SSaUmT-mac Wa . soir-lk, dans une petite mason situde vis- Is.de cell de MM. Boutin, on enterrait incien juge de paix, M. Victorin Syl- ,mort la veile. 11 y eut un grand mou- nt dans la rue; puis, au milieu des g6mis- tnts pouss6s par les femmes de la famille, o0rbillard vitrN, accompagn6 de negrea 6mnachde, emporta le corps au cimeti6re, S. cette pompe fun6bre voyante et grotes- 4 habituelle aux pays du Sud. Une demi- e apr6s, la foule ttait revenue pour envahir ouveau la maison, od se trouvait pr6par6e, SI'enterrement, la collation d'usage. On y ut du rhum a tout venant, et lea oisifs, tou- -dispos6s a manger et& boire aux frais d'au, Mux que le dialect creole d6signe sons de ethionels, accouraient k l'aubaine de coins de la ville. Quapd tomba la nuit, tgroupe de soldats depenaillis parcou- rues, en sonnant la retraite sur des fifres, mpettes et des tambours. La retraite devant la maison mortuaire, et, sans Ipre la musique, chacun des soldats i tour de 6ble boire a la sant6 du A7 oepres, on plaga deo gardens au Bla mer, pour empicher a oontrebande; Iobach-ie appartint aux groups de