faire comprendre la portée de mon tout étonné de recevoir de lui une let- opposition, je la tui répétai par lettre/tre du 1°3 Décembre (piéceG bis) dans le lendemain matin en lui demandant; laquelle il m annonga son retour de de me répondre. (3 qu'il fit en me) Port-au Prince of la situation fiaan- faisant savoir qu’il allait envoyer aujciére était des plus mauvaises, me di- dit D. H. un contrat mystiticateur!/sant : que partout on partait de moi signé de quatre prétendus contrac-|comme le seul espoir @Haiti. Tl m of tants, non désignés comme firminis-; frait de mettrea ma disposition et son tes, soit : : temps et de Vargent, un steamer « Frédérique, Maton, A. Foule, Hk. « Acadia » etc. Couillon, signitiant : frédécique, ma-| Dans cette meme lettre, onlit le pas- ton (pour miatois ) a roulé Hl. D. TH. sage suivant: « J’ai trouvé ici (New- couillon. C’était une drole de plaisan-/|Yovk ) une lettre du capt. CG... qui terie; mais pourvu qu'il nese fit point; était a Panaina quand if écrivait, me agi de non nom ou du parti firminis-|disant qu'il serait sous peu dans cette te, cela m’était éval; ci-jointla re- ville et quail serait content d’agir avec ponse que me fit Frédériqae (Pieee By) {moi dans la traduction de votre ger- M. D: &. s’en retournA A New-York] nier livre. J’attends en ce moment le sans me voir, mais le 27 Juillet, il/capt. C... » ine fit un télégrammine ainsi congu:] Comme aux fattres prdcédentes, ie « Salini informed I everything | parlant de politique, je ne répondis Wait letter Karona, explaining » que | pas a celle du 13° Décembre eta tou- je traduisis comme suit: «Salint ajtes celles qua M.D. HL... uradressa informé I... de toutes leschoses. At-}pour ms presser d'eutreprendre une tendez lettres par Karuna avee expli-fexpedition contre le gouveruement cation. » ( piece E. ) Haitieo. | Ba effet, je recus de lui-ineime une enfin, je regus de lui une Jeltre du lettve datée du 2 Juillet, dans laquel-|8 Jain ( piéee H) avec une coupare le if me dit que le dit Salini avait dé-|de journal le tout concernant le capi- couvert & Mow... . cece eee tout ce qailtame C... qui «pense lui avoir fait s’était passé entre lui, D. UE et moijdu tort aupres de moi. » En deux fois en y amalyamant le noin de plusieurs |il mavait parle de ce capitaine C..., personnes avec lesquelles je n'ai ja-|mais au seul sujet de la traduction de inais eu de relations politiques di-;|mon livre et pas autrement. Je ne ré- rectes ; la lettre est de 7 grandes pa-)pondis pas non plus a cette lettre. ves et ne contient probablement que! Fresqwen meme temps, je recus un des mensonges. Ven inférai tout de/pli duo De A. P. H.., de Nassau, dans meme que c'est Me PD. HE. lai-meme !lequel je trouvai une longue lettre a Monsieur ]).!1... a qui se sera inis en relation avec|lui adressée par | c )\) vexé de n’avoir pas jla date du 7 inars 1900 parlant lonyue- été recu par moi dans son dernier}imen! de ce meme capitaine (..., de M. M.J.., M... etS... et entin de Mr R..., et de Mr R... Le D. H... s’était contenté de m’envoyer la missive avec quelques paroles de la Bible ! Cetta lettre ne m’étant pas adressée person- uellement, je Vai soumise avee la co- pie ci-incluse au consul général d’Hai- tia Saint-Thomas, Mr Louis Déinois, quiatla Voriginal et pourra certifier que la copie est absolument fidéle ( piece 1.) Ce qui résulte de la lettre du 7 mai 1905 au Dr H..., c'est que du mo- ment que Mr D. H... avait su que Mr G... était aun porteur de deépéches diplomatiques de.... au Japon, il con- voyaye a St-Thoinas. A cette lettre, comme aux précédeti- tes, je ne répondis pas un mot. Toutefois aprés la publication de mon livre, « M. Roosevelt et Haiti », dont les grands journaux américains avaient fait ’éloge, je recus deux let- tres de félicitations de Mr J. | Dans celle du 2t Septembre 1905, m’envoya un manuscrit de sa traduc- tion de la prétace de ce livre, qu'il me ptiade lui retourner aprés l'avoir exa- miné et de lui dire ce que j’en pense en Me proposant de tra