gueur deo lois 1. Tout autour,les b6tes de chai sont attaches le long des haied, gardant suW dos leurs panneanu de roseaux et leurs toq. releides en arri6re, pour recevoirles sacs-pai Les gens venus d'au deli des mornes, du M I. U n'existe presque plus da recoln dans lee gramBde tille, oa noe s soil instale6, plus on molne uombreuse4 colonle syrianne. H y a une vingtaine d'annee, apparulI dans cette parties de I'Am6rique, lea premiers 6migranti la cte de Syrie, aves des paceotles d'objete de pilti briqu6s en Terre Sainte. Sur lea b6nflees r6alis6s, cea se rent, dans les campagnes, colporteurs de means. duits de industries europ6enne ou am6rieaine : merst qulcaillerie, papeterl. Le temps init par lear eri capital st plusleurs sont malntenant devenus de v6rttl coammreants, appuy6s sur lee maisons de commission d6ee par des Syrienue Paris, New-York et Manchst terme gn6rique de Syrlens a reeouvre, dane lea gan Antilles, lee populations les plus diverse de rAsle Mi rieure: d'abord, lee Maronites, qui sent le plus grand I bre, puls des Orthodoxes, et des Melkites, quelques aid mam ou M6tualis, beaucoup de Juift de la Syrle, de nla et m6me de I'nde. Lee lyriens eont particull6rement nombreux en H lis atteignent le chiffe de .000. Use loi de 1894 a eu lear Interdire, ainsi qu'aux Chinois, 'acebe du territ0o 1a R6publique, ils ne essent do s'y multiplier. Deu 1 sons, dites syriennes, mais en rdalit4 juiver, Sil Benjamin Ezraqui eat de Beyrouth, ont cr66 des o dans tous les ports,lee petits marhands eyriens des d et de nombreus colporteurs on obdiemhent dee edi dietribaent lear marchandises. Lesdenx tiers de la colonies syriene d'HaltJriod Portt-a-Prince et dans la banlieue de la capital, te cUpji au ndgoce. II an existed de moindret groupemti Cap aux Gonalves et aux CMay. Pourdbassed par le t&t, is devlaftet rares dime a lcampagne : 03'k- pendant ptn un Syrieangeiieazu, qui, ayant ipo6id ugresse, 'a tali 6tabli papalol dans lee momes doe.