-CARACTERIDTIQUES AGRONOMIQUE DU TOURNESOL A FIN ALIMNF.TAIRE EN FLUORIDE. Victor E. Green, Jr., Building 757, IFAS, University of Florida, Gainesville, Florida 32611 USA Les tests sur le tournesol comestible et des vari6tIes cultiv6es pendant les ann6es 78 et 80 dans le Centre Nord de la Floride USA sur des sols sablonneux, sous 1'effet de secheresse ont permits de classifier 22 cultivars de ces striped grosses graines utilisees preparer des ali- ments que ce soit en parche ou dlcortiquees, sales ou non sales, soit pour la nourriture des oiseaux aux fins precit6s. Ces tests 6taient ac- complis en deux endroits et les plantations eurent lieu en ftvrier, mars, avril et aoGt. Les donnmes obtenues d6montrent que le tournesol pourrait etre ajoute A la listed des cultures mixtes ou associees et convenables aux p6riodes altern6es de s6cheresse au printemps ou tard en automne grace a son enracinement profound et sa resistance au froid. Le principal obstacle est bien la alternaria de la feuille ct la tache noire de la tige causees par les champignons alternaria helianthis (Hanof) Tubaki et Nishi- hara. La premiere manifestation de ce genre de maladie epiphyte s'est r6v6lee pr6cisement sur ces parcelles et cells avoisinantes. Les donnees metoorologiques collect6es ont compris cells sur la pluviometrie, 1'el6- vation de la temperature diurne et la radiation de 1'activite photosyn- th6tique total. ALTERNATIVE AGRICULTURE: SON ROLE DANS LA PRODUCTION ALIMENTAIRE DANS LA REGION CARAIBE. Thomas B. Harding, Jr., Pr6sident, Institute For Alter- native Agriculture, 201 Center Street, Stockertown, Pennsylvania 18083. L'inflation au niveau mondial et les prix 6leves du transport ont Exage6r les colts des aliments de b6tail, des engrais, des aliments au- dessus des moyens des populations caraibeennes. Entretemps, la demand des products alimentaires de base augmente si fortement qu'on peut entre- voir une crise alimentaire et aussi celle de la sante. On y trouve nun remide qui est une excellent agriculture dite d'alternative i.e. une activity@ agricole exploitant de plus en plus les resources du pays non encore suffisamnent utilis~es. Cola veut dire reprendre les dechets ani- maux, les soumettre aux dernilres decouvertes technologiques-pour en faire des products convenables aux usages domestiques come aliments de betail et fertilisants. Cela veut dire aussi cultiver le soya et d'autres graines ollagineuses avec profit, pour en extraire des aliments riches en energie et'en protein. Cela veut dire encore produire du compost de qualit6e partir des d6chets des cultures et des ordures nenageres. Cela veut enfin dire de combiner les acquis de'la science aux bienfaits de la nature dans une activity agricole afin de nourrir plus de monde. Ceci a pour denomination (Alternative Agriculture) ou la "Bio-organique". LuTTE CONTRE LES MAUVAISES HERBES DANS LES SYSTEMS DE PETITE EXPLOITA- TION. John L. Hammerton, Caribbean Agricultural Research and Develop- ment Institute, CARDI, P.O.Box 971, Castries. St. Lucia, W.I. Les petits exploitants de la Caralbe oriental peuvent passer plus de 30% du total de la main d'oeuvre a la preparation du terrain et encore 30% dans la lutte centre les mauvaises herbes apr&s plantation, selon le systime de culture. Les m6thodes reposent largement sur le tra- vail manuel, avec coutelas, houes, fourchettes et 1'extraction des her- bes A la main. Le seul herbicide utilise a n'importe quelle dose est le paraquat. Les contraintes nuisant I l'adoption de technologies am6lio- rees comprennent la disponibilit6 nonEraire, la pratique de la culture intercalaire ou en melange et la complexity de beaucouD de systvmes d'exploitation. Beaucoup d'herbicides sont sensibles a la pluie et de spectre souvent 6troit. Une approche heuristique est necessaire I 1'in- tegration de la lutte centre les mauvaises herbes dans le systIme de culture tout entier. Des lines de force pour le type de systtmes de lutte