I; LA mIVER rnoma s IsS aspersions faites avec du tafia,.en I'Oau b6nite; plusieurs couples de par- Sde marraines propos6rent des noms. mraraipFs dtaient venues de Port-au- j, des rues Chemisette, Coq-Chante et se-Cotte, residence ordinaire des de- ilUes de peu de vertu. Vers la fin de la 0iivante, aprAs les danses coutumieres, lgregation s'embarqua et s'en fut, i tra- Sba.aie, jeter des a mangers. A la mer, , Pachever de se rendre propice Mattre le dieudes lots. loaontant la gorge 6troite de la Riviere gon atteint, Isl premiere a passe d'eau i, btiere Jean Comte; sous les arbres, *4 tonmbes en maconnerie, de forces va- nsc des trous creus6s pour les man- tItles bougies. II eat de r6gle que.chaque IPin poss6de son cimetibre, sis..en up |sert,. l'4cart des cases et des. cultures es n6gres, la mort est chose grave, moins ptponr ceux qui s'en vont que pour ceux 8aent les d6funts passent A l'6tat d'es. dieviennent mauvais comme leursto- $B;et la mort les lache A travers la nature, r ent fire aux vivants un mai infin . on regarded comme chose .impru- 14 ... O