yn ANNEE, Nv 274 PORT-AU- PRINCE (sain) SAMEDI, 22 FEVRIER 1908. ervocsepeaeigeme ons 2 aEgciree aso ABONNEMERTS : pan mois Une Gourde D’'avaNcE DkpakTeEMENts: & ETRANGRR : Lk NUMERO 4 () CENTIMES. Clément biaglioire, Les abonnements partent du ter. et da:s5 de chaque REDACTION-AD MINISTRATION mois et sont payables d’avance 4§, RUE BOUX, 45. Les manuscrits insérés ou mon De sont pas remis. rrais de poste en sus. Pour tout ce qui concerne Y ae Sn Ee ee SE ae ORES sans vee oo am Se eee ee Ca mes OF, Ee oe Oe 0 OEE rte wae rere 2 are eae ee pe wn. ae TS Se Se TS AN «nr. ter PN nS er a 2 eeenatad ——— nee Administration du Journal, s’adresser 4 Monsieur Arihur ISIDORE, 45, Rue Roux ou Bonne-Foi. LD fq ryy 9 4 SILE France et Haiti et qui, comme j'ai eu Chargé d’Affaires. Et cependant il est LE DROI 1 D i all Vhonneur de fob-erver dans ma peé- Zt remarquer que tous les Gouverne- cédente lettre, met les deux pays sous Ments qui se sont succédés dans le Pempire du droit international pour pays ont eu intéret 4 le maintenir. » tous Ics cas non prévus. Dans ce trai- _ I est possible, en effet, que ce soit ini i j té aucun privilege unilatéral n’a été pur ignorance du droit des gens, soit Opinion de M. A. Firmin. concédé en faveur de la France. be pecuncalculd intéret malentendu, soit 7“ quel droit pouvez-vous done avoit le pur tous autres sentiments erronés, privilege que vous réclamnez de pouvoir des Gouvernements haitiens aient to- d'autoriser daus sa demeure la re- soustraire des haitiens ala poursuite loré an fait absolument contraire a cherchs du fugitif. » Voici la note des tribunaux rien qu’en leur don-: usage internstional ; mais s'eneuitedl qui accompagne Varticle! (Voir p's | nant réfuge dans votre Légation” Vous yee ces cireurs puissent Changer les haut, art. 77). Un ministre espagnol, répondez, Monsieur ! >: ¢ hargé WAffai- vegles qui dirigent les pulssances in- Voici de quelle figan, M. A. Firmin ré- « clamait A la Légation de France, des pre- venus de droit commun qui sy = etaient réfugiés. ) stre, 3 , ! jamais piece ne fut plus ¢loquente et le duc de Ripperda, svetait réfugié res, que c’estau nom de l'humaniteé, dépendantes daus leurs relations ex- peux asgumentee. en 1726 dans Vhotel de I aimbas-' que vous exercez ce privilege. Je con-, térieures. Nullement, pour ma part, - sadeur d’Angleterre 4 Madrid. L’am- viens que c’est ne belle chose qua'je vous uvoue, Monsieur le Chargé No 342 | | : ; , il ne ful pas tenu compte de ce re-'ne comprend pas qu'il soit’ permis téret de mon Gouvernement dans I’a- Du 23 Mars 189). A Monsieur V. HutTriNoTt. Monsieur le Charge d'affaires, Fai Vhonneur de yous aceuser vé- « ployés; mais quant au fond, ! fus on eut recoursa ta violence de pousser humanitarisme,si loin’ bus que voudrait faire une Légation pour arréter le fugitif. L’Angleterre qu'on puisse en tirer un wiolif vala- ctcangere du. principe de Vexterrito- avait bien le droit de protéger con- ble de mépriser tous es principes tialité, j’y vois platot la cause premie- tre les formes et les procédés em- consacrés par le droit des yens. re de l'instabilité de ordre dans mon ‘Espa- Votre expérience de plus de trenfe pays. Tout le temps quedes délin- ception de votre lettre du2l de ce « gne avait raison. PHILIMORE If, 20%, ans a Port-au-Prince «t toujours ala quants seront. stirs de limpunité en mois responsive a la mienne portant « Martens ( Erzoehlunyed, 1, AX 247) Légation vous a démoutre, observez, recourant seulement a la protection la date du 18. a rapporte fa tentation du uninistre vous judiciéusement, que vous vaveg abusive d'une Légation étrangére l’au- Sans_réfuter d’une fagon formelle « d’Angleterre aStock holm de sauver, jamais eu A user de ce b4nélice a Vé- torité du Gouvernement haitien ne se- et explicite les arguments que je vous « en1747,le marchand Springer, pour-- gard a’un seul de vos nationaux, mais 1a jamais respectée de maniére a por- ai présentés en faveur de la décision « Suivi pour crime de haute trahison toujours en faveur des hailiens. Cela ter chacun a se conformer a Vordre prise par le Gouvernement de ne pas « et qui s’était réfugié dans Vhotel de peut-étre vray, mais ce West pas bal.La bgation étrangére deviendrait tolérer qus des haitiens, poursuivis « la Légation anglaise. f hdtel fut en- moins un fait qui renverse du tout au de fa sorte un juge souverain de Pop- pour crime de droit commun, puais- « touré par les troupes suddoises ei tout les premiéres dounées et les plas. portunité qu’t! y a de punir ou dene sent échapper ala Justice, vous pa « le fugitif dut étre livré ; mais VYAn- claires da droit international: une L4- pas punir, et Vhaitien en ilaiti serait « « « ¢ « « « « « a « bassadenr refuse de livrer le duc ;'d’agir au nom de Mhumanité ; mais je Affaires, qu’au lieu de tourner Tin-- « « « « « raissez purement et simplement sou- « gleterre dut rappeler son envoyé,. gation étrangere ne doit donner ré- plus soucieux de la bonne grace d'un tenir votre opinion personanelle abso- « parce qu’l avait outre-passé ses fuge qu’a ses seuls nationaux, dans consul on d'un ministre étranger que lument contraire au droit des gens, 4 « droits. » i, ‘le cas of elle les croit en danger , var'de la protection de son propre gou- savoir que 4° un haitien, en Haiti,” Tous les faits de Vhistoire diploma- c'est a eux seuts quelle doit une pro- vernement méritée par sa_ conduite casilé sous un pavillon étranger se lique, tous les pubiiuistes du droit in- tection [égitime. Quant, au liu de régulicre et de son amour de l’ordre. «trouve suc une terve étrangere él ternational, sans auctne exception, ses nationaux, il sarrog + te droit de, Pensez-vous, Monsicar le Chargé «par conaéquent hors du pays», 2°que sont d'accord sur ce principe. | Vous protéyer contre la loi, tes régnicoles d'Affaires, que tels errements sont de «vous étes les seuls juges ( vous &t voyez donc, Monsivur ie Chargé d’Af- du pays ot il est accréditeé, envoys nature 4 contribaer au développement * votre Gouvernement sans doute) de faires, que si vous acqulescez X ma’ diplomatique ne fait autre chose qu’af-|de la prospérit4 et de la civiheation « la situation ode trouve notre pays.» | demande, je ne pourrais avoir de vous | faiblir 'autorité souveraine dece pays, 'du pays par le régane de Vordre et de « Veuillez me permettre, Monsieur; que l’opinion le plus Mae, enien se mettant au dessus d’elle. Aussi!la loi ? « le Secrétaire d’Etat, devous deman- trouvant dans vos procédés respect | est-ce 4 remarqu:r que Blunschli, en| Mais, pour vous autoriser a agir « der opinion que vous aurez de moi | du droit des gens et la conduite d'un annotant article 200, de son droit comme vous persistez a le faire, vous si j'acquiescais A votre demande ? » | diplomate qu! travaille sincérement a ioteruational codifié renvoiea J’artic.e|semblez vous appuyer sur un précé- Cest ainsi que vous m’interpelez. établir de bonnes relations entre son|77 traitant du principa de stabilité. Si|dent tiré du temps du Général Salo- ry répondre, vous mepermettrez, | pays et celui ot il est envoyé, pour; Haiti reconnaissait 4 une Légation|mon. Le Gouvernement ayant récla- fear’ | ‘ s Pest liens d’amitié ct de com- quelconque d’un Gouvernement 6tran- | iné da vice coasulat de Fraace a Jac- Monsieur le Chargé d’Affai de! res aires, de resserer