am6liortes centre les mauvaises herbes sont discuties. Elles pro- posent 1'intpgration de diff6rentes technologies, commenlant avec les preparations du terrain et se poursuivant apris la recolte. Des exem- ples sont donnes pour different systvmes de culture, et les besoins :-e" matiure de recherche et de develoDpement son identifies. RELATION ENTIRE LA VULGARISATION AGRNCOLE ET LA RECHERCHE DE SYSTEMS DE PRODUCTION AGRICOLE DANS LES CARAIBES. T.H. Henderson, C.A.E.P., Botanic Gardens, Roseau, Dominica, W.I. Dans les pays de la Communaut6 Caraibhenne de Langue Anglaise, la Recherche sur les Systemes d'Exploitation Agricole est d'ordinaire conduite par l'UniversitI des Indes Occidentales (UWI), l'Institut de D6veloppement et de Recherche Agricole des Caraibes et les Organismes de Developpement des Cultures Speciales telles l'Association des Planteurs de Bananes des lies sous le Vent. Les resultats de ces recherches ne peuvent avoir d'im- pact sur le dlveloppement agricole de la region tant que les agriculteurs et en particulier les petits exploitants ne sont pas motives pour rlagir positivement et en accepter les recommendations benefiques. Le Projet de Vulgarisation Agricole pour les Caraibes, lequel est un effort conjoint de 1'UWI et du aMidwest Universities Consortium for International Activities, et est financel par 1'USAID, adopted une approche de systemes de vulgarisa- tion en aidant les pays participants a reviser et a reorganiser la function, la structure et le fonctionnement de leurs .services de vulgarisation agri- cole. Ces pays sont entire autres Antigua, Belize, Dominique, Grenade, Montserrat, St. Kitts/Nevis, St. Lucia and St. Vincent. Quelques perspectives sur le r8le de l'aquaculture dans le d6veloppemend de la petite exploitation dans la zone antillaise.J.A. Hargreaves, C.V.I. A.E.S., P.O. Box 920 Kingshill, St. Croix, U.S.V.I. La competition pour le terrain et les faibles resources en capital dans l'economie des lies imposent que les entreprises d'elevage de pois- son orientles vers les petits producteurs consomment avant tout du tra- vail. L'usage de systlmes d'elevage simples, utilisant les d6chets et residus agricoles come bases nutritives avec integration avec les au- tres activities de la proDrift6 serait ce qu'il y auait de plus appro- pri6 par les cultivateurs a temps parties, ou disposant de peu de sur- face. Les revenues vitaux des pecheurs artisanaux equivalents marines des petits paysans sont menaces par le declin de la productivity des eaux peu profondes sur les r6cifs, ainsi que par les augmentations de prix des carburants et autres fournitures. Des techniques am6lior6es de gestion des r6cifs, introduction de nouveaux materiaux de peche, et de technologies simples r6duisant les pertes du poisson peche, ain- si que des projects d'aquaculture citiere pourront revitaliser les pe- cheries locales. Une approche de recherche-developpement en aquacultu- re orientge vers le petit producteur, aussi bien qu'une evaluation con- tinue des facteurs biotechnologiques, socioiconomiques et politiques i-uant sur les transfers technologiques en aquaculture est necessaire- pour le succis r6el des projects. De plus, les gouvernements insulaires doivent d6ployer activement une politique qui donne priority a 1'evolu- tion du petit paysan. PRODUCTION EXPERIMENTAL DE BIOGAZ A PUERTO-RICO. Julius L. Heinis, Flori- da A & M University, Tallahassee, Florida 32307. (Dirige par le Dr. Donald Sasser, Responsable du Projet, Center for Energy and Environment Research, Mayaguez, Puerto-Rico). Au course de 1'ete de l'annie 1983, des essais furent r6alises en lai- terie sur un digesteur module. Une boue de fumier de vache A 9% fut char- gee dans cette unite de 170 gallons Des additions quotidiennes de 14, 21 ou 7 gallons suivant l'experience furent faites. La production de gaz de- marra apris 2 jours quand une odeur de H2S fut detecte. Plus tard, les gaz furent du methane (51% puis 70%) et 