tronaze. Sou nom ne Griscit potat ev Ves aves font dacaite que celui ad Toussaiat, un passd de tuttes, data BOIS Nes sociauN dost les privcip was acteurs étaient encore vivants. beatin Stl avait lesqautites daa dsee, de rapi dite daction que assarent souvent. la Victoire, Ou ne démelait point en lui cette hibileté politique, cette connais- Sance de son milieu qui apres la victoi re donne aux vainqueurs mémes un maitre. Tl eat été impossible a Dessali- nes Paccomplir Voeuvee de Toussaint, car 1a, il ne fallaitpas seulement de la volontée, de Penergre, da Pandice, mais une surpreninte habileté, nous alltons dire génie. Pourtant dans le graud dra me de la guerre de PIndeépe dunce, il a joué son role avec éclat, et st par wn effort de pense», nous prolouseons au- dela du sombre cachot de Joux, Vexis | tence de Foussaint, nous heésitons a: croire quifeut pa conduire cesderniers épisodes de la tutteavee plus de succes. A coup stir aves Louverture, on eat ene: registre une plas geand imaitrise dans be comfarte des dooimures, plas ale sou; plesse, une action plus ideale au sens: strict duomot, la philosophie de lhis- | . jmirer la constance avec laquelle cet cette sorte de courage quail faut pour affronter saus sourciller las perils dun Champ de bataille. lion movale des événements, cette par- lie de Piouvre devail nécessairement tui échapper.» Nous avouons quece ju- gementde la part dun éctivain a Pes- prit insinuint et souple et qui ne man- quait surtout dune certaine penétra- ton nous avait intrigué. Nous nous deman lions si vraimant il s’était arrété aétudier scraupuleusement la vie du persounaga elsile brutal exposé des fails wavait pas formé ce jugement, sans quit se donuat la peineed’aller tu found des choses. D:' J. C. DoRsaINvit Ta Presse Cubaine Nous avons reproduit derni¢rement un attic e de la revue cubsine El Fi- gard Consacre 2 notre pays au sujet des derniers événements. C’est une veritable satisfaction pour nous d’ad- torre ¥ tronverait: an meilleur champ ti important Magazine havanais appré- . elaner, mats le succes des luitiens n’au- rait) pas été plus éclatant. impartialement nos idées et nos ainsi que les lhautes qualités cie actes, Dessalines a accompli dans savie des: administratives du G Nord Alexis, actes dhéroisme qui, pris séparément: ~utficaient chacun a immortaliser un homme. Nous ouvronssans i lee précon- eue le ,and livre de Vhistoire et nous nous urretons sur de deévouement de d’Assas de Leonidas et uous reportons hos regards sur les événements de la (irete-it-lerrot, g bs Vvoyous-mogus 7 Au fond Wune vieille bico gue, dém-an- telée par les canons de bronze armeée assi¢veante forte de plus de seize nie . shane OAV Penna fa gens déguenillés mourant de faim. milieu delle, un homme est) debout,. Peeil hagard, exprimant la plus firou- che résolution, dans sa main: une lore che allumeée et) suspendue surun caisson de poudre. IH parle. Saluons et écoutons ce discours. « Nous serons, altaques ce matin, ditil, que ceux qui veulent redevenic esclaves des frangais sorfent du tort, que ceux au contrai-_ re qal veulent mourir en hommes li- bres s’arrangent autour de moi. Ni Jes Frangais pénetrent dans cette forte-, resse, je vous ferai tous sauter. ».