les / Ci vous citer simploment Varticle 200 dui m-rce qui ne s» maintiennent qe par ger le droit de soustraire des haitiens,/ me, les soi-disant assassins da géné- it international codifié : « Il n’est; une complete réciprocité de droits et aux poursuites de Yautorité judiciaire , ral Vériquain qui s’y trouvaient asilde, pas attaché du droit d’asile A la de-, de devoirs internationaux. haitienne, elle se recoanaitrait par le afin quils fussent jogés conf e meure « de l’envoyé, dit Bluntschii.; « Vous n'.gnorezpas, ajoutez-vous fait ‘méme la vassale du pays repré-;ment au droit commun. « Moneiear Ce dernier eat au contraire tenu de li-;« que ce privilég?. que hous uvnit, senté par cetie Légation. il vaudrait) Jules Ferry, alors ministre(des affaires Vrer «aux autorités compétentes la|« nous l’exercons qu’au nom de l’hu-: bien mieux disparaitre comine Etat | étran eres do France vous enjoignit : OO les he po pa ! ité. » Permettez-moi tout d’abord indépendant plutot que d’admettre un derefuser. Poarm’en convaincre. vous . Bie oer sa paye, de vous ‘rappeler qu'il existe un trai- ‘tel principe. P 4 avez bien voula me commusiquer an: * &¢ qui se serait réfugiée ches lai, pu! té de commerce et d’amitié entre la. « Vous éviterez encore, Monsieur le’ extrait de sa lettre ded 18 Jafilet 164, ge Je vousen remercie bien sincerement; toutefois, qu'il me soit permis de vous faire les observations suivantes : En droit, des instructions ministe- rielles que la Légation Francaise aura pu recueillir daus certaines circons- tances, ne sauraient suftire pour creer arbitrairementdes regles quisont con- trairesaux principes du droit internati- nal eta Vesprit d'un traité signe entre Haiti et la France, lesoblgeant doJo- RER ANC rien admettre Puneenve rs Pau- tre en dehors des stipulations écrites qui échappent ala récipro ite de teat tement formantia basede la tractation Ces instructions ministéertelles | ont un caractére cCirconstancie ef passaeee qui ne leur laisse pas meme Pautorite d’une jurisprudence, tant donne que les Opinions qu’elles affirment sont ubsolument personnelles, au ministre | qui les a transmises. En fait, je pense, Monsieur le Char. vé d’Atlaires, qu’on ne saurail ss: pla- cer au point de vue of se mottiait Jue: les Ferry en 1834 pour conte ster ac- tuellement au Gouvernement le doit imperceptible qu'il a dene pois pore inettre que le réfuge A une Legation étrangere puisse soustraire des huitiens ala poursuite des autorités yudiciat- res. « fl nous serait impossible ds « souscrire de telles restrictions dun usage dont les derniers événements suffiraient @ justifier le maintien.... C'est surtout au lendemain dune insurrection et alors que les) efforts du Corps diplomatique ont protége non sans peine, les vaineus contre les répresailles excessives de vain- queurs, qu'il peut paruitre ctrange de réclamer l’application du droit commun en mati¢re dasile. » Je ne veux pas rémémorer les Cir- constances de notre histoire avec ¢les taits pénibles arrivés & Jacimel. a Port- au-Prince et ailleurs sous Vempire desyuels, Mr Ferry considérait com- me une irronie qu’on ait pu réclumer Vapplication du droit des yvens upres avoir si ouvertement outrag soi-me- me. Vous les connaissez aussi bien que moi puisque vous avez a votre actif «une expérience de plus Ge tren- te ans a Port-au-Prince ». Eh bien. peut-on dire que les mémes motifs qui ont puporter honorable Monsieut Ferry a déclarer avec exagération sans doute qu’il est superflu dinvo- quer ici les régles générales du droit international » existent encore § an- jourd’bui ? Ce serait calomnier lc Gouvernement du Général Hyppolite et j’ostime trop votre