47% de C02. La production quoti- dienne de gaz fut variable, en moyenne 7001/jour. En deux occasions, la production de gaz fut contr8lle here par heure pendant 24 heures, et ne varia que legLrement avec les fluctuations de la temperature. L'addi- tion de 14 gallons represent un temps de retention de 12 jours (volume du digesteur/apport). Les observations servent a la conservation d'un grand digesteur pour le troupeau laitier de 50 vaches. Cette grande unite est maintenant (mi-1984) pris de son achievement. PERSPECTIVES DE LUTTE CENTRE LE VECTEUR DE LA CHLOROSE LETHALE DU COCO- TIER DANS LES PETITES COCOTERAIES. F.W. Howard. Deux moyens de traiter la chlorose 16thale sont couramment disponi- bles : (1) des injections periodiques d'antibiotiques dans le tronc, et (2) les vari6tes resistantes et les hybrides. Une preuve exp6rimenta- le r6cente a impliqu6 un puceron Myndus crudus Van Duzee comme vecteur de la chlorose 16thale. Les r6sultats d'une experimentation dans la- quelle des cocotiers en parcelles de 1,5 ha ont 6et traits avec des in- secticides pendant 14 mois font penser que la lutte chimique centre cet insecte comme moyen de lutte centre la chlorose 16thale ne serait pas praticable dans la plupart des cas et en particulier dans les petites cocoteraies. Le fait que les forms immatures de M. crudus utilise les herbes come plante hote peut etre une solution pour la lutte centre cet insect. Des observations sur le terrain laissent a penser que le taux d'expansion de la chlorose lethale peut etre relief au type de couverture du sol dans les cocoteries. Des experiences sont en course pour tester divers fourrages et plants dicotyl6dones come h6tes de M. crudus. La recherche en course sera discutee ainsi que les perspec- tives pour 1'integration 6ventuelle des herbes r6sistantes a M. crudus et autres planes dans le system de petite exploitation. LA RESPONSE DES LEGUMINEUSES A L'1NQCULATION PAR RHIZOBIUM A ST. KITTS, W.I. D.H. Hubbell, J.B. Sartain, and J. Million, Department of Soil Science, University of Florida, Gainesville, Florida 32611. En cooperation avec (CARDI) Institut des Caraibes pour la Recherche et le Developpement Agricole, un project de recherche a 6et engage pour 6valuer l'inoculation par Rhizbium come une trchnologie devant utiliser peu d'Energie pour le coGt de 1'intrant dans la production des l6gumi- neuses a graines dans 1'Tle de St. Kitts (W.I.) Les experiences au champs ont ete menees au centre de recherche du CARDI a St. Kitts. Les 16gumineuses a graines qui ont rt6 testees dans le debut comprennent 1'arachide, pois inconnu, pois soya, haricot sec et pois congo cajann). Les traitements utilisEs ont compris: a) engrais azote a 100 Kg N/ha, b) inoculant sous forme de poudre, c) inoculant sous forme de granule et d) temoin pas de fertilizant ni d'inoculant. Un total de 23 cultivars etaient tested. Les resultats ont des le d6but indique une reponse signi- ficative I 1'inoculation des pois sees (2 des 3 cultivars) et pour les soyas 2 sur 2. 'L'effet des pH eleves sur la survive des "post-larves" de Macrobrachiu rosenbergii. Charles G. Hummel. Department of Marine Sciences University of Puerto-Rico. Mayaguez, Puerto-Rico 00708. En ajustant le pH par addition de solution de soude 8N, on a deter- mine la reaction de post-larves rlcemment metamorphosees de Macrobachiuar rosenbergii I des pH variant de 7,5 a 12. De 7,5 a 9 on n'observe aucun effect visible sur les post-larves. A 9,5, les animaux sont affaiblis et les mortalites surviennent. A 10 et au dessus on observe des mortalites en masse. On a Evalue aussi 1'effet des pH elevis resultant de la photo- synthlse des algues, dans des eaux presentant une forte "floraison" de phytoplancton. De forts taux de mortality sont observes dans de l'eau avec beaucoup de phytoplancton et pH eleven (10 1 10,5), en comparison avec de l'eau plus claire I plus bas pH (8,5 1 9). PROCEEDINGS of the CARIBBEAN FOOD CROPS SOCIETY-VOL. XX 314