—| Alors ily eut comme une subite walva- |! nisation de ces hommes, écrasés par la] fatigue, la mitraille et Ja faim. Un cri | unanime : lia mort ou La liberté eépon-, dit aux énergiques paroles du chef, Ces mots de Dessalines ne pouvaient étre en cetltecirconstance,une vaine formule de parade, car le danger était 11, pressant, inexorable, représeaté par les seize mil- le hommes qui enserraient de leurs li- snes de fer infranchissable, la) minus- cule forteresse. De minute en minute, Je canon tonnant par intervalle résulier foudroyait la petite troupe et diminuail le faible reste d'espoic qu’on po tvait encore conserver. On sait d’ailleurs au prix de quel sacrifice surhumains les glorieux débris de cette vaillante garni- son purent se forger une route a tra- vers les épais battillons de cette armée qui, comme le dit si bien oan de nos historiens « avait dompté les mame- luks sur le sol brilantdel'Egypte.» Une de nos brillantes intelligences, malheu- reusement «isparue dejuis, émettail une fois, presqu’en ces tormes, cette Opinion en notre présence : « Dess:li- nes ne fut qu’un bras fort pour la cause de notre Indépendance. II avait juste Vune: iles informations An haucutases prenve dont il publia en Mars 1907 un super- be portrait en pied. El ligaro que dirige avec tant de tact et de distinction M. D. Manuel S. Pichardo, a consacré plusieurs arti- Cles aux choses haitiennes ; tous ces articles sont remarquabies par leur allure, leur indépendance et l’esprit de vétité qu. les inspire. . Le Matin se fait un devoir de re- mercier toute la presse cubaine pour précises et les com- iaats qu eile publia pendant ces dermers événements. Particuheérement un hommage de gra- litude a El Fiyaro pour quit nous for- inons ues Vvirux de succes. PLITS DITRRS RENSEIGNEMENTS METEOROLOGIQUES Observatoire DU SEMINAIRE COLLEGE St-MARTIAL VENDREDI 28 FEvrikrr Barométre a midi 763 ,7/™2 midimam 20°,1 Température maximum 2604 Moyenne diurne de la température 22°,6 Ciel compléetement couvert toute la ma- tince, terrps sombre et pluvieux I’aprés- midi jusqu’a & h. du soir. Stratus et Nimbus, direction N Wr To- tal de la pluie 1,6™/™, barométre est monté trés fortement daus la journée et la auit. R. BALTENWECK Revue du Marché La semaine qui vient de s'écouler a été piurét calme. Nous avons enregistré quel- ques petites affaires 4 des taux variant entre $20/23 et 29 %/° soit quelques points de biisse sur les taux pratiqués 1a semaine derniére. Les Traites sur France n’ont lieu a des F s donné transactions trés actives: on a (Quant a da direc- ee ee ee Mariage ’ Le mariage de \ He Azima Goual Mr Greorces O'CAaLcacnan, licencid di avocat, aeu lieu jeudi i 5 heures deff midi, dans les salons de Mr et Mme! Samson. a Les temoins de la mariée étaieng} seph Justin, directeur de l’Ecole dg et Mr Tha'és Samson. 7 Ceux du maric¢ étaient Me Edmosill pinasse, avocat, et Mr Sampiero G Me Edmond Lespinasse trouvg mes heureux pour complimenter @ nes ¢poux et leur indiquer le vraj%4 du bonheur conjugal : Vamour deg ct Uharmonie des caractéres. 3 Ce ma:in,les jeunes marics ont @& duits \ lautel, 4 la Cathédrale, pg T. Laleau et Mr le Dr Destouches Ont quété au cours de la ¢ Melle Jeanne Gousse avec Mr Lelia # branche. " Les invités ont cté ensuite recas Mme Thalés Samson owt l’accueil be bienveillant ‘eur a été fait. Nous renouvelons nos souhaits de heur aux nouveaux époux. Funérailles Monsicur et Mme Carlos Bras et tants,Mr et Mme Aulu Débrosse, les Henry Lanoue etleurs enfants, Mme Vy B. Cavemitte, Mr et Mme Eugene J Mret Mme Francois Lestage et Monsieur Nelson Roy et eufants, Me Ascanio Germain et ses entants, et te autres parents ont la douleur de vous part de la mort de JosepH D1oGéne leurs tils, petit fils, neveu, etc, décédé i 5 heures du soir i Vage de 12 ams Les funérailles auront lieu aux f res ou le cadavre sera transporté. s vendu une centaine de milliers de Francs a2 ect 21,2 9)" escompte. Les Cheques sur New-York se matin- tiennent toujours 2 1/2 °° escompte ct au pair. , Le Café est a Franes 42 1/2 pour