- maine dernicre Lienseipne te vay cau CP no sera dépra- dé vendred:. Tutus to. — Llarchevéegue Nokon. ex- Atcheveque de Geugne a été assassiné ici ce matin sur tes marches du Palais du Sy- node. Les assassins, de. révolutionnaires, ont pu téussi 2 s'échapper, Un moine gu: acompagnait V’Archevé- que a été séricusement blessé. St.PETERsBOUKL.— Treize personnes convaincues J'atrentats politiques furent extcueds hier dans diverses villes de VEmpire, 5 4 Uta, 4 4 Lodz et 4 a Odessa. 16 condamnativ.s capitales ont en outre é prononcées par des Cours maruales, 8 1§ a Varsovie, 2.4 Penza et une a Odessa, Quesec.— Le pus grand et le plus ra- pide des cuirasses anvlais « l’lndomptable » 1¢é choisi pour transporter Balles au Canada. iatre autres cuirassés et deux croiseurs- Miveront 4 Québec le 16 juillet) pour me Presentés aux tdtes qui se préparent. HEMAN.— Jusqu’a present le shah n’a Pas tena sa nromesse de renvoyer les réac- llonnaires faisant partie de la Cour, ce qui Provoque une certaine effervescence. Beaty. — L’impératrice Augusta Victo- "a Mt aujourd'hui une chutte de cheval. H€ ne recut aucune blessure, mais ren- fA VOlture au nouvean Palais. sry tra Cordonnerie Nouvelle G. B. PETOIA 143, GRAND'RUE, 143 PORT-AU-PRINCE USSURES EN TOUS GENRES EB DEPOT, POUR LA VRNTRE Eran GROS ET DETAIL. com Ution prompte des mMandes, tant ici qu’en Formes th Province. nelles. mmes ; élégantes et ra- 4 haussures de da chan Paris ) et ] {0ssures pour av Cane ec des Pp 86| bie, a de mes( Derniére mo- @ plus commode : enfants confection- eaur de toutes nuances et durée irréprocha- vantageux., 68, pates et liquides ree de toutes nuances. untest le rachat des bons du Trésor | Sotto ET PLATINO. ) le prince de { DENTIFRICES Celebres des RR. PP. Bénédictins SOULAG CGIRONDE ) Compagnie P. ( AVIS | Messieurs fas Actionnaires de la iCompaynie des Chemins de = Fer de la Plaine du Cul-de-Sac sont convo- ques en Assemblée générale le miacdt i 2X Juillet 1908, aYh. 4.2 du matin au Sieve Social, sis au Champ-de-Maes, Ne 56. { ! | DE TI ARDAYE. SPECI\LITES ET PRODUITS HYGIENIQUES DE SEGUIN DE BorRDEAUX TON TN ACRE POURLA VENTE EN GROS L’ Incomparable Elixir Dentifrice des RR. PRL Benedie tri: peat Usa soubmalien assue peda Sattiter ade Lat Cart ee, dee fa Boure hres et alee pus, par sul Dei LA MALS ON AL S:T, CO. crs ORDRE DU JUUR: 1° Rapport du Conseil tration UN Uiainis- sald 2° Présentation des Comptes. Ped Pes hidite qQacil conserve wan dents pusqula Payee le . “4 ae . “4 “yo , we ae ha t i teem 1 i a - 3° Renou ‘ellement du Conse. pretis aVareey be bacits Pe dere dyn at oem pet * Divers. thiettant ba ryastecation Celgipae te des aactietts. Port-an-Prinee, lex Juin OOS, Le Président, Gi. Le Scerttaire-hndpal, SCHWEDERSK I I, Auguste MAG | [uforme ses chents “ails peuvent Satresser a dai, aux Pate aus du 7- fth, POP fOUsS Pemsertiein | La Poudre Dentifrice des RR. PP. PREZEAU. ! Beneédictins | ‘ fa Pate Dentitries des RR SEPT Schengen ep thant le fosrethotine thew! Poo des Lean. - PP Benediectims: . _ pes 2 gazoline ela manchon. 2a des Dk i cPRICL RR PP . eg . Allumoirs Plectriques 5 3. des Lantornes | aes — Vb dhe rr pa et des Clectr’ques ai piles >= aiast opie pour. - ill toutes pieces Je rechanye qul peuvent - ; SEGUIN , i * ° vee nm ‘ S ¢ tras: ro dito Eby pee cg: Me d Nlor. cr sob UITN -or! vleur étre né22ssaires. Se Autres Pre eS eee ts ; . \! | r ite (itand _ e pry the be tice ON betes vw BA Mati ent prod Var tha iD Poudre de Riz (iigeiie vetice «1M | hotographie FE: | \ e e 1 pepe leelLimet Peoudt : -tytiocdoe we pita eed et | Artistique. 2au ( C Quinine 4 erlever es pe es . j i e ' . —wrr sa Ton tbe res yrebeoipres et pa dureté de la peat. 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Garcia étonné du sCepticis- me tmnanifesté par tant de Conformément aux instructions du | personnes, Secrétaire d’'Etat des Finances et du ee Commerce, la Banque Nationale d'Hai-; Ses! declare pret a mettre ada dis-fetqu' partir de cetre oe In Compa. ; ; i ; : 9081 t 5 OS SAVOLE Sor pe Phe Te sera responsable pour aucu- : ’ .@ : . ‘age | POSIUON de tous sen savoir et sory et I I tia l’honneur d’informer les intéres j post tnerveilleux et presque sure} ues dettes ou engagements contractés ' sés qu’ils peuvent, a partir de ce jonr, humain se présenter a ses guichets pour tou- | ve . cher une diz-nevidme Répartition sur Ay €2-VOUS besoin de la clairvoyance les Emprunts suivants : Gc preueed te conn les centaines ‘Maiti Gov) 8 de ses pouvoirs miracu- fimprant Gouy raement d' Hail 108. leux, voulez-vous réussirdans la vie: 0 u J gy 2 Woulez-vous connaitre les secrets de Emprunt Gouvernement @Haiti 3°" ceux qui vous huissent, les pieyes 1/2 °/. du 1 Juillet au 31 Aout 1908 ; ‘que vous devez éviter, les remedes Contre recus et sur présentation des | qui guérissent vos IGaux, adressez- bons. vous au Protesseur Port-au-Prince, le 8 Juillet 1908. 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