LA RITIaRB iFOIE 195 :.&l contrebande, rdside & Port-au-Prince., oj fours & chaux sont rests, lee sucreries itsn ont disparu; A Bizoton, une ancienne inite d'eau long la route; les blanchis- |ea occupent les galets des rivieres; la c6te |aux divertissements des gens de Port-au- nC. Ce ne sont que guinguettes, gagaires :aisons de champagne. Un des points de la Ss'appelle le a bain de Madame Leclerc n, souvenir du s6jour & Saint-Domingue de sne Bonaparte, femme du g6n6ral en chef |Expddition franvaise. De ce c6t, plusieurs de I0mpatriotes sont propridtaires : MM. Gos- AThibault, un vieil employ de la Banque Spule d'Harti, Tesserot, un pharmacien venu Guadeloupe. Plus haut vers le morne, I'ha- n Diquini, avec une grotte creus6e dans ie de la montagne, avait 6t6 am8nagde n6gociant francais, M. D6jardin; & sa elle revint A son gendre, un Allemand, rs, et ses petits-enfants y forment main- toute une colonies. M. Daniel Laders a 6t6 Paris, au college Stanislas, et vit Ie vnt e n France; il exploit, sur son e, une plantation detabac et une fabrique ,manueuvre par des ouvriers jamal-