l’or- dinaire ct Francs 44 pour le café du Cap. Le Cacao est toujours peu prisé a Francs 70. . Port-au-Prince, le 29 Fevrier 1908 Le Bal de 1]l' Hospice Nous rappelons que le bal travesti offert aux ftamilles par les Dames Zélatrices de Saint- Vincent de Paul aura lieu mardi pro- chain aw local de Institution de M'le [sa- belle Laporte. ; Toutes les dispositions sont prises pour assurer aux assistants le maximum de ré- creations. Les cartes sont de: pour enfants. Une gourde pour les Dimes ; et yourdes pour les cavaliers. Fiangcailles Nous avons regu la carte .de frangailles de Mademoiselle NaTHALIE) MatGNan avec M Ie Doe cur JuLes FLeury. Nos meilleurs veeux de nouveaux fiances. Tribunal de Commerce dudience du 27 Février 1908 Présidence de Mr L. Chapoteau, Doyen. Par décision en date de ce jour rendue entre le Géneral Jean Joseph, dit Ti Jean, propri¢taire ct armateurde laGoclette Saint Mare, et Dicudonneé Vilbon, capitaine de fa dite Goelette, d’une part ; Maurice et Joseph Bresh, d’autre pare ; la saisie pra- tiquce par ces derniers, depuis le 27 Oc- tobre 1906 de la dite goclette, a été an- nulée et les Bresh condamnés 1 douze cents gourdes de dommiages-intéréts. Trihunal Givil Audience civile extraordinaire du 28 ké- cCinguante — centinies deux bonheur aux s Le capitaine Pierrilus Pierre, com dant de la canonnitre Centenaire a Ileus de vous faire de la mort deépe Juste, décédée hier soir, 4 5 heures. . q . . 2 e Urier funérailles auront !ieu aujourd’hai ax s ‘ . . . . ° 2 7 Cette audience a eu lieu hier sous re ees mud » Matson mor ' la présidence du Juge Doyen Champa- - 43- . . P Jug - P — Condoléances aux familles éprowl gne guta_ entendu detinitivement I’atfaire . iculie 4 “1 e I Etat contre Reimbold, les comités. de | ¢t particulicrement notre ami le dant P. Pierre. négociants et les ex-Secrétaires d’Etat du 7 Président Sam M* Lespinasse et le substi- Départ rut du Commissaire du Gouvernement ont ! Par /’ Alleghanny sont partis hier J té entendus en leurs observations. "es: 7 ; Le dépot dee picces est ordonné et le Cayes: MM. H. Mee ase, Gaston ‘ set, Hermann Morisset, Simon @ jugement rendu dune prochaine audience. Heydebrand, Douyon, Durantin Puis le siége est levé. gegen ; Asile Francais Nous rappelons a tous, que demain 4 3 heures de l’aprés-midi, la grande salle des Fétes de l’Asile sera ouverte aux en- tants pour le Grand Bal paré, travesti don- née au profit de l’ceuvre pour les petits en- fants. Entrée : Grandes personnes P. 1.00 Enfants 0.50 Grande bataille de Confetts. Carnaval'!... Nous apprenons avec plaisir que tous les sOirs, A partir de demain jusqu’a mercredi, ily aura grand bal au Marché du Poste Marchand qui sera éclairé 4 l’électricité par la Compagnie haitienne. C'est une nouvelle qui sera saluée avec une veritable joie par la populaion si. avi- de de ce genre de distractions ou s'épa- nouissent dans toute leur franchise bruyan- te, les joies populaires. Promotion _S. E. le Président de la Républi vient d’élever au grade de général de brie ade notre ami, l’adjudant général Thos - Vilmenay. Toutes nos félicitations. Derniére Heure 3 Nous apprenons que Mr Sannon s'est décidé 4 quitter la tion de France pour rentrer ava sa famille. Nous nous réjoui fait, car il montre la vanité de qu’on avait fait courir au momg la subite et é6quivoque déterm prise par Mr Sannon de cher refuge pour se garantir d'on.& quoi. ‘ Dans la vie privée od il ent distingué compatriote consacs loisirs 4 des travaux historig ciencieux comme ceux qui lal¥ son beaurenom avant qu’ileal la politique. ¢ Nouvelles Etna Derniéres Dépé ; Paris. — Le Matin annonce néral D’Amade, commandant