P-9- la direction de notre Administration Financire A un citoyen des Etats-Unis, Agent Fiscal, malgr6 la Rui- ne determine chez nous par la gestion des Con- seillers financiers ambricains et le scandal JOHN- SON et on ne peut citer que celui-l puisque le Gou- vernement des Etats-Unis I'a publiquement proc!a- me : qui retire a cette gestion toute garantie de morality ; supprimant surtout le rl6e du Parlenent, puisqu'il n'aura qu'A enregistrerle Budget prealable- ment tabli par I'Agent Fiscal; substituant aux garan- ties ldgales que le Maitre avait impose pour un Emprunt de 40 millions de dollars, I'esclavage du Peuple en garantie du solde restant de Dix Millions sans tenir aucun compete des vols qui sont A la base de cet Emprunt et qui ont determine le GouvL- 'e- ment des Etats-Unis 9 abaisser les Dettes contrac- tees A mmme 6poque par d'autres Nations, sans tenir compete de la Baisse VOULUE du Dollar par le Cr6- ancier, veuille se conformer aux prescriptions du Code d'Instruction Criminelle qui le mettent dans l'obligation de denoncer tout Crime don't il a connais- sance ! On pourrait lui retire la parole sous pretexte qu'au- cune mention n'en est faite dans le Message ? Pourquoi aurait-on un Parlement ? Ceux qui le composent ne seraient-ils pas des hommes ? A part son caractere franchement criminne qui oblige A en parler, I'exception de Force Majeure que l'on pourrait avec raison soulever, deux raisons; une d'Ordre Moral et une de Date obligent le Corps LE- gisatif A etudier I'Accord. La l6re est que la convocation A l'Extraordinairie n ete laneee tout de suite apres le retour de voyage de M.le President de diff&rents centres. Or, au course de ces visits officielles, sortant des prescriptions cons- titutionnelles qui placent sa personnalite au-dessus