caractére, Mou- sieur le Chargé d’Affaires, pour) vous préter une telle pensée. En effet pendant et aprés une guer- re civile, qui a duré onze mois, per- sonne ne peut dire que le Genera! Hyppolite aii donné ou laisse faire au- cun acte de représaiiles qui mérite d’étre qualifié aussi sévérement que V’a fait le Ministre des affaires Etran- geres de France parlant des événe- ments db 1883 4 1884. Au contraire, considérant avec une modération et un respect du droit des gens rares dans notre histoire. les in- téréts de la cause politique dont la défense lui a été confiée, ila mérité le triomphe autant par son énergie et la Justice de cette cause que par I’ob- servance incessante de tous les de- voirs imposés par la civilisation 4 ceux gui font la guerre. C'est ainsi que le Chef de |’Etat actue! est entré 4 la Capitale ch l’on redoutait les actes des plus terribles représailles, en con- eéqaence des évéhements du 28 Sep- ma ARAMA AR LF A placée ni un cheveu arraché de la tete Jun homme. Geite conduite a été la plus grande surprise des haitiens et des étrangers qui n’ont jumais entendu parler a’un tel précédent en mansuctude et de respect du droit dans notre histoire nationale. Pour vous rappeler ce fail, jai Phonneur de vous adresser Ci- joint le AConileur du Ne ot vous tran- oo sins qu'une picrre ait été dé- verez lattestation de tout le Corps Di-. plomitique et consulaire de Port-an- Princes, notamment une lettre de Mon- sieur le Comte de Sesmaisons suv la- quelle jose attiver votre attention. Depuis cela, il y a sept mois, le Gé- néral Hyppolite nommeé constitution - necHement & Punanimité Président de la République, Wa jamais recherch” ni puni personne pour fait) polilique. Une emnaistie véneérale a été aceordes a’ ceux qui, redovtant ia punition de Hlenr conduile politique, s’etalent rete: rrés. &VEtaneer. Pius Wuoe centaine ide citovens ont pusiblemendnt reggae leurs penates, et Vivent sans boquié- tude. Mais durant ces derniers evene- Ments Certaines gens ont en deiiurs des nécvessités de Ia guerre et de la politique, cominis des crimes qui tom. bent sous le coup du code pénal et! relevant du droit commun, N’est-il pa< juste que ce Gouvernement qui s'est inuntreé si strict dans Pobservance du droit des gens, fasse respecter la vo- lonté des lois du Pays ? Ne lui appar- tient-il pas dy travailler a la moralisa- tion de nus meaeuts en favorisant Pac- tiou des tribunaux contre tous Geux qui ont profité de la guerre civile pour assouvir Jcurs instincts de destruc- tion et de meurtre en incendiant, en pillant, en assassinant au mecpris me- me des lois de la cucrre ? Une nation Clringére qui antorisgrait sa Légation a contraiier en Ce seus fa jusie actoii du Gouvernement prouverait au pay. qu'elle conspire contre sa paix interieu- ire et contre sa civilisation. C’est pour- quoi j’ose aflirmer que le Gouverne- | ment krangais ne saurait prendre une ltelle attitude vis-d-vis du Gouverne- lin-nt haitien lorsyue je connais si ;bien son désir de voir notre pays pros- pérer ct se civiliser. Ge sePuit une iro- nie plus révoltante que celle contre laquelle se récriait M. Ferry, en 188% “Mn poussant son indignation au point de vous prescrire une conduite ab:o- lument opposée «aux régles généra- les en droit international », En vous priant de réfléchir sur mes | nouvelles observ.tions, je saisis hocca- i sion de vous renouveler, Monsieur le Chargé d’Aflaires, Vassurance de ma considération tres distinguée. (Signé: ) A. FERMIN. LA SITUATION | Aux Gonaives a ee eR eo Iapres les derniers renseignements qui nous sont parvenus de cette ville, itn’y a plus que 70 réfugiés politi- ques 30 Consulat franqgais, 24 