fuire tout Pou- vrage en anglais. Comme il n’étail plus question dentreprise de débar- quement en Haiti et que je n’étais/gut lidée de batir une histoire et de pas faché de voir non livre traduit|/Padapter aux intrigues qu’ll_ me- en anglais, je lui répondis, en lui di-jmait autour de moi depuis une an- née et deinie, mais il faut noter qu’il disait alors que Mr R., avait 1a- prendre en son nom le droit dauteur,;/ché le dit capitaine C.,. en espion- en vue de |i publication de louvrage | nage sur ma piste afin de connattre en anglais, aux Etats-Unis, et de ven-;mes plans et de les lui rapporter. Ii dre ce droit 4 un éditeur, de sorte'priaitle Dr H... de ime faire savoir que s'il pensait pouvoir faire quelque | que j’étais dans une «trappe> et il m’é- chose dans la traduction, il aurait a | crivit un mois plus tard, que le capi- s’adresser audit Cap. O...... C. C........ | taine C... n’avait pénétré dans mes af- dont je lui donnai l’adresse. faires que pour me décanger !... En eflet, ce dernier avait passé a St Comme je savais que je n’avais au- Thomas vers le 20 Septembre et eetie c ine relation politique avec ve Capt. lettre du 21 Septembre ne m’était' 0 C...€ » qui ne s’était pas parvenue qoe vers le 29 duméme, meme Ovcupé scrieusementde la tra- mois. Mr C..., peut-€tre un autre far- duction de mon livre, j’écrivis quel- ceur, m’ayant exprim: sa graade aji- q.ies lignes au Dr H..... pour lui dire miration du livre, et assure qu’il pou- qu'il pouvait étre tranquille sur mon vait trouver un Editeur américain qui. compte et je ne répondis pas un mot | se chargeat de le faire traduire en an a Mr H....... | glais avec des avantages pour moi, j: Il arriva 4 St Thomas le 15 juillet; lui confiai cette affaire de traduction, sans que j’eusse 4 m’engager avec !ui dans aucun mandat politique. ( Voir la lettre du 21 Septembre et ma ré- ponse, piéces F. et G. ) sant que j’avais déja donne une auto- risation au Cupt. O G de eweertne = Ldsersoe m’avait annonce, mais je refusai en- chez moi. Yen repartit confus et 'dépité, mais il prit langue avec AMI, Vers !a fin de 1905, quand je cro-'jui se complait 4 le berner depuis | plice, Asséfille, yais que Mr D.H. . avait renoncé & me Juin 1905. Je n’entendais plus parler | lain, Mme Diogéne N. Bazile, Lubin Ma- révolutionnaire ,de Mr H....... . quand j’appris son ar- ler d’entreprise eer r rivée ici &lafla de l’année 1906 et contre le gouvernement hattien, je fus | a ,core toute entrevue et nele recus pas: rome S:-Louis, hotiére, Moliére Mathelier, Mime qu’il demandaencore 4 me voir: il ne réussit pas mieux que les deux précédentes fois ; c'est vers cette épo- que qu’il se concerta, d’apres ce qui m’est revenu, avec le..............e cee . ee seeee ee ececceeeeees +.) pour faire accroi re au Gouvernement Haitien que je Suis en connivence avec M. ...... ... . qui doit faciliter ma rentrée en Haiti. Certes, upresmon livre « Mr Roose- velt et Haiti » il est tout naturel que Mr y teeteeee ..... Qt pour moi de la sympathie plutot que de aversion et d’autre part, j’ai lui une réelle admiration ; mais c’est tout. Je respecte trop Mr .... pour qne jeusse jainais lidée de | demander de me fuvoriser des yens d/agir contre amicales ; et je me respecte’ trop pour fa'sser germer en moi une idée si anti-patriotique lors méme que we nee ceee secesucceccssseseesese. NE SeLrait pas Vhomine intégre qu’est M. . d’accord avec M. D. H... ou ce dernier seul vous font dire que jai une entente politique avec M. we eeeeee eee de nature a exposer lau- tono mnie de la Républiqgas d Haiti, ils font une ceuvre impie, de nature a aliéner d Haiti la sympathie et Pestime dune puissance respectable : c'est pourquoi mon patriotisme m’a oblige a mettre de coté toute autre considé- ration pour vous adresser cette lettre et incttre sous les veux dea votre Gou- vernement la conduite diabolique de M. J. D. IL......, un faussaire qui com- proimet le crédit du pavs avee de faus- ses actions d’une prétendue Société agricole d@’Haiti qui