LlS MORNEB baB CAROa In cas enfonc6s dans la terre pour former cl6- lea habitants out construit de pauvres mai- i'n terre battue dans leurs champs de coton ib petit mil. L'aspect do pays est triste et fiechi: les cotonniers, que I'on n6glige'de er, deviennent de v6ritables arbustes. Nous bies & 1'6poque de la eueillette, qui com- ite Alafin de janvier, poursetermineren mai; tles tiges noircies et ddpouill6es, le duvet, .g6 de graines, s'6chappe des gousses fl6- SI; quelques elurs jaunes on rouges persis- tencore, pour la foraison du printemps'. La, de de 'Artibonite n's jamais et riche ; ells iebche, assez peu people ; les colons n'y tblient que l'indigo et le coton ; les travaux llotin, mis A '6tude, n'avaient pas td repris, ayant Wte reconnus trop co6teux ; lea |S d'eau, pratiqu6es par les riverains sur le ft, itaient constamment enlev6es par les Jjardina no se forment que sur les boards tiboniteo, aux approaches du pout Sond6e. t1,toton de Salt-Domingue fat, d6s l'origlne, de qea- et ne pouerat etre compar6i celui du BSail lueu 6iMenmles. D'alloeur, les cotonneries itaint Uthactres oa6 le planters avaient ensgag 1 capital; elles no produseaient gaure plus dq deo line pit n.