me ma n tagne; o'est le Trou-Forban. Lee morness.4 foment ainai nombre de cavernes, que les gI du pays appellent des Irow hggnes, et qui, p sent pour avoir servi jadis aux mystbres dfj religious indienne. Avec esprit auperatitle de la race n6gre, le people haltien s'est o prese6 de lea peupler de gdnies malfaisants;I lea entourant parfois de terrible Idgendesa. matelots, qui naviguent dans le canal de SaiW Marc, recontent que le Trou-Forban eat la di mere d'un sorcier puissant, qui, chaque nit sortirait de sa cavern, pour se rendre A& gane, au travers de la baie, dans un char at"i de quatre chevaux marina. II va sans direi ce sorcier est an 6tre mauvais, sans vq appliqu6 A nuire a l'humaaitd voisine; at| n6gre s prdoccupe surtout des esprits dur Une nuit, revenant de la Gonave avec soam fant, un p6cheur entendit une voix qui lui en Cole: a Ollol Ban m'pilite-6, non I Di mol done cet enfant-la. m II crut avoir alt as marquis de Choieeal, et ette conceseion sa n nahtae ou b6mdcalire, an 1 7, moyeamnut un pe UI.0 lw tounaola. La Gonave at encore pea elUeappartiant aun piabouhe, et quelques habltant e64te voaines y oat entrapris des culture devir 1. Le.dklaete role multiple I cheque smmbre tea eleumatoan: oti It t non I, peant doneer de ffre ai discoumw.