au Con- sulat Espaguol, et deux au Consulat \lemand. Tous ceux qui n’étaient qu’égarés par la propagande et qui n’ont été qu’entrainés daos le mouvement Fir- ministe sont sortis des Consulats et vaquent paisiblement a leurs affaires, sans étre nullement inquiétés. Beau- coup d@’autres gui hésitent encore en face dela grande clémence du Prési- dent Adeur écard, ne tarderont pas a ‘se convainers de ba singerité des sen- ‘timents de Son Excellence, qui veut par- donnera tous ceux qui n’ontipas étéles promo!cursda mouvement, qui ont été entraines par la séduction ou par 1a cratote. Au Consulat Frangais, les loups se Manvent cntre eux; en vain Firmin essive de se disculper de Paccusa- ‘tion qui pese suc fui d’avoir conduit ses amis dans une eutreprise insen- sée, et de les avoir enc re ubandon- uds dans le danger, ne pensant qu’ se sauver avec son fils, en vain veut- ii se défendre, il na peutarrsver a persuader ses anciens uimis, devenus ses udversaires lesplus décidé:, apres Péepreuve quits viennent de subir. Nous avons appris) que Monsieur Donner, ne s’est pas sauve, comme on nous Pavait apnoace, mais est par- fi pour raison de santé; Monsieul Cords est aux Gonaives. Lindi, nous compreterons ces ren- seignements par de nouveaux dctails. + en PG a IT ER PALES DITRRS RENSEIGNEMENTS METEOROLOGIQU oe CIJhlserwvatoire DU EF CULLEGFE St-MARTUAL VENDREDI 21 FEVRIER semi ad: Bareme tre dau 764 7/4 Ter peratur \minimum 20° oO Y any > . Cu perature -pasimum 32°, 4 Moycone diurnede la température 24°.8 Ciel Jégérement nuageux de toh. du matina 6h. du soir. Barométre cn baisse. Quelques mouvements sismiques dans ‘a journce. R. BALTENWECK Fiangailles Nous avons regu de Jérémie la carte de fiangtilles de Melle CArnerine LApLaine avec Mr Louis Marce in. ' Nos meilleurs compliments aux heu- reux fiancds. Revue du Marchs t ' Durant la derniére huitaine nous n’a- | vons presque pas eu d'affaires. Le marché a été calme. Seulement quelques petites itransactions sur le Change pour l’or amé- iricain pour couvrir sans doute les besoins ‘immediats de gourdes: | Le taux pour l’or a varié entre 515/25. Les Traites sur France se négocient dif- ‘ficilement, on peut en trouver 3 2/12 °° | d’escompte tandis que, les chéques sur /New-York se vendent 4 1/2 °/° escompte. ' Les arrivages montent 4 2000 sacs en- viron. t | Cacao : L’article a baissé encore en Euro- ipe et nous sommes 4 70 Francs, — Le Ca- '7é: 4 43 Francs, ce qui contribue 4 don- ‘ner un peu de fermeté aux cours actuels ; on a payed dit-on 27/28 centimes pour |’or- dinaire. . | Le Sucre brut débiié en ville est tombé \ yo'38, par suite de Pabondance du « ra- ipadou », Port-au-Prince, le 22 Février 1908. | Bulletin Religieux | Nous avons regu le N° de février du Bul- letin ‘Religieux d’Haiti qui vient de paraitre avec le sommaire suivant : lettre de S E. le cardinal Merry‘del Val ; Avis du clergé ; Diocése du Cap-Haitien : Nomination, départ des missionnaires ; Letire circutsy pour la mort du pére Guihard ; Diog, des Cayes: Lettre circulaire pour la my des péres Laigo et Houeix + Nécrolosie. compte-rendu des fétes jubilaires de Mp ’Archevégue ; Féte patronale et béned;. tion de l’Eglise des Angtais ; La caus: i véndrable Jean Marie de la Mennais. Le propriétaire de la « Colombine » Beaucoup de nos lecteurs nous ayant d. mandé des renseignements 1 propos « propriétaire du navire appelé 1a Colomby dont le gouvernement est en train de fig Vacquisition, nous extrayons pour le: faire claisir, la nove suivante que nox: avons consacrée A Mr Meyer dans nor, No du ry février courant : « Mr Meyer est un ingenieur civil distin gene qui remplit a’ Bermudes les fonction de 2¢ magistrat communal. Il dinge de puis vinge ans environ, les agence. conse. laires dA lemagne, d Tealie cc d’Autriche, jouissant de li considération et de [a co fiance de ces truis gouvernements, Le propridtaire de la «¢ Colombine ve Directeur de li Banque de Bermudes, J: recteur de li Compagnie d’assurances com tre les incendieset les accidents maritimes directeur de la Compagnie des te! cptioag et Président de la Compagnie des Hareb, Outre ces titres qui font de M. Meve un pcrsonnage respecte, il lui a éte accord par le gouverneur, une importante concer sion pour nettoyer la rade au moven & dragues pertectionnées dont il atair l’acqu: sition ; — et une autre concession poura construction des rues. Commodore du club des Bateaux av peur, M. Meyer est le chei et le propne- taire de la grande maison Meyer & Cie. Le Général Nord a tout de suite inspe la plus vive aftection au Commodore le tient pour un des plus grands Ch d'Etat et un patriote convaincu, travails sans relache 4 la prospérité de sou pays ne négligeant aucun de ses grands devois et conservant toujours son calme fier. § iér nité souriante, M. Meyer était dispot i offrir ses services au Gouvernement per lant les derniers événements. N’oublions pas le Capitaine Schester qe pendant le court voyage de !a semaine der nicre s'est fait aimer par tousles passiges \ cause de ses bonnes manicéres et de § gentillesse. En présentant ‘nos compliments 4 Meyer, nous lui souhaitons un heureux jour parmi nous. » Messe de Requiem A la mémoire de Mr Ch. van Wijck La Banque Nationale d’Haiti vient 4 tt cruellement frappée par la perte de Directeur, MrCh. van Wijck, qui a succo® bé a Paris aux suites de la douiouress® opération que nécessitait son état de saa D'une courtoisie parfaite jointe 1 om trés haute honorabilité, Mr van Wid ui jouissait A juste titre de toute |a oF fiance du Conseil d’Administration 0¢ se que d’unanimes regrets. . Pour rendre un dernier hommage + * mémoire de cet homme de bien, un 5 vice solennel sera célébré le landi 24 vrier, 47 heures trés précises du mata, 4 l’Eglise Cathédrale. Comme il ne sera pas lancé de ett? de convacation, on est prié de cons! le présent avis comme une invitation. Le Directeur par interim, P. SANTALLUER. Fermeture de la mallé Les dépéches pour Petit-Godve, Jere Cayes, Jacmel et Curacao per be sam « Prins Willem I » seront ce a peures. precises. New-York et le steamer « Altai » serort République argentine 4 Paris a protes:¢ au- fermées ce soir a 4 heures précises. Port-au-Prince, 22 Février 1908. Décés Me et Mme Charles Dehoux ont la dou lear de vous décedée hier Art heures du soir ¢ e vous prient d’assister 4 ses funéraille yui avront lieu demain matin, 4 8 hewe L ‘convoi partira de la maison mortvai- alité, prés de la barricre ¢ sise rue de IE . er, pour se rendre A la Cathédrale. - Aucune invitati wésent comme en tenant lieu. Asile Francais Grand Bal masqué, paré, travesti pour snts,— dimanche Gras, rer Mars pro-|d n. *. e e Le Conseil d’Administration donnera || onc cette distraction aux enfants bien sages. jue les'méres de famille se préparent pour tire leurs gentils bebés danser aux sons "yne musique entrainante. — Enirée générale : Une Gourde. Les cartes se vendent 4 lEntrée. Arrivage Ce matin est entree le steamer « Prius fillem I » avec les passagers suivants ve- ide : New York : Walter Stecher. St Marc : Melles Mercte Vaudreuil, Clé- »Nozier, Euphuse Nozicr, Henri La passe. A. Mayloire, Auguste Martcl- , Mile Marianne Martelly, William An- s Régina Arcenval, Télémaque Edouard, Walestrandt. Diogéne Narcisse, Ogé, Gracia Lefévre, Me Pinchi- , Helléne Toban, Albert Labrousse. | Woadestrandt. Nouvelles Etrangeres Parts 20-— Les nouvelles annongant de Dlents combats au Maroc ont donne leu jourd’ hui au Sénat dane longue discus- dn surles affaires marocaines. Cette Chambre a finalement vote un or- e du jour de confiance approuvant les rsures prises par le Gouvernement. Pendant les débats M. Gaudende Vil- nea déclaré que les attaques contre les upes frangaises indiquent qu'il est n¢- lsaire de renforcer tc corps d’occupation ade mettre rapidement fin a l’anarchie luitégné au Marcc. Tancrr.— Mohammed cl Torrcs, mi- tre des atfaires étrangércs du Sultan Ab- | Aziz a protesté au nom de celui-ci ntre occupation de Marchica par les ree espagnoles. Espagne dit que cette occupation n’est Ftemporaire et qu’elle est nccessitée par sécurité résultant de I’évacuation de cette '¢ par les troupes du Maghzen. LONDRES:— La nouvelle annongant la ification dn traité d’arbitrage franco- nicain par Je Sénat de Washingion Ppele Vattention du pirlement anglais es négociations engagées entre les ca- Cts anglais et américain au sujet d’un t¢ de méme genre. Questionné, le Se- laire des Affaires Etrangéres, sir Edward y 3 est borné 4 dire que les négocia- Suivaient leur cours et que tout fai- ¢spérer qu’elles se i¢. mineraient d'une ote. satistaisa Celles pour Inagues, ' l'Europe par le steamer journal argentin « Ja Prensa » @ commu- Geacia » seront fermées ce soir 4 4 hrs. niqué une dépéche qu'il arecue de Barna- | priciest celles pour Jérémie, Kingston et sa res disant que M. Bouch, ministre dec ‘a w- York faire part de la mort de leur Maste JEANNE MarGuerite A-' on spécialen‘ayant été | tke, les amis sont priés de considerer le | - | Japon. Te ete oe ee nee : DENTIFRICES Celebres des RR. PP. Bénédictins DE L‘ABBAYE DE SOUuLAC (GIRONDE ) SPE‘IALITES ET PRODUITS HYGIENIQUES ) . Parrs. —- Le corespondant a Pau. du. pres du Gouvern:ment frangais contre la nouvelle convention postale de Rome dans | laquelle les iles Fa-kland sont consideérces | | comme colonie anglaise. . | L1 république argentine prétend que ccs tes lui appartiennent. Bile refuse en ; conséquence d’accepter la clause de la con- 51 vention qui les concerne. ; Wasnincton. - La réceptisn officielle da baron Takahire; le nouvel ambassadeur da Japon a ew lien cet aprés-midi 4 2hrs 45 a la Maison Blanche. Paris.— Rente francaise 97.05. Le Président de la République accom- pagné de Madame ct de Mademoiselle Fa!- lidres inargurérent: ce matin l’exposition de peinture sculpture.et arts précieux 4 l’Automobile Club. Hier la Chambre continua la discussion ¢ Vimpét sur le revenu. Aujourd’hui elle | droit discuter diverses interpellations. Hier | e¢ Sénat vora Fordve du jour suivant: Le Sinrt rendant hommage 4 la vaillance du j Nos troupes et sa confiance dans le gou- i vernement pour assurer au. Maroc lr deé- 'fense des droits ct des intéréts de la Fran- ; ce conformément 4 Vacted’Alyesiras, ct passe , 4 Vordre du jour. i sl? Aujourd hui M. D-lahave adresse un€, @: ! Di LA MAISON A. SEGUIN DE BORDEAUX ,oitJ L CONCESSIONNAIRE POURLA VENTE EN GROS L’Incomparable Elixir Dentifrice des RR. Pi. Béueédictins par son usage journalie: assue re da santé de da Gorueo, de la Bouche et de plus, par sui- te de Pasolidite quik couserve eux dents jusqu’a Page le Plies deaea at Preiite le travail da la digestion en per- Wettart ha mt-ticuhen compléte des aliments. Le tlacon se vend: Gourdes 2.00 | i og z “ | | i Poudre Dentifrice des RR. PP. est le precieugx auxiiaire de Elixir, La Boite se vend: Gourdes 14.25 Benédictins fa Pate Dentifpice des RR. PP. Béenédietins 0! Gapleyce seule) ou concurremment avee l’E- lisir. 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