mN WAI Durant la matin6e, le sentier est tres fr6q. C'est un constant d6fil6 de paysannes, ar des mornes, vetues d'une robe de cotoa bleue, relev6e A la ceinture, pour ddgagaj jambes, et les pieds nus. Elles vont de cet| la fois gracieux et nonchalant, si, particulieiA n6gresses des Antilles, tenant sur la tate, dessua le foulard de leur fignon, Ie panier:j le lait, les fruits et les ldgumes, qu'elleks vendre au march prochain. Les plus I| rares, d'ailleurs, dans la montagne, descent Scheval ou & Ane. Plusieurs portent deoi leur dos, dans une serviette attache a la un enfantnouveau-nd. Sur le chemin,leshoi sont peu nombreux; a pine quelques leurs s'en allant t leur champ on A leur oafi et des cavaliers, chefs de section ou de dio qui se rendent auprbs du commandant commune, pour lui fair leur rapport dique sur 1'6tat de leurs circonscriptions. Sur les routes haltiennes, lesgens semarq leI uns aux autres, une extreme polite se rencontrant, ils ne manquent guire d. * ger entire eux un salut o un 'souhait d voyage, de cette voix menue et avec - rire d'enfant, coutumiers I la race a Bonjon, comph (compAre)! Bonjoe, mq. :1