n’existe pas et ne Saurait exister, puisqu’aucune con- cession réguli¢rement votée par les Chambres Législativesn’a été accordée a cet homme ou a ses complices. D’autre part, quand Mr I. H . et d’autres premettent de faire découvrir au Gouvernement haitien un dépot d’armes ect de munitions que j'aurais @ Brooklyn ou ailleurs, ils ne font que le tromp2r pour lui soutirer de Var- gent, en faisant peut-étre usage de certaines lettres que quelqu’un leur adresse dans lesprit de se moquer deux etde leur prendre un peu de ce que vous leur donnez 4 pleines Mains. C’est donc Phonneur national, Vinté- rét moral et matériel, le bon renom et les finances d’Haiti qui comman- dent de vous faire savoir 4 quelles gens vous avez affaire. J’ai fait mon devoir de bon citoyen et l’ayant fait avec conviction, j'ai ma consvience déchargée, quoi qu’il en advienne. Veuillez agréer, Monsieur le Prési- dent, l’assurance de ma haute consi- ration. A. FIRMIN. PANTS DUTERS Départs Dimanche est parti le steamer AContréal 1906 et cherche & me voir comme il | vec les passagers suivants pour : Gouarves : C. Gentil, Justin Déjoie, Jé- Alice Jn Philippe, Lumé- pour | le | ui | MO- | cia Coicou, t un gouvernement | jamin, avec lequel il entretient des relations | Petit, 1 Quand donc, soit le.................. 60. | | . a yr eee ar + cee na Pélissier, Ultima Duvivier, Cécile Ma- | Salim Jean, Antilia Chate- ard, Amélie Célestin et enfant, Robert ortz et enfant. Ed. Sup- | nationale d’Haiti. | Pierre Paul Dorsainville a payer 4 Me F | sis Valérius Caillet la somme de St-Murc : Albert Labrousse, Mme Diogéne Narcisse, Mme Vve Pinch Télémaque Edouard, Alfred Dupiton, milie Grece, Henri Labrousse, Pére neau. Le steamer Salvador est parti ding. che avee les passagers suivants pour : Jérémie > Mret Mme fh. Bresh, ; Sylvera, Mme Ahrendts, Melle Dijon, Cayemitte, Annacifia Racine, Mme Claude, Mme Lanixa Castor, Sceur Anges, Sccur St Vivien, Mme Cécile B me, Sylvio fils. Cayes : Térémise Frangois. Sto-Domingo . Pére Félix de Mart Emiliano Alcola. : Sgo-de Cuba = “Arsenio Domtnguez, Domingo Péralta, Alice Bay Migucl Angel de la Roche, Bapti Louis Joseph, Félix Colon, RENSEIGNEMENTS METEOROLOGIQUES Observatoire DU SEMINAIRE COLLEGE St- MARTIAL Maro 11 FéEvRierR | | | Barométre a midi 763 ,.7/%9 | 1 Minimum 21644 t empératurelsasimun 32° 6 Moyenne diurne de la température 269; Le ciel trés clair le matin s'est couver graduellement l’aprés-midi. Vers 6 h. du soir, nuages orageux auN. Eclairs au N. et N. W. depuis 6h du sui jusque dans la nuit. Couronne lunaire. Le baromé:re en baisse assez force dam la journée s'est relevé pendant la nuit. Mouvements microsismiques nombreux mais faibles, dans la soirée et dans la nes R. BALTENWECK Tribunal Civil Audience civile du Lundi ro Feéurier 1908 Le Tribunal prend sicge a dix heures du matin, sous la présidence du Jags Champagne qui a entendu les affaires sur vantes ?: 1° Mine Hector Denis contre son é 2° S. M. Pierre contre Joseph Geftrard. 3° Décimus Cadet contre la Veuve Beat brun Roux. Nouvelle composition. Sous la présidence du Juge St-Rome, Aff ire en‘amée. ” Les consorts Legitimus Emmanuel, Claire Byamby Puis le siége est levé. Audience civile du rr Fevrier 1908 Le Tribunal prend si¢ge 4 dix heures da matin sous la présidence du juge A. St Re me guia rendu les jugements suivants: 1° — Celui qui ordonne le partage des communauté et succession de feu De pré Barbancourt. 2° — Celui qui déclare tardive la nonciation de Mme Vve Acistée Blain communauté de son mari et la condaall au paiement de P. 500 en faveur de la & me Nathalie César, 4 3° — Celui qui nomme oun autre ef pert en remplacement, du sieur Victor Cal sagnol décédé, pour le partage d’un ca de terre. . _ 4° — Celui qui condamne le siear # lime Chaptini 4 payer au citoyen Stet Hilaire la somme de quatre cent soixal neuf gourdes, dont deux centvingts piat enoraméricain et la différence_en mot Biamby cont# et consorts. 5° -— Celui qui condamne le —Celui qui déclare le citoyen &