INTRODUCTION DE PLANTS DE SEMENCE PROPRES DE Dioscorea alata DANS LE SYS! TEME DE PETITES EXPLOITATIONS EN DOMINIQUE. G. Robin, S. Bellon, B. Clarke, H. Juridic, H. Adams et M. Gentho. CARDI, Botanic Gardens, Roseau, Dominica, W.I. F.T.C., P.O Box 368, Roseau, Dominica, W.I. A partir d'enquetes sur les systimes de petites exploitations agri- coles en Dominique, 1'Institut caribeen de Diveloppement et de Recherches Agricoles (CARDI) et la Cooperation technique Franqaise (F.T.C.) ont re- connu que 1'absence de plants de semence d'igname sains etait un obsta- cle majeur dans la production. L'INRA (Guadeloupe) et le CARDI (Barbade) ont au course de la dernimre d6cennie, developp la production de cultivars de Dioscorea alata respectivement resistants A l'anthracnose (Belep et SEA 189) et test A l1'gard des virus (White Lisbon). De 1981 A 1982 des 6chantillons de ces materiels ont ete introduits en Dominique dans le but d'attenuer cet obstacle. Cet article dicrit les m6thodes de developpement et de recherches en exploitation utilisges par le CARDI et la "FTC" pour introduire ces plants sains d'igname dans les systimes de petites exploi- tations agricoles de la Dominique. Les rlsultats obtenus a ce jour sont discutes ici. PERTES APRES RECOLTE SUR FRUITS ET LEGUMES. R.K. SHUKLA presented par (JAMES C. ROYER. Ce qui se perd apr8s la rEcolte, sur fruits, legumes, products alimen- taires et autres denrees perissables, si on pouvait le conserver, pourrait nourrir des millions de personnel souffrant de faim et de malnutrition dans de nombreux pays dans le monde. Les plus fortes pertes frappent sans doute les fruits et les l6gumes. Les fruits murs et les lEgumes sont tras sensi- bles A l'invasion par des microorganisms pathogenes specifiques. C'est parce que leur teneur en eau et products nutritifs est elevge. Apres re- coltes, ils ne sont plus protgges par les facteurs intrinsiques qui les rendent resistants pendant leur developpement sur la plante. Les fentes de croissance et les blessures au course de la recolte, du transport et du stockage sont aussi responsables de pertes. Celles-ci varient aussi sui- vant les divers types de fruits et les saisons. Les pertes sur fruits ten- dres sont plus elev&es durant les mois d'6tg que pendant 1'hiver, en con- ditions tropicales. Pour satisfaire la demand present et future en nour- riture dans le monde, des programmes de developpement ont eti mis en train en beaucoup d'endroits. Ces dernieres annEes, la possibility de diminuer les pertes apres recoltes a 9t6 aussi reconnue come un moyen efficace pour accroitre le niveau de production capable de satisfaire les besoins de la population existante et de sa croissance future. II y a aujourd'hui une meilleure comprehension du problem aussi bien de la part du produc- teur que du consommateur. PARAMETRES TECHNIQUES ET ECONOMIQUES POUR L'ADOPTION DE SYSTEMS DE SE- CHAGE SOLAIPE DANS LES PETITES EXPLOITATIONS AGRICOLIE Clement K. Sankat Department of Mechanical Engineering, University of the West Indies, St. Augustine, Trinidad, W.I. Un problmme majeur des exploitations produisant des denrees saison- niires et perissables demeure l'effet negatif sur le revenue de 1'exploi- tation en consequence des surplus saisonniers. Le sechage de telles den- rees pour faciliter le stockage, la commercialization et l'utilisa- tion donne um excellent occasion d'am6liorer le revenue de l'exploita- tion autant que la disponibilite g6nerale de ces denrdes a la fois pour les consommateurs locaux et rangers. Le sechage traditionnel en plein soleil de denrees p6rissables telles que le gingembre, la groseille, le piment et les crevettes, est largement pratique dans les Antilles quoi qu'A une echelle limitle, par de petits exploitants agricoles, habituel- lement, avec des surplus du commerce de products frais. Un systime de sechage solaire simple, utilisant le type de sechoir i convection na- turelle A tiroir (ou "boite chaude"), est un substitute au systime tra- ditionnel de s6chage au soleil. Pour les Detits exploitants (0,25-2 ha) les couts d'utilisation de tels systimes sont compares, a l'aide d'une imodalitd technique et economique explicitee.Des equations permettent de, peadire le taux de reduction de humidityt6, la dimension et la capacity. ^- no 1P rCoNtA fixes et de fonctionnement. PRODUIRE DES VARIETIES DE TOMATE TOUT SAISON. J. W. Scott, and W. L. George, Jr., Gulf Coast Research & Education Center, 5007 60th Street East, Bradenton, FL 34203. Des genotypes de tomato ont Iti tries au champs pour les capacities de fructifier (nouaison) a des temperatures elevees ( 33C pendant jour, 210C, la nuit) et aussi a forte humidity. Plusieurs genotypes ont eu une bonne nouaison mais parmi AVRDC au Taiwan le CIIId, tres connu pour sa tolerance a la chaleur, est la lignee la plus utilise dans les tra- vaux. Les caracteristiques des fruits etant choisies: grande dimension, fermete, tige non jointe, bonne forme, couleur, maturation uniform, bout lisse et pas de craquelure; les resistances aux maladies etant incorpories comprennent fletrissure au Fusarium races 1-2 et 3, (tache grise de la feuille) Stemphyllium solani Weber, fanure bacterienne (Pseudomonas sola- nacearum E.F. Smith) tache bacterienne (Xanthomonas campestris pv. vesi- catoria). Dans le but 'de renforcer la capacity de garder les fruits, un gene de parthenocarpie (pat-2) a ete incorpori dans les genotypes de la tolerance a la chaleur. En 1983, deux lignees pareilles obtenaient des rendements egales ou superieurs au CIIId sous condition de plus forte et plus faible temperature respectivement. Cette combinaison de gene aurait about a des lignees risistantes aux maladies qui garden leur fruit sous haute et basse temperature, sousgforte humidity, conditions contraire a la pollinisation et qui conservent bien leur caracteristiques horticole. VOL. XX-PROCEEDINGS of the CARIBBEAN FOOD CROPS SOCIETY ETUDES AGRONOMIQUES ET SELECTION DU SORGHO A PUERTO-RICO A. Sotomayor- Rios et S. Torres-Cardona. Les principles activities de recherches sur le sorgho (Sorghum bico- lor (L.) Moench.) conduites A la Station de Recherche d'Agriculture Tropi- cale (TARS), MAYAGUEZ, Puerto-Rico, durant les 2 ou 3 dernieres annees, sont dicrites. Les risultats peuvent atre resumes come suit : cooperation avec la Station d'experimentation agricole du TEXAS pour l'exploitation de 240 lignees indiffirentes A la longueur du jour issues du programme "Con- version du Sorgho" ; evaluation et classification de plusieurs nouvelles collections ; evaluation de nouveaux cytoplasmes et test de leurs reac- tions quand ils sont croisis avec les lign6es converties ; evaluation d'hy- brides de sorghos-grain et fourragers ; comparison d'hybrides fourrages sensible ou insensibles A la longueur du jour et production d'hybrides simples et trois-voies. D'excellents nouveaux hybrids simples et trois- voies sont capable d'avoir des rendements superieurs A 25 tonnes de four- rage sec en 180 jours. Des populations creees ricemment ou en course de creation au TARS en cooperation avec d'autres chercheurs comprennent du matriel pienStique avec un potential de faible teneur en acide hydrocya- nidrique (HCN), de haute resistance aux maladies (rouille, anthracnose, ucarium) et d'un potential de rendement ilevi. CE QUE SIGNIFIE CBAG ET COMMENT IL FONCTIONNE. Dr.Neal P. Thompson, Assistant Dean for Research, Institute of Food and Agricultural Sciences, University of Florida, Gainesville, Fl., Dr. John W. Sites, CBAG Program Manager, Dean for Research Emeritus, University of Florida, Gainesville, Fl., 32611. La Recherche Tropicale et Subtropicale de ce programme est autoris6e par la Section 406 de Agricultural Trade Assistance Act of 1966 (P.L. 89-808). Elle donne droit au Secritaire d'Etat de 1'Agriculture de conclude des contracts et accords avec les Colliges et Universitis de Dons Agraires (Land-Grant) et autres institutions approprides. L'Histori- que du CBAG(Caribbean Basin Administrative Group), une description de son appartenance, une discussion sur ses functions y sont prisentis. Ils seront suivis d'une presentation des objectifs du programme et d'une enu- miration ainsi que d'une court discussion sur les aspects prioritaires de la recherche qui sont d'un intiret special pour ce group. CLASSIFICATION DES ETIOLOGIES DE LA FLETRISSURE DES CITRUS EN FLORIDE, EN EN AMERIQUE DU SUD ET EN AFRIQUE DU SUD. L. W. Timmer, R.H. Brlansky, R. F. Lee, and J.H. Graham, University of Florida, IFAS, Citrus Research and Education Center, 700 Experiment Station Road, Lake Alfred, FL 33850 USA. Ce project a 6t6 conduit afin de difinir les chutes ou dipErissement a etiology inconnu, de faire les recherches sur les combinaisons entire souches modiries confirant de la protection centre le virus de la fl6tri- ssure des citrus (tristeza) CTV, et la nature virale du psorosis en coo- peration avec les scientifiques du Br6sil, de 1'Argentine et de 1'Afrique du Sud. Une technique d'inspection a la seringue a 6ti developpee pour un diagnostic rapid de la fl6trissure du citrus. Des tests conduits sur les ichantillons recueillis par les chercheurs des ces regions ont indi- que que ces types de dipirissement sont semblables a la flitrissure trou- v6e en Floride. La reduction dans le port de l'arbre affect semble provenir d'une baisse du flux de la ssve par des obstructions mal dEfinies dans les vaisseaux du bois. Des experiences a long term sont mises en voie en Floride et en Argentine pour dcouvrir la nature de l'agent causal qu'il soit lie B l'air ou au sol pour sa propagation. Au Brisil des tests a souche modirte du CTV de Floride ont debuts (Cross protection). En Argentine des 6tudes companies sur la transmission et la purification par voie naturelle (naturally spread psorosis) sont en course, et en Floride, sur le ringspot virus du citrus. f___ INDUSTRIALISATION D'UNE INSTALLATION DE TRANSFORMATION AGROALIMENTAIRE A PETITE ECHELLE. Reginald H. Walter, Cornell University, NYS Agricul- tural ExperimentStation, Geneva, NY 144456, USA. On batit un module pour industrialiser 1'approvisionnement alimen- taire local sur une association entire le gouvernement et le secteur pri- vi, o le premier limited son engagement A l'apport de resources physi- ques et A la collect de donnees et le second assume la responsabiliti de la gestion. Une offre 6troite et parfois aliatoire de matieres pre- mieres exclut que 1'on base une nouvelle tape de croissance seulement sur le produit initial o le group de products initiaux. Le cout level d'acquisition des units de transformation rend irrialisables d'autres investissements ultirieurs que ceux correspondent A des augmentations de capital apris les d6penses iritiales. EPIDEMIOLOGIE ET CONTROL DU CHANCE BACTERIEN DE LA PAPAYE CAUSE PAR UNE ESPECE D'ERWINIA A STE. CROIX, U.S. VIRGIN ISLANDS. Robert R. Webb CVI-AES, P.O. Box 920, Kingshill, Ste. Croix VI 00850. Une espece d'Erwinia a lti identified a Ste. Croix comme l'agent cau- sal de chance systimique sur la tige, chance ferme ou aqueux et aussi responsible des lsions sur les feuilles anguleuses et aqueuses. Les arbres atteints de la maladie meurent dcs 1'apparition du chancre. L'agent pathogine ne survit pas plus de deux (2) semaines dans le sol mais peut continue i survive indufiniment dans les lsions de la feuille ou de la tige des arbustes affects ainsi que sur certaines feuilles de planted non riceptives. A part la quanrtiti d'humiditi requise pour la propagation (dispersion et/ou fixation) il n'y a pas d'indication precise pour le dcgre d'humiditi n@cessaire a l'infection ou la survive du pathogene sur ia surface des feuilles. Les tentatives de control de la maladie par l'usage d'anti- biotiques, de bactiries commercials et d'antagonistes bactiriens se sont r6v61ies infructueuses. Toutefois une tris. forte resistance a iet note chez de nombreuses variitis originaires de Ste Croix et des Caraibes orientales. Les varieties commercials de -Hawaii, Puerto Rico, Costa Rica, Jamaique se sont rieveles tres receptives a la maladie du chance. 319