Un grand principe est le suivant : « La fatalité des lois dcono:n ques et so- ciales se moque de toute agi:ation sterile, de toute phraséolugie pontificaie ». devrions-nous, nous conten: de les périodes de notre Maire se perdre Voubli du temps. : Mais nous avons pensé qu’! impok enfin de dénoncer quelques ua de ces Sx grettables oublis, qui proveriint : meilleurs esprits, peut ¢t c, paraly cnt vent nos énergies et nous arréteat du: aizuillage faussé, git d'une campagne sociale Pour prévenir le naufrage imminent d’u-, “ol de toutes ies fois 771s ee PLicoheé:ence d [fy ouire, On ne s’apergoit pas - et tel- Premictre année, nous avons, cn forme d’4- vertissement ‘implacable dans Nous Avss', PEcono nie Po iti LU ggernogs. met en & 0S) cous dvonstnommde.,— « Maitre » Vincent manque de, 21 . r ows te des PTnstrac:ion, 4 tous de Ecole, au début de la] Vévude de qaee ten un Cours qul ence la grande lot que « rt Ya TleeSaic,- il def -ait si bien quwil n’a pas ae ed it: 1 sei rgons le-rappcler dans son dis- oin de ch.rcher Ja cause de e condyigé en apparence irréfléchiz, il enté de se/rebelfer contre le fait, ala? déviauien devla Conscience} e Education, etc, ete. ne nationalité qui, i notre avis, ne sombre- fe est la scconde méprise * qu’éen dehors ra pas, de temps en temps, il nait des uvec attendrissement ou colére leur ser- mon sur la Montagne.. 2. 6 000. 2. Jusqu’ici les’ uns’ é¢tivaicat des livres, | les autres des articles éconoin‘ques, d’au- tres plus timides se contentiiznt d- se tromper eux-méimes ‘sans plus faire; Mon- sicur Vincent, lui, est.un origina 5-sa Montagne est l’Au‘el de la Patric — son » — oy Crel couvert 5 pies midi; chair ei demig gueljucs petits grains A Président d’Haiti “ I east os. 3h. pluie : Dans la soirée au nord et 4 Pouest Le barométre est resté plus dleve que les jours précédents. yeux des prophéties eschatologiques, ce sont des images virtuclles, objectons-nous. ‘Nous avons scruté le passé. Nous vous le demandons, Monsieur Vincent : répon- dez-nous scule:reit du prisent que, voite de l’avenir ?* H. CORVINGTON,R. AUGUSTE, VaLis SALES . ( La fin a rn 1 0.5%; AS + ae 'Regarde ct dit : vest grand ! et tire son chapeau... ‘Pai vu le flamboiment tragiqne de la Cré‘e, + IDes esclaves trocant avec la baionnette a masse des héros invaincu?, quel tableau ! IL ‘ at nes: tenant uve torche enflammée ‘Sur unt caisson de poudre, éléctrise Parmée |. canhumain, j’ai dit :c’estgrand !J'ai di: : c’est beau ! Oli! voyéz ! Huit cents noirs, opérant la retraite [A travers vingt-mille frangais, !2 vil ttoupeau ,Wure voix, fait ceserment : «Nous mourrons tous | » | Qui Oh ! voyez ! Culbutant les vainqueurs de Viurope, avam lui— et la légeade menacerait de s’ac-| | orsque 1a mort, de toutes parts, les enveloppe, veréditer—~ si,telle pouvait, étce unique ma-| Tis passent 4 travers la mort... Peuple, a genoux !. pnigre d’envisages_un, sujet aussi sérieux. |. .: .Or, et voici, Monsieur le Directeur, ce que nous vayplons signaler a, attention. de -M. -Vingent ; on n’aboutit.A des conclu: -sjons.pareilles que par une triple erreur. | -- On semb'e d’abord oublicr que ?encom- brement des professions est en raison di- recte de leur puissance rémunératrice ; cestJazpourtaut une loi économique de la : plas grande portee’ et de Vapplication Ja plus .couranies. Nul wignore .qu’actuelle- inent Ja profession d’avocat ne. procure pas méme ayx plus puissantes tétes {jurudiques une rémunération compensatrice de- efforts. SC | | INT ee a Rie I nm leurs dit ry iJe Vou Jai sal ed ouverture de la re i Palais National. ; _ = CO aD je ait ai v é! Vai dit: c’est grand ! Jai dit suis un réeveur qui s’arréte, : «c'est grand ! » et tire son chapeau... 1 pareil au héros de la Créte, : c’est beau! Ge wéfuit pas un fort qu'il Vous fallait défendre we : ) aA : ’ Yétait le Pays méme ! Et nous avons senti (1) Cette pitce fut Gcrite le 10 Mai de l'année derniére pour étre presentation de la « Créte-a-Pierrot » au TEOCROLOGIQUES é main 3 trés nuageux la . — Celui qui admet la deminde en é ——_~___ } ‘ Chambre des p S ance due Lundi 25 Aprés la validation d pure eephyrin, ] ti tn verbal et le dépouillement rocky pondance, la Chambre mrocet a Cores tions sénatoriales. : © aUx es. Son: élus : ! Cputés Mai 1998 POUvoirs dy gy économi- a sanction q’ dematn..) ; ‘Pour le Département du Nord - : Pioativescwetaimeses ccc Jral Dérosin “Vincent ainé en. © gine OB Sp pe Ty ment du sénateur Davilmar Theat 284 4 # IRS _ Pour le Département du Nord-o, me wit A 2 LSE eS citoyens G. Bouché, Moreau Miche! —_-— s¢nateur F. Moise; les deny oremien BMENTS remplacement des sénateurs Colas et Chi pagne. Pour le Département de l Artibontt : l senateurs Robert David et Salomon je Baptiste ; les citoyens André Guillaume s Davilmar Théodore en remplacement dg Rue k ee eee Or ne se done pas la peine de la recher-- bu Sénateurs E. Cindéas et Viay cher, cette vraic cluse, parce qu’on pre-]| 2 AiR GRE LOL eee Se MART Al La suite des élections est fixe 4 voit qwil fandrait des lors, casser déire _ dredi. a3 est fAxce a vet comme ces Athéaiens du temps de Thuci- Luypr 2< Mal ‘dide «des specrateurs de discours est des “UNDE 2) SNA Tribunal Givil auditears d'action. » apumeste PGE 762,47") dudi- nee civile du Lundi > Mai ro} “Cos jennes geas qui s’cn vont - tous les. (uiniaam 21°,.6 25 stat 1903 2 Se ase yy a ae . | Camnératirs i 0 e Tri 3 | ideacea dw: jours recuciihr des notes :A Picole de] * 2°? retry “yma simuns diur 31 2 A he tribanal sous a presideace du a Droit, « moyrucc diurne 2529.3] 4. iampagne, assis'é du Substitu 4 Thibault a rendu 1s jagements suivans: -—~ Celui qui ordonne le Partage des sx cessions et Communauté de feu Morvil Féré.e. x 49h. da soir. wa ahrany deliire 4 Pre . nomereux éclairs A Pest |yorce da sicur Démosthene Sam. Affaire en continuation : — Michel Velten contre A. Guyot. Puis le si¢ge R. BALTENWECK est levé, Qiu’aux vocux de i’Etranger refusant de Vous rendre, Vous refaisiez ’Indépendance d’Haiti ! Vous. avez fait la Créte-a-Pierrot dans votre 4me, ! Dessalines en vous revécut un moment! On ne vous a pas vu, tenant Ja torche en flamme, Répéter du Héros le tragique serment, Mais devant l’Etranger proférant sa menace, Quand le peuple Vous vit, superbe, résister, Il comprit, admir: nt en Vous l’antique audace, Que Vous diriez aussi : « Je vous fais tous sauter!> il n’était donc pas mort, V’héroisme des Péres ! On ne retrouvait plus un Chef d’Etat tremblant, On na vit pas flotter, an lieu des couleurs fiéres, Au front de ce paluis Pinfame drapeau blanc! L’Etranger salua, comme il fila Vertiéres! | Nos dmes ot: pleuraient tant de profonds soucis, Se sentirent le droit encore d’étre altieres ; Cent ans aprés, Capoix, c’était Nord Alexis! Ne pouvant pas offrir dés: fétes ‘riomphales, Aux vaillant forgerons de notre libarté, Vous avez, retrouvant lattitude ancestrale, - ‘6! Fait que Mil-huit-cent-quatre en nos coeurs fat fete Veus avez accompli d’autres sublimes choses, Mais rien ne vaut d’avoir refait l’orgueil perdu, Et PHistoire, demain, dans ses apothéoses, En rappelant comment Vous nous l’avez rendu, S’écrira : Gloire, honneur au Vieillard héroique Qui dans les coeurs a fait refleurir la fierté, Qui retrouva soudain lattitude stoique Des Héros endormis dans |’Immortalité, Releva, répétant leurs gestes glorieux, L’ame nationale avilie et meurtrie, Et qui, gardant en Lui la foi de nos Aljeux, Dans sa vieillesse, a su rajeunir la Patrie! CHARLES oRAV