at I6aI-DnS-BoOQUWr A L'TrANG SAUNATRE 151 u. n ann6es plus tard,les fermiers francais oticheries furent autorises a venir acheter &itnt dans les hattes espagnoles. Moreau de I 7ry estimait l'importation annuelle & U tates, valent deux millions de lives 9i0. A l'heure actuelle, lee savanes des ,ateaux de I'Artibonite, au nord du Mire- q appartiennent A la parties frangaise et Wi~ent la plus grande part du bhtail hal- ais l'offre ne suffit pas aux besoins d'1llati, iii toujours en rechercher l'appoint dans la eespagnole. Le march haltien continue liyiir d d6bouchd natural aux savanes do- On'es des hautes valldes de 1'Artibonite et iuI du Sud, de Saint-Jean de la Maguaia Tefyba. Chaque semaine, dieveurs, cour- t revendeurs dominicains franchissent i 6re a la tAte de leurs troupeaux, qu'ils jet presenter B MaIssade, sur les Hauts- iz,pourle Nord, et au Pont-Beudet, pour S6urs centaines de bceufs s'alignent, i ait6 du march, sur la route du Morne-a Les. Les bouchers de Port-au-Prince et des It. villes de la presqu'fle mdridionale y Stcheter la viande sur pied; lee ca: 1rie s'y procurent les